Il s'agit vraisemblablement d'une mise en scène théâtrale dans laquelle, il a inversé les rôles volontairement, comme l'a si bien dit le PV d'enquête de la Gendarmerie dont son ami et complice, ex procureur de la République, Serigne Bassirou GUEYE, n'a curieusement pas voulu tenir compte.
Même Me Abdoulaye WADE est étonné d’apprendre que Cheikh AMAR s’est cousu dans cette affaire, un caftan de créancier alors que, c’est lui qui doit de l’argent à l’ancien Chef de l’Etat.
En compagnie de ses «amis» qui forment un cartel de délinquants, il dépose une plainte contre Samuel Sarr à la Brigade de recherche. Après la déposition du sieur AMAR, Monsieur Sarr a été entendu dans le fond de l’affaire.
Alors, c’est là que le dossier est devenu intéressant. Car, les enquêteurs étaient étonnés devant la légèreté des arguments de Cheikh Amar et la consistance des preuves documentées fournies par Monsieur Sarr.
Ainsi, sans ambage, l'on a vite compris que le patron de l'ex TSE cherche uniquement à se relever de son état de détresse financière dans laquelle il a sombré depuis quelques années et dont il est l’unique responsable. Voilà pourquoi, dans la plainte qu’il a déposée hier, 12 Avril 2022, contre Cheikh AMAR, Monsieur Samuel SARR parle de «tentative d’extorsion de fonds».
Le 25 Novembre 2021, après avoir de répondu à toutes les questions des enquêteurs, Samuel Sarr leur a remis 09 documents scellés.
Dans le PV numéro 265, les enquêteurs de la Section recherche disent :
«Il ressort des constatations et auditions que le créancier dans cette affaire n’est pas Papa Cheikh Amadou AMAR (voir annexe 01), que Monsieur Samuel Amete SARR a été mandaté par Maître Abdoulaye WADE pour recouvrer sa créance et non pour demander de l’aide (voir annexe 02), que monsieur Amar a reconnu sa créance et proposé un moratoire compte tenu de ses difficultés financières (voir annexe 03), que des traites de garantie ont été déposées puis apurées par monsieur AMAR (voir annexe 04), que toutes les sommes payées par monsieur AMAR ont fait l’objet de reçus et portées à la connaissance du créancier (voir annexe 5), que l’utilisation selon les consignes du créancier de chaque montant payé par monsieur AMAR a fait l’objet d’un tableau récapitulatif (voir annexe 06), que la créance reliquataire poursuivie par Me Seydou DIAGNE tient compte des sommes remboursées par monsieur AMAR et reconnues par le créancier (voir annexe 07), que Maître Seydou DIAGNE, naguère avocat de maître Abdoulaye WADE avait déposé une requête aux fins d’inscription d’hypothèque conservatoire en date du 02 Janvier 2019. Cette requête introduite par l’avocat du créancier Abdoulaye WADE et mandataire de Samuel SARR démontre que la créance poursuivie est de 5 milliards, c’est-à-dire, la créance intégrale de 7 milliards moins les sommes payées par Cheikh AMAR qui s’élèvent à 2 milliards et qui ont été contradictoirement constatés par le créancier et son avocat (voir annexe 08), enfin le jugement numéro 660/19 du 08/05/2019 prononcé par le tribunal du commerce consécutivement à la décision de désistement initiée par le créancier contre Cheikh AMAR montre à suffisance que la somme de 02 milliards remboursée par monsieur Cheikh AMAR a bien été reçue par le créancier qui ne poursuivait son débiteur que sur le reliquat de 05 milliards, pour preuve, le désistement porte d’ailleurs sur la somme de 5 milliards et non 7 milliards (voir annexe 09).
