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JOE OUAKAM : L'intelligence artistique à la vie à la mort

C'est l'un des artistes les plus atypiques du Sénégal et même d'Afrique. Mais, il est une personne très intelligente et très sensible. Pourtant, tout le monde ou presque dit de lui qu'il est bizarre, étrange, voire fou. Joe Ouakam ne l'est pas.


Rédigé par leral.net le Samedi 15 Mai 2010 à 14:09 | | 1 commentaire(s)|

JOE OUAKAM : L'intelligence artistique à la vie à la mort
La Biennale de l'art africain contemporain est l'occasion, outre d'admirer des œuvres venues des quatre coins du continent et de la diaspora, de découvrir ou de redécouvrir des artistes sénégalais. Pour notre part, nous avons découvert Joe Ouakam. Découvert dans le sens artistique. Nous connaissions déjà le personnage, mais pas l'homme qui devient artiste et l'artiste qui devient homme.

Il faut dire que le Dak'Art est une manifestation tellement vaste qu'une petite semaine ne suffit pas pour tout voir et qu'il faudrait se dupliquer pour pouvoir apprécier tout à sa juste valeur, d'autant plus que cette année, avec les vingt ans de la Biennale, nous avons droit au top du top.

C'est rue Jules Ferry que se trouve la cour de Joe Ouakam. Arrivant-au centre de celle-ci, nous avons eu un véritable choc. C'était mon univers, un univers jouant entre la vie et la mort, jouant plus sur le passé que sur l'avenir, qui se trouvait devant moi qui s'offrait à moi !

J'avais quitté Dakar par la pensée et je me trouvais dans le monde de Joe Ouakam. Un monde qui me plaît de par son fouillis organisé. Car pour le visiteur qui n'adhère pas au monde de l'artiste, cette cour représente un grand fouillis à la limite du dépotoir. En fait non, les personnes désordonnées retrouvent leur ordre dans leur désordre. Et seules peuvent les comprendre les personnes désordonnées comme elles. C'est peut-être pour cela que j'ai vite adhéré à l'univers de Joe Ouakam ; un monde qui est mien.

Dans cette cour, j'ai été marquée par trois installations. La première est ce cimetière dont les croix sont agencées comme si l'endroit avait été abandonné depuis longtemps. Je pense que pour Joe Ouakam, c'est comme si c'était un exorcisme mais aussi pour parler d'une double mort. En effet, un cimetière, quelle que soit la religion (monothéiste ou polythéiste), représente la fin de la vie mais, toujours, selon les rites et croyances, une certaine continuation (la réincarnation, la vie après 1a mort, et le souvenir). Donc quand le cimetière est bien entretenu, c'est que les vivants pensent aux morts. Mais le cimetière reproduit par Joe Ouakam, lui, est en ruine. Donc, il y a double mort : la mort physique et la mort du «souvenir». L'artiste redoute-t-il de passer de vie à trépas et surtout d'être oublié ? On a tous peur de la mort car, même en étant croyants, on ne sait pas ce qu'il y a de l'autre coté. Cependant, certaines personnes appréhendent le moment de cette mort physique. L'oubli est une seconde mort. Les personnes qui ont peur d'être oubliées ont généralement une sensibilité à fleur de peau, mais ne le montrent pas. Joe Ouakam possède cette sensibilité à fleur de peau, mais préfère jouer au fou. Une sorte de protection et non pas pour se montrer. J'avais envie de prendre une chaise, de m'asseoir et de rester là à contempler cette installation(…)

La dernière installation qui fait appel à une certaine mort est celle de cette bibliothèque où les livres, les journaux, les revues... sont à l'abandon. Est-ce pour signifier que la lecture n 'a plus le droit de cité dans nos différents pays ? Est-ce pour dire qu'une œuvre ne peut être éternelle que si on en prend soin ? Nombre de personnes disent que les œuvres sont pérennes. Certes matériellement, mais si on ne se souvient plus de cela, elle est comme l'être humain, elle meurt.

La notion, donc, de la mort est omniprésente cher Joe Ouakam. Mais, ce n'est pas une mort morbide. C'est un appel à la réflexion. Pour continuer à vivre, il faut continuer à se souvenir.

Zouhour HARBAOUI
Source Walf Grand Place

Sahaba net


1.Posté par Abdoulaye Soumaré le 16/05/2010 15:09 | Alerter
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Indépendance

Diame tj bir ak tj biti.

Man Ablaye

Je suis l´homonyme du général Abdoulaye Soumaré, camarade de lutte du Pr Modibo Keita, des Khruma, Lumumba. Anta et autres. Les lumières… Il est bien de parler des héros, car leur bonnes œuvres elles, elles restent immortelles. Ces écrits nous les avons envoyés comme devoir de citoyens à la présidence du Sénégal, á monsieur Abdoulaye Wade, sans suite. Maintenant notre décision est de la rendre publique.

Pour Modibo Soumaré.

( Lettre ouverte )

Cher monsieur le président.

Nous vous prions, de nous apporter votre solidarité. Notre intention, est de supprimer, le mot
“ nègres ” une expression insultante et qui manque de dignité, dans le titre du festival qui doit avoir lieu à Dakar, par le mot “ Bantu ” qui signifie uni. L’objet de la recherche “ l’union ” retrouvée.

Ainsi, nous aurons à la place de

Festival mondial des arts nègres. Festival mondial des arts Bantus.





