‘’C’est un très grand artiste qui, depuis plus de trente ans, exerce cet art ave beaucoup du une maîtrise et de talent. Il a eu un parcours remarquable et une reconnaissance internationale très tôt’’, a réagi M. Senghor à la mort de ce pensionnaire du Village des Arts.
Après sa formation de quatre ans en peinture à l’Ecole nationale des Beaux-arts (1977), Fall Dabo participe à de nombreuses expositions au Sénégal, dans d’autres pays africains, en Amérique, en Asie et en Europe.
Avant de faire ce tour du monde pour présenter son travail, il a effectué une résidence d’artiste de deux mois au Montpellier Cultural Arts Center, parrainé par le Maryland National Capital Park and Planning Commission. Mamadou Fall Dabo a participé depuis le début des années 1980 à de nombreuses expositions collectives, et organisé des expositions individuelles.
En 1996, il est l’une des vedettes de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art) où il obtient le Prix de la Révélation. L’année suivante, il participe à une exposition collective au Smithsonian Institution de Washington DC (Etats-Unis).
Du 1-er au 24 février 1999, Mamadou Fall Dabo fait partie, avec de nombreux autres artistes de plusieurs disciplines (peinture, sculpture, littérature, musique…), de l’atelier de création Internet intitulé ‘’Dakar Web’’.
Pour Abdoulaye Racine Senghor, ‘’il s’est imposé dans le milieu comme quelqu’un qui représentait très valablement les artistes’’. Rappelant que l’artiste a exposé au Musée dynamique, le directeur des Arts a souligné que cela constituait à l’époque (fin des années 1970) ‘’une marque de reconnaissance’’.
‘’Depuis, il a eu un parcours remarquable. Sa disparition est une grosse perte pour la peinture sénégalaise’’, a-t-il dit.
Senghor a relevé que la mort de Mamadou Fall Dabo intervient à moins de deux mois de la tenue de la troisième édition du Festival mondial des Arts nègres (10-31 décembre), ‘’un événement auquel il aurait certainement apporté une contribution particulièrement remarquable’’.
‘’Mais la dimension de ses œuvres est telle que le festival sera, pour le milieu des artistes, une occasion de lui rendre hommage’’, a-t-il indiqué.
APS
Après sa formation de quatre ans en peinture à l’Ecole nationale des Beaux-arts (1977), Fall Dabo participe à de nombreuses expositions au Sénégal, dans d’autres pays africains, en Amérique, en Asie et en Europe.
Avant de faire ce tour du monde pour présenter son travail, il a effectué une résidence d’artiste de deux mois au Montpellier Cultural Arts Center, parrainé par le Maryland National Capital Park and Planning Commission. Mamadou Fall Dabo a participé depuis le début des années 1980 à de nombreuses expositions collectives, et organisé des expositions individuelles.
En 1996, il est l’une des vedettes de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art) où il obtient le Prix de la Révélation. L’année suivante, il participe à une exposition collective au Smithsonian Institution de Washington DC (Etats-Unis).
Du 1-er au 24 février 1999, Mamadou Fall Dabo fait partie, avec de nombreux autres artistes de plusieurs disciplines (peinture, sculpture, littérature, musique…), de l’atelier de création Internet intitulé ‘’Dakar Web’’.
Pour Abdoulaye Racine Senghor, ‘’il s’est imposé dans le milieu comme quelqu’un qui représentait très valablement les artistes’’. Rappelant que l’artiste a exposé au Musée dynamique, le directeur des Arts a souligné que cela constituait à l’époque (fin des années 1970) ‘’une marque de reconnaissance’’.
‘’Depuis, il a eu un parcours remarquable. Sa disparition est une grosse perte pour la peinture sénégalaise’’, a-t-il dit.
Senghor a relevé que la mort de Mamadou Fall Dabo intervient à moins de deux mois de la tenue de la troisième édition du Festival mondial des Arts nègres (10-31 décembre), ‘’un événement auquel il aurait certainement apporté une contribution particulièrement remarquable’’.
‘’Mais la dimension de ses œuvres est telle que le festival sera, pour le milieu des artistes, une occasion de lui rendre hommage’’, a-t-il indiqué.
APS