A cette occasion, M. Diouf a expliqué ses motivations et, en quelques sortes, ses souhaits pour ce forum mondial. «On nous qualifie de ringards lorsqu’on évoque la défense du Français en France. Mais, est-ce que la ringarde, ce n’est pas plutôt d’abandonner son identité au profit d’une langue de colonisation ? C’est nous qui sommes modernes !», indiqué l’ancien chef d’Etat. Abdou Diouf a également dénoncé ce qu’il considère comme «un complexe des personnalités françaises, qui s’expriment en Anglais, quand leurs homologues hispaniques parlent en leur langue, et les arabes en Arabe».
En compagnie du Premier ministre québecquois, Jean Charest, en visite en France au siège de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), dont l’autre raison principale de sa visite à Paris est pour la célébration du 50ème anniversaire de l’ouverture de la délégation générale du Québec. Et les deux amis se sont dit sont fiers d’exprimer leur désir du Français, une langue qui s’est répandu dans le monde, notamment dans les continents africain, asiatique et en Amérique latine.
Ce forum, précise «Le Monde.fr», compte beaucoup impliquer la société civile et surtout les jeunes. Cependant, l’ex-président du Sénégal avoue un «manque de moyens» et lance indirectement un appel à l’aide à l’endroit des gouvernements et de mécènes, afin de faire participer un maximum de Francophones de tous les continents à ce forum sur la langue française.
NELLY ÉLISA SAGNA (STAGIAIRE) xalima
En compagnie du Premier ministre québecquois, Jean Charest, en visite en France au siège de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), dont l’autre raison principale de sa visite à Paris est pour la célébration du 50ème anniversaire de l’ouverture de la délégation générale du Québec. Et les deux amis se sont dit sont fiers d’exprimer leur désir du Français, une langue qui s’est répandu dans le monde, notamment dans les continents africain, asiatique et en Amérique latine.
Ce forum, précise «Le Monde.fr», compte beaucoup impliquer la société civile et surtout les jeunes. Cependant, l’ex-président du Sénégal avoue un «manque de moyens» et lance indirectement un appel à l’aide à l’endroit des gouvernements et de mécènes, afin de faire participer un maximum de Francophones de tous les continents à ce forum sur la langue française.
NELLY ÉLISA SAGNA (STAGIAIRE) xalima