photo d'illustration
C'était la panique hier au village de Sinthiou Sérère lorsque la population a vu un avion en train d'osciller dans les airs, à une centaine de mètres d'altitude. Quelques minutes après, le coucou a fini par tomber sur une concession appartenant à Aliou Sarr. "Une épaisse fumée sortait du zinc de type ULM, de marque Citius, de fabrication portugaise et immatriculé FJTTS lorsqu'il a atterri sur la palissade de la maison, causant ainsi un léger dommage matériel", raconte un témoin. Le pire a été évité, car l'avion pouvait bien tomber sur les enfants qui étaient en train de jouer à côté ou sur la terrasse de la maison où était rassemblé le reste des membres de la famille.
L'avion qui appartient à la société "Polaris" était loué pour perfectionner des Officiers de la Gendarmerie nationale. Au moment où il a pris son envol à "Kalahari, le moteur de l'ULM est tombé en panne à cent mètres d'altitude, selon l'instructeur français Christian Pretot. A l'en croire, ils ont tenté de se poser sur les champs, mais ils ont percuté un arbre qui les a projetés sur la maison des Sarr.
Selon les témoignages des villageois, c'est la deuxième fois qu'un avion tombe sur Sinthiou Sérère. "Tout au début de l'hivernage, un avion s'était écrasé sur l'héliport", révèlent-ils. La cohabitation entre les populations et l'héliport constitue un casse-tête. Et, ce casse-tête devrait être réglé dans les meilleurs délais puisque les populations, elles, en ont marre de vivre permanemment avec la psychose d'un crash.
L'Observateur
L'avion qui appartient à la société "Polaris" était loué pour perfectionner des Officiers de la Gendarmerie nationale. Au moment où il a pris son envol à "Kalahari, le moteur de l'ULM est tombé en panne à cent mètres d'altitude, selon l'instructeur français Christian Pretot. A l'en croire, ils ont tenté de se poser sur les champs, mais ils ont percuté un arbre qui les a projetés sur la maison des Sarr.
Selon les témoignages des villageois, c'est la deuxième fois qu'un avion tombe sur Sinthiou Sérère. "Tout au début de l'hivernage, un avion s'était écrasé sur l'héliport", révèlent-ils. La cohabitation entre les populations et l'héliport constitue un casse-tête. Et, ce casse-tête devrait être réglé dans les meilleurs délais puisque les populations, elles, en ont marre de vivre permanemment avec la psychose d'un crash.
L'Observateur