En définitive, de l’enquête effectuée, il appert que monsieur Samuel Amete SARR, a bien été mandaté par maitre Abdoulaye WADE pour recouvrer sa créance de 7 milliards auprès de Papa Cheikh Amadou AMAR, mandat qu’il a appliqué en recouvrant la somme de deux milliards conformément aux consignes qu’il a reçu de son mandant qui s’il y avait des problèmes devrait lui-même déposé plainte contre Samuel SARR, ce qui n’a pas été le cas ».
Après lecture du PV de la Gendarmerie, les remarques suivantes sont faites :
Même Me Abdoulaye WADE est étonné d’apprendre que Cheikh AMAR s’est cousu dans cette affaire, un caftan de créancier alors que, c’est lui qui doit de l’argent à l’ancien Chef de l’Etat.
En compagnie de ses «amis» qui forment un cartel de délinquants, il dépose une plainte contre Samuel Sarr à la Brigade de recherche. Après la déposition du sieur AMAR, Monsieur Sarr a été entendu dans le fond de l’affaire.
Alors, c’est là que le dossier est devenu intéressant. Car, les enquêteurs étaient étonnés devant la légèreté des arguments de Cheikh Amar et la consistance des preuves documentées fournies par Monsieur Sarr.
Ainsi, sans ambage, l'on a vite compris que le patron de l'ex TSE cherche uniquement à se relever de son état de détresse financière dans laquelle il a sombré depuis quelques années et dont il est l’unique responsable. Voilà pourquoi, dans la plainte qu’il a déposée hier, 12 Avril 2022, contre Cheikh AMAR, Monsieur Samuel SARR parle de «tentative d’extorsion de fonds».
Le 25 Novembre 2021, après avoir de répondu à toutes les questions des enquêteurs, Samuel Sarr leur a remis 09 documents scellés.
Dans le PV numéro 265, les enquêteurs de la Section recherche disent :
«Il ressort des constatations et auditions que le créancier dans cette affaire n’est pas Papa Cheikh Amadou AMAR (voir annexe 01), que Monsieur Samuel Amete SARR a été mandaté par Maître Abdoulaye WADE pour recouvrer sa créance et non pour demander de l’aide (voir annexe 02), que monsieur Amar a reconnu sa créance et proposé un moratoire compte tenu de ses difficultés financières (voir annexe 03), que des traites de garantie ont été déposées puis apurées par monsieur AMAR (voir annexe 04), que toutes les sommes payées par monsieur AMAR ont fait l’objet de reçus et portées à la connaissance du créancier (voir annexe 5), que l’utilisation selon les consignes du créancier de chaque montant payé par monsieur AMAR a fait l’objet d’un tableau récapitulatif (voir annexe 06), que la créance reliquataire poursuivie par Me Seydou DIAGNE tient compte des sommes remboursées par monsieur AMAR et reconnues par le créancier (voir annexe 07), que Maître Seydou DIAGNE, naguère avocat de maître Abdoulaye WADE avait déposé une requête aux fins d’inscription d’hypothèque conservatoire en date du 02 Janvier 2019. Cette requête introduite par l’avocat du créancier Abdoulaye WADE et mandataire de Samuel SARR démontre que la créance poursuivie est de 5 milliards, c’est-à-dire, la créance intégrale de 7 milliards moins les sommes payées par Cheikh AMAR qui s’élèvent à 2 milliards et qui ont été contradictoirement constatés par le créancier et son avocat (voir annexe 08), enfin le jugement numéro 660/19 du 08/05/2019 prononcé par le tribunal du commerce consécutivement à la décision de désistement initiée par le créancier contre Cheikh AMAR montre à suffisance que la somme de 02 milliards remboursée par monsieur Cheikh AMAR a bien été reçue par le créancier qui ne poursuivait son débiteur que sur le reliquat de 05 milliards, pour preuve, le désistement porte d’ailleurs sur la somme de 5 milliards et non 7 milliards (voir annexe 09).
