S’il y a un mariage qui mérite de figurer dans le livre Guiness des records, c’est sans l’ombre d’un doute celui de l’international de football franco-sénégalais, Mamadou Sakho. Et pour cause : larmes, embrassades, robe de mariée somptueuse et VIP élégants..., tous les ingrédients d’un mariage réussi étaient au rendez-vous, le week-end dernier.
Organisé avec faste sur, tenez-vous bien, deux jours, sous les lambris dorés du Radisson Blu, il a, de prime abord, été question d’un rituel religieux organisé au pays de Marianne, c’est-à-dire en France. Ce, avant que des réjouissances, on ne peut plus inédites, ne s’organisent sous nos latitudes. C’est ainsi que samedi dernier, il a été question de cérémonies traditionnelles avec des convives, particulièrement des parents de Mamadou Sakho, venus expressément de Tambacounda. C’est ainsi que l’unité 17 des Parcelles Assainies a enregistré, 24 h durant, des sonorités «Diakhanké». Il fallait voir les séduisantes farandoles des Tambacoundoises, bien des «Diakhanké».
Le lendemain, c’est-à-dire dimanche, le couple qui s’est dit «Oui» devant Dieu et les hommes, s’est retrouvé devant d’innombrables invités de marque et d’infinis téléspectateurs, entre autres intrus, venus partager leur bonheur dans le cadre enchanteur du Radisson Blu. La dorénavant Mme Sakho, belle à damner le plus calé des «Ayatollah», en l’occurrence Mazda Magui à l’état civil, vêtue d’une robe «griffée», au ton de lait, à la forme simple et près du corps, en soie, sans broderies, est arrivée au bras de son père, sous les yeux des invités venus assister à la fiesta. Son désormais mari l’attendait au salon aménagé pour la circonstance, installé au sous-sol du Radisson Blu, l’air détendu, lui prenant la main avant le début de la cérémonie et lui adressant des petits mots. Non sans échanger un petit baiser.
D’un pas feutré, les deux tourtereaux sont spontanément allés à la rencontre de la foule et honorer la traditionnelle coupe de gâteau. A noter que Mme Sakho, certainement émue, a fini par fondre en larmes. S’en est suivi un banquet digne des noces de Gamache.
En somme, il y avait à boire et à manger pour un régiment. En tout cas, les parents venus de Tamba n’ont pas, du tout alors, boudé leur plaisir avec le self-service de mise, dimanche sous la brise marine.
Lesenegalais
Organisé avec faste sur, tenez-vous bien, deux jours, sous les lambris dorés du Radisson Blu, il a, de prime abord, été question d’un rituel religieux organisé au pays de Marianne, c’est-à-dire en France. Ce, avant que des réjouissances, on ne peut plus inédites, ne s’organisent sous nos latitudes. C’est ainsi que samedi dernier, il a été question de cérémonies traditionnelles avec des convives, particulièrement des parents de Mamadou Sakho, venus expressément de Tambacounda. C’est ainsi que l’unité 17 des Parcelles Assainies a enregistré, 24 h durant, des sonorités «Diakhanké». Il fallait voir les séduisantes farandoles des Tambacoundoises, bien des «Diakhanké».
Le lendemain, c’est-à-dire dimanche, le couple qui s’est dit «Oui» devant Dieu et les hommes, s’est retrouvé devant d’innombrables invités de marque et d’infinis téléspectateurs, entre autres intrus, venus partager leur bonheur dans le cadre enchanteur du Radisson Blu. La dorénavant Mme Sakho, belle à damner le plus calé des «Ayatollah», en l’occurrence Mazda Magui à l’état civil, vêtue d’une robe «griffée», au ton de lait, à la forme simple et près du corps, en soie, sans broderies, est arrivée au bras de son père, sous les yeux des invités venus assister à la fiesta. Son désormais mari l’attendait au salon aménagé pour la circonstance, installé au sous-sol du Radisson Blu, l’air détendu, lui prenant la main avant le début de la cérémonie et lui adressant des petits mots. Non sans échanger un petit baiser.
D’un pas feutré, les deux tourtereaux sont spontanément allés à la rencontre de la foule et honorer la traditionnelle coupe de gâteau. A noter que Mme Sakho, certainement émue, a fini par fondre en larmes. S’en est suivi un banquet digne des noces de Gamache.
En somme, il y avait à boire et à manger pour un régiment. En tout cas, les parents venus de Tamba n’ont pas, du tout alors, boudé leur plaisir avec le self-service de mise, dimanche sous la brise marine.
Lesenegalais