Canada: la Cour Suprême légalise la Bestialité (Sexe avec les Animaux)
La Cour Suprême du Canada a légalisé, le 8 Juin dernier, la bestialité, acte qui prône les relations sexuelles entre les personnes et les animaux.
D’après le quotidien ‘’The Independent’’, cette légalisation est adoptée après qu’un homme de la Colombie-Britannique ait été reconnu coupable de 13 chefs d’accusation à caractère sexuel sur ses belles-filles, mais a été acquitté de la bestialité parce que selon lui, il entretient des relations sexuelles avec le chien de la famille sans qu’il y ait pénétration.
Cet homme “barbouillait de beurre d’arachide les parties génitales de ses victimes, le chien de la famille léchait pendant qu’il filmait la scène.”
À la suite de cette histoire, la Cour Suprême du Canada a donc autorisé des relations sexuelles entre les personnes et les animaux aussi longtemps que possible “sans qu’il y ait pénétration “.
Sur les 8 juges présents, juste un n’avait pas encore perdu la raison ; La juge Rosalie Abella, la seule dissidente de l’arrête 7-1, a déclaré que la pénétration ne doit pas être considérée comme élément essentielle pour définir la bestialité.
“Les relations avec les animaux qui ont un but sexuel sont intrinsèquement exploitable si oui ou non la pénétration se produit», a déclaré Abella.
Source: The Independent.co.uk
D’après le quotidien ‘’The Independent’’, cette légalisation est adoptée après qu’un homme de la Colombie-Britannique ait été reconnu coupable de 13 chefs d’accusation à caractère sexuel sur ses belles-filles, mais a été acquitté de la bestialité parce que selon lui, il entretient des relations sexuelles avec le chien de la famille sans qu’il y ait pénétration.
Cet homme “barbouillait de beurre d’arachide les parties génitales de ses victimes, le chien de la famille léchait pendant qu’il filmait la scène.”
À la suite de cette histoire, la Cour Suprême du Canada a donc autorisé des relations sexuelles entre les personnes et les animaux aussi longtemps que possible “sans qu’il y ait pénétration “.
Sur les 8 juges présents, juste un n’avait pas encore perdu la raison ; La juge Rosalie Abella, la seule dissidente de l’arrête 7-1, a déclaré que la pénétration ne doit pas être considérée comme élément essentielle pour définir la bestialité.
“Les relations avec les animaux qui ont un but sexuel sont intrinsèquement exploitable si oui ou non la pénétration se produit», a déclaré Abella.
Source: The Independent.co.uk