Qu’avons-nous lu ou entendu sur le « cas du Dr Cheikh Diallo », notamment sur sa collaboration avec nos confrères de Jeune Afrique. Sur le mur de sa page facebook, parcouru par dakarposte.com, le Dr Diallo y rétabli la vérité des faits. Mieux, l’une des pièces maitresses de Jeune Afrique, en l’occurrence Marwane Ben Yahmed confirme ses écrits à travers un commentaire que nous reproduisons ci-dessous in extenso afin que nul n’en ignore!
« Eloge de l’exactitude !
Que de vacarme, d’excitation et même de jubilation. Je ne savais pas que je suscitais autant d’intérêt. Chaque jour, dans le monde des médias, l’on assiste à une mobilité professionnelle sans que cela fasse de gorges chaudes. Mais bon… Passons rapidement sur la méchanceté inutile, la haine futile et la tranquille perfidie de certaines personnes.
Parlons des faits, de l’impérialisme des faits.
Depuis trois ans, je suis collaborateur de Jeune Afrique et m’occupe du Post-Scriptum sur « l’Etat de l’Afrique », un produit annuel du Groupe. D’ailleurs, nous sommes actuellement en pleine préparation du prochain numéro. Je signe, à cet effet, à la dernière page, mon habituelle chronique qui paraîtra en décembre, comme je l’ai toujours fait les années précédentes.
Au-delà de cette collaboration, le Directeur de publication Marwane Ben Yahmed – qui me lit – m’a proposé un contrat de trois mois à Paris, en qualité de Conseiller à la Direction de la Rédaction. Après quelques semaines d’hésitation, entre l’enseignement supérieur, un cabinet de consultance et les médias, j’ai accepté, à condition qu’il me laissât le temps de soutenir ma thèse de doctorat en Science politique.
A la rédaction centrale parisienne, mon cahier de charges consistait principalement à formuler des propositions à la rédaction et surtout à collecter et traiter des informations confidentielles. « Les confidentiels », qui sont les premières pages de JA, sont les articulets les plus lus et donc les plus délicats. Chaque semaine, le magazine en livre collectivement une bonne douzaine. A titre personnel, j’ai pu produire 5 à 6 par édition. Ces chiffres sont facilement vérifiables auprès de la rédaction. J’ai donc commis plus d’une vingtaine de « confidentiels », signé huit articles et proposé huit autres séries de sujets à traiter. Au terme du contrat de prestation, pour des raisons personnelles et familiales, je n’ai pas voulu rester définitivement en France.
C’est donc à l’amiable que la direction générale et moi avons décidé de trouver une autre forme de collaboration sur la pige. Voici les faits, rien que les faits.
Dr Cheikh Omar Diallo » Dakarpost
« Eloge de l’exactitude !
Que de vacarme, d’excitation et même de jubilation. Je ne savais pas que je suscitais autant d’intérêt. Chaque jour, dans le monde des médias, l’on assiste à une mobilité professionnelle sans que cela fasse de gorges chaudes. Mais bon… Passons rapidement sur la méchanceté inutile, la haine futile et la tranquille perfidie de certaines personnes.
Parlons des faits, de l’impérialisme des faits.
Depuis trois ans, je suis collaborateur de Jeune Afrique et m’occupe du Post-Scriptum sur « l’Etat de l’Afrique », un produit annuel du Groupe. D’ailleurs, nous sommes actuellement en pleine préparation du prochain numéro. Je signe, à cet effet, à la dernière page, mon habituelle chronique qui paraîtra en décembre, comme je l’ai toujours fait les années précédentes.
Au-delà de cette collaboration, le Directeur de publication Marwane Ben Yahmed – qui me lit – m’a proposé un contrat de trois mois à Paris, en qualité de Conseiller à la Direction de la Rédaction. Après quelques semaines d’hésitation, entre l’enseignement supérieur, un cabinet de consultance et les médias, j’ai accepté, à condition qu’il me laissât le temps de soutenir ma thèse de doctorat en Science politique.
A la rédaction centrale parisienne, mon cahier de charges consistait principalement à formuler des propositions à la rédaction et surtout à collecter et traiter des informations confidentielles. « Les confidentiels », qui sont les premières pages de JA, sont les articulets les plus lus et donc les plus délicats. Chaque semaine, le magazine en livre collectivement une bonne douzaine. A titre personnel, j’ai pu produire 5 à 6 par édition. Ces chiffres sont facilement vérifiables auprès de la rédaction. J’ai donc commis plus d’une vingtaine de « confidentiels », signé huit articles et proposé huit autres séries de sujets à traiter. Au terme du contrat de prestation, pour des raisons personnelles et familiales, je n’ai pas voulu rester définitivement en France.
C’est donc à l’amiable que la direction générale et moi avons décidé de trouver une autre forme de collaboration sur la pige. Voici les faits, rien que les faits.
Dr Cheikh Omar Diallo » Dakarpost