En définitive, de l’enquête effectuée, il appert que monsieur Samuel Amete SARR, a bien été mandaté par maitre Abdoulaye WADE pour recouvrer sa créance de 7 milliards auprès de Papa Cheikh Amadou AMAR, mandat qu’il a appliqué en recouvrant la somme de deux milliards conformément aux consignes qu’il a reçu de son mandant qui s’il y avait des problèmes devrait lui-même déposé plainte contre Samuel SARR, ce qui n’a pas été le cas ».
Après lecture du PV de la Gendarmerie, les remarques suivantes sont faites :
- L'enquête et le procès-verbal de la Gendarmerie concluent sans conteste que les faits évoqués par Cheikh Amar ne sont pas avérés.
- Monsieur Samuel SARR ne doit absolument rien au sieur Cheikh AMAR.
- C'est Cheikh Amar le débiteur qui devait de l'argent à Abdoulaye Wade lequel a mandaté Samuel A.SARR pour son recouvrement
- Les Documents, courriers et décharges de Cheikh Amar contredisent la supposée dette
- Les faits confirment que les agissements de Cheikh AMAR entrent dans le lot des délits de : tentative d'extorsion de fonds, de calomnie et d’atteinte à l’honneur de Monsieur SARR.
- Les preuves fournies par Monsieur SARR démentent Cheikh AMAR qui dit avoir prêté 02 milliards à Me Abdoulaye WADE dont il tente de salir l’image malgré tout ce que l’ancien président a fait pour lui.
- Il a été remarqué que, Me Seydou DIAGNE qui défend aujourd’hui Cheikh AMAR dans ce dossier, fut l’avocat de Me Abdoulaye WADE contre le sieur Amar dans la même affaire. Une entorse à la déontologie et à la morale du métier d’avocat.
L’ex procureur Serigne Bassirou DIAGNE entre dans la danse à tout prix
Après les conclusions de la gendarmerie dans le PV suscité et les pièces jointes au dossier par Samuel A.SARR, l’ex procureur viré par la suite, Serigne Bassirou Gueye était dans l’obligation de classer le dossier sans suite. Car les preuves de Monsieur SARR effacent toutes les accusations de Monsieur AMAR.
A la surprise des enquêteurs, des juges et des avocats, Serigne Bassirou GUEYE a déchiré le PV des enquêteurs et a demandé l’instruction du dossier et l'inculpation de Samuel A.SARR sans base légale et avec une partialité avérée mais compréhensible pour qui sait.
L’on se demande également, si le juge Monsieur Mamadou SECK était dans l’obligation de suivre le réquisitoire de l’ex procureur qui est en contradiction avec les conclusions des enquêteurs de la Gendarmerie ?
Monsieur le Juge SECK ne devrait-il pas lui aussi renvoyer le dossier au nouveau procureur de la République pour un classement sans suite parce qu’il n’y pas matière à poursuite selon le PV de la Gendarmerie.
Curieusement, aux mêmes moments, la plainte déposée par Samuel SARR contre Cheikh AMAR a été placée sous le coude malgré les preuves irréfutables jointes à la plainte.
L’objectif du cartel c’était d’organiser un lynchage médiatique contre Samuel SARR qui est resté droit dans ses bottes. On entendra presque du tout dans les colonnes médiatiques et les réseaux sociaux :
«Samuel Sarr est sous contrôle judiciaire, sous mandat de dépôt ou en résidence surveillée ».
Mais en vérité, Serigne Bassirou GUEYE devrait être dans quel état d’esprit face à cette machination ? Comment arrive-t-il à fermer ses yeux avec bonne conscience, en cette période de mois béni de Ramadan en posant des actes qui ont abouti à ce projet fumiste sur fond de contrevérités en tant que musulman ? C’est cela la justice version Serigne Bassirou GUEYE ?
N’était-il pas plus facile pour lui de dessaisir la Gendarmerie (Brigade recherche) au profit de la Police (DIC) s’il est avéré qu’il n’a pas confiance aux enquêteurs qui ont été impartiaux et professionnels ?