Signé par

Abdoulaye Soumaré Kanakassy Mansour







Etre

Toujours pareil à notre existence, nous exprimons par cette force, un souhait de paix véritable. Le cœur, la tendance est une prière voir clair, Theo derrière l’obscur. Notre solidarité, allant vers tous ceux qui souffrent des guerres, catastrophes et autres calamités terrestres.


L’identité, est toujours à la recherche, de dignité durable, un souvenir de sa source, c’est primaire...très authentique.


Dans l’antiquité, on ne pouvait, ni recevoir une nouvelle identité, ni perdre celle que l’on avait déjà. C’est seulement, dans les temps modernes, que les préoccupations, se sont élargies consciemment sur les sujets, et depuis, l’individu est vu comme quelque chose, étant une existence paradoxe. Depuis lors, l’identité change vite, ou moins vite, peut être individuel, ou collective. Mais surtout, on est individu, avant d’être collectif.

Identité veut dire, littéralement traduit, une unité où entente parfaite.

La vision du monde, est liée à l'identité.

Comment mieux apprendre et appréhender l’évolution de l’art “ nègre ” invective à caractère raciste “ saga bahul ”. Le mot nègre, discrédite une personne avec une peau noire. ( internet ) L’insulte, nègre, ce mot n’est aujourd’hui, presque plus utilisé publiquement, et à cause de sa connotation raciste, de plus en plus bannit. Comme du temps du marin Enrico, les mythes des caravelles et corsaires monstrueux, dégueulasse. La poubelle et marionnette de tout le monde. C’est Affreux, comme Afrique, allez y voir, sale race, nègre sont des mots que vous ne retrouverez dans aucunes des langues, originaires du peuple et aujourd’hui parlée encore. Nègre, Afrique, Affreux, pourquoi des millions de gens persisteraient-ils à se taxer, ou bien se laisser chiffrer, s’appeler, se voir et être vu ainsi, par d’autres et par eux même? C’est même, contre toutes les logiques d’amour propre, qui sont Indispensables, pour un beau sentiment des autres.

Héritage coloniale, suprématie des idées fausses, sans aucun fondement. Je pense comme beaucoup d’autres, au sous développement, à la marginalisation, un produit du manque, des fausses informations. C’est la Propagande, manipulation de l’identité est possible et très fréquent. Identité provisoire, rien pour l’éternité, des identités sous contrainte, les identités en pleine communication urbaine, savoir ou se situer par rapport aux autres.

Problématique de l’identité en général. Les gens sont très manipulés, s’identifier à la politique, le joug, l’orientation vers les idées malsaines.

Indécrottable Afrique, une forme d’impuissance historique. Passéisme, rétroactif, prisonnier du temps. Visions figées des cultures africaines, vouées à la reproduction et aux répétitivités. Politique arriérée, focalisée sur le derrière, passé malsain maudit par qui ? Qui est sous tutelle, les histoires de malédictions.

Chroniqueur...le maître d’école coranique et Ibnou, qui déteste que l’on frappe ses enfants. Ma dignité, est de me battre aussi, pour la liberté de ma sœur. Je ne veux pas me refaire sur le travail de ma sœur, car son travail est le mien. Le travail, n’exclue pas la collaboration, nous, nous inspirons les uns des autres. C’est comme ca, que nous allons traduire Adama et Abdou au festival de Dakar, nous sommes pour une interdiction générale, de la punition corporelle dans l’éducation, arabe aussi. “ Hale ken du ko dor ” les enfants, cela ne se frappe pas entendez, garçons et filles, respect mutuel triompher sur les haines.

La couleur de la peau, ne détermine pas l’identité, mais plutôt l’individualité dit-on sagement.

Vanité, envie, jalousie. Histoire, des mauvaises langues. Niorai, c’est Bouddha lors de leur rencontre, Mao avait raté l’occasion. La Chine à Dresde, collection d’art étatique. Un, sur neuf habitants de la terre, est chinois dit Moustique. C’est lorsque l’armée, dirige une grande partie de l’économie. Communisme, la réalité est une plus grande utopie encore et puis, en plus, il n’existe qu’un Dalai Lama.

L’honneur n’est qu’un brin d’allumette, on ne peut s’en servir qu’une seule fois “ proverbe chinois”. Mais la tige est encore là, certain gens se débouchent les oreilles avec, “ djur gottu ”. Pensez, les boites à feu, alternance avec “ le Boxeur ” Cap Grundheber, cela fait un peu plus de punch. L’exception qui défie la règle, classe économique et propre.

Cap : Est ce qu’il y a, des papiers hygiéniques là-bas.
Lay : Prend de l’eau.
Cap : Non, non, non. Pour toi oui, pour moi non.
Lay : Rien que des bêtises, eau ou papier hygiénique Je prends les deux, le passage d’une
pratique à l’autre, n’est nullement compliqué.

Déplorer l’absence d’écriture, d’esprit collectif. Assimilation, ou diversité culturelle. Les uns demandent aux autres, de s’intégrer à leur mode de vie, ou de démocratie, comme si la liberté était à comprendre selon les humeurs. Il n’existe pas de démocratie locale, la liberté n’est pas divisible, l’idéal de paix. Tous sont contents.

C’est la Télé, qui le dit.

Les phénomènes de recherches identitaires, continueront.

Le nationalisme, est rétrogradé.

Fiasco, “ Bign, fas sa kanam, bind si allahira ”. Afficher une grande répulsion, visage froissé, c’est écrit lisible là dessus, au jour dernier et les enfers. Très fâché, par la vient peut-être le fascisme, “ fascho ”, faché. La haine, provoque la défