C’est le cas du Pur qui a reçu son invitation dont le coordonnateur, le Professeur El Hadj Sall, élu député ne pose aucune condition. « Nous allons au dialogue pour contribuer, faire en sorte que la mascarade qui s’est déroulée récemment, ne puisse pas se reproduire pour les élections à venir. On y va sans conditions parce qu’on a des choses à apporter », a-t-il motivé.
C’est la même position pour Déthié Diouf, chef de file de Visa (Vision pour le Sénégal) qui a tiré les leçons de la « mauvaise » organisation des dernières élections législatives.
« Le processus électoral passé a été calamiteux. Aujourd’hui, si nous refusons le dialogue, nous serons comptables de tout ce qui se passera demain. Je pense que toute personne consciente, animée de bonne foi, doit être à ce dialogue si l’on s’en tient aux termes des termes de notre invitation », a soutenu, mardi, sur Rfm, Déthié Diouf.
Pour Aboulaye Mamadou Guissé, il est inadmissible de prendre prétexte des dossiers judiciaires en cours, pour refuser le dialogue. « Il y a d’autres qui posent des conditions émanant des dossiers judiciaires. Je pense qu’il faut faire la distinction entre la politique et le volet judiciaire. On ne doit même pas fixer des préalables pour le dialogue politique. C’est inélégant. En politique, on doit dialoguer », a laissé entendre le président du Parti Mcccs/Fouleu ak fayda.
Il faut noter que dans l’invitation, il est question d’une « prise de contact et d’échanges sur la mise en place d’un cadre d’évaluation de la refonte partielle des listes électorales ». Selon le ministère de l’Intérieur, le cadre va prendre en charge la réflexion sur le processus électoral à venir. La rencontre est prévue le 21 novembre prochain.
Leral.net
C’est la même position pour Déthié Diouf, chef de file de Visa (Vision pour le Sénégal) qui a tiré les leçons de la « mauvaise » organisation des dernières élections législatives.
« Le processus électoral passé a été calamiteux. Aujourd’hui, si nous refusons le dialogue, nous serons comptables de tout ce qui se passera demain. Je pense que toute personne consciente, animée de bonne foi, doit être à ce dialogue si l’on s’en tient aux termes des termes de notre invitation », a soutenu, mardi, sur Rfm, Déthié Diouf.
Pour Aboulaye Mamadou Guissé, il est inadmissible de prendre prétexte des dossiers judiciaires en cours, pour refuser le dialogue. « Il y a d’autres qui posent des conditions émanant des dossiers judiciaires. Je pense qu’il faut faire la distinction entre la politique et le volet judiciaire. On ne doit même pas fixer des préalables pour le dialogue politique. C’est inélégant. En politique, on doit dialoguer », a laissé entendre le président du Parti Mcccs/Fouleu ak fayda.
Il faut noter que dans l’invitation, il est question d’une « prise de contact et d’échanges sur la mise en place d’un cadre d’évaluation de la refonte partielle des listes électorales ». Selon le ministère de l’Intérieur, le cadre va prendre en charge la réflexion sur le processus électoral à venir. La rencontre est prévue le 21 novembre prochain.
Leral.net