Qu’est ce qui lie Serigne Bassirou GUEYE et Cheikh AMAR ? L’ex procureur a-t-il embarqué par tous les moyens inimaginables, dans cette entreprise de destruction de l’image de Samuel SARR ?
Faudrait-il donner raison à ceux qui estiment qu’une véritable insécurité règne au Sénégal et qui donne l'impression que la justice est privatisée et domestiquée par des individus capables de travestir la vérité en mensonge ?
Comment on peut se faire inculper dans un dossier vide puis jeté en pâture dans la presse, alors que le Procureur a volontairement mis sous le coude la plainte de Samuel A.SARR contre Cheikh AMAR et Me Seydou DIAGNE pour tentative d'extorsion de fonds, dénonciation calomnieuse ? Où est l’équité de la Justice sénégalaise ? Que fait-on de l’égalité des citoyens devant la Justice ?
LISTES DES 10 PREUVES FOURNIES PAR SAMUEL SARR A LA GENDARMERIE
N° DU SCELLE | DESIGNATION DES PIECES | REFERENCES DE LA PIECE |
01 | Lot de document composés des décharges et traites remises à Papa Cheikh Amadou AMAR par Samuel SARR pour prouver la remise des deux milliards | |
02 | Annexe1- Correspondance en date du 27/06/2013 qui prouve que Samuel SARR a été mandaté par Me Abdoulaye WADE | |
03 | Annexe2 : Correspondances en dates du 20/12/2013 et du 08/01/2014 prouvant respectivement que le créancier avait décidé de saisir la justice et aussi que Monsieur Cheikh AMAR établissait qu’il reconnaissait la créance, explique des difficultés financières et demande un moratoire de paiement par traites. | |
04 | Annexe 3 : Traites de 500 millions et une de 400 millions tirées par Cheikh AMAR au profit du créancier pour le paiement de sa dette | |
05 | Annexe 4 : Différents mails échangés par Samuel SARR avec le créancier et établissant le mandat, on y trouve les consignes données par le créancier pour la destination des sommes encaissées. | |
06 | Annexe 5 : Tableau supposé signé par le créancier reportant les sommes encaissées et consignes exécutées | |
07 | Annexe 6 : Correspondance signée par Cheikh AMAR demandant avec insistance que la traite ne soit pas déposée, ce qui prouve que les traites n’étaient pas destinées à être déposées mais juste une garantie de paiement. | |
08 | Annexe 7 : Mail du 19/10/2018 adressé par Me Seydou DIAGNE alors avocat qui défendait les intérêts du créancier contre Cheikh AMAR qui montre que l’état des sommes encaissées et les instructions du créancier ont fait l’objet de validation par ce dernier et son avocat. |
09 | Annexe 08 : Requête aux fins d’inscription d’hypothèque conservatoire en date du 02/01/2019 qui démontre que la créance est de 5 milliards, c’est-à-dire la créance initiale de 07 milliards moins la somme de 02 milliards payée par Cheikh AMAR | |
10 | Annexes 09 : Jugement 660/19 du 08/05/2019 rendu par le tribunal du commerce portant désistement initié par le créancier contre Cheikh AMAR et qui montre bien que la somme de 02 milliards remboursée par Cheikh AMAR a bien été reçu par le créancier qui ne poursuivait son débiteur que sur le reliquat de 5 milliards. |
La plainte de Samuel SARR contre Cheikh AMAR
Monsieur Samuel Amete Sarr administrateur de sociétés dépose effectivement plainte contre Papa Cheikh Amadou Amar administrateur de sociétés demeurant à TOUBA ALMADIES à Dakar et toute personne que l’instruction permettra de révéler pour les délits de tentative d’extorsion de fonds, de faux en écriture privée et usage de faux, de dénonciation calomnieuse prévus et punis par les articles 135,136, 372 et 362 du code pénal pour les faits suivants : Monsieur Papa Cheikh Amadou Amar a déposé plainte contre Monsieur Samuel Amete Sarr pour le délit d’abus de confiance portant sur la somme de deux (2) milliards de FCFA.
Il prétend lui avoir remis ladite somme à charge de la remettre à Maitre Abdoulaye Wade en un mot il l’a mandaté et qu’en cette qualité il aurait détourné cette somme à des fins personnelles puisque selon lui il ne parvient pas à ce jour à justifier si son destinataire a effectivement reçu cette somme et ce, malgré toutes les démarches entreprises ; D’abord la somme de 2.000.000.000 FCFA dont il fait état est une dette due à Maitre Abdoulaye Wade sur plus forte somme. En effet, Monsieur Cheikh Amar avait bénéficié de Maitre Abdoulaye Wade un prêt d’un montant de 7.935.171.308 F CFA.
Monsieur Samuel A. Sarr avait été chargé, par Maitre Abdoulaye Wade, du recouvrement amiable de cette somme entre les mains de Cheikh Amar, le débiteur. Ce dernier a remboursé la somme de 2.000.0000.000 FCFA et restait devoir la somme reliquataire de 5.935.171.308 FCFA. Au vu des lenteurs et dilatoires de Monsieur Amar quant au remboursement amiable du prêt, Maitre Abdoulaye Wade avait commis Maitre Mohamed Seydou Diagne pour initier une procédure de paiement et de validation d’hypothèque contre lui.
Par la suite il a instruit son avocat de noter son désistement en tenant comptes des bons offices de leur entourage et des difficultés financières invoquées par Monsieur Cheikh Amar. Ce qui a donné lieu au jugement n ° 660/19 en date du 09 mai 2019 du Tribunal de commerce hors classe de Dakar ; Fort curieusement c’est ce même avocat, constitué dorénavant pour son adversaire, qui se retourne en quelque sorte contre son propre client Maitre Abdoulaye Wade.
Monsieur Cheikh Amar qui sait pertinemment que Maitre Abdoulaye Wade mandant de Monsieur Samuel A Sarr et propriétaire de cet argent lui en a donné quitus, utilise cette plainte comme moyen de chantage contre sa personne pour lui soutirer de l’argent surtout que, par ces temps qui courent, il n’est plus dans les grâces du pouvoir actuel et traverse le désert ; Plus grave pour donner un semblant de crédit à ses élucubrations et accusations mensongères il se prévaut d’une fausse décharge confectionnée pour les besoins de sa prétendue créance pour soutenir ses calomnies et sa délinquance puisqu’elle ne comporte pas de date sur laquelle la signature de Monsieur Sarr a été grossièrement et maladroitement imitée.
Contre toute attente Monsieur Sarr a été inculpé par le juge d’instruction du 2ème cabinet saisi sur les réquisitions du Procureur de la République pour le délit d’abus confiance alors qu’il ressort clairement des conclusions de l’enquête préliminaire de la Brigade de Gendarmerie de Dakar Recherches que les faits ne sont pas établis.
Monsieur Samuel A. Sarr qui est manifestement victime des agissements délictueux de Monsieur Papa Cheikh Amadou Amar estime devoir déposer plainte avec constitution de partie civile contre ce dernier et toute personne que l’instruction permettra de révéler pour les délits de tentative d’extorsion de fonds, de faux en écriture privée et usage de faux et de dénonciation calomnieuse et même d’association de malfaiteurs.
Pour une bonne administration de la justice et éviter une contrariété de décisions Monsieur Samuel
A. Sarr souhaite que les deux (2) procédures soient jointes après le règlement du montant de la
consignation qu’il vous plaira de fixer et le réquisitoire introductif du Ministère Public.
SOUS TOUTES RESERVES POUR PLAINTE DAKAR LE 08 avril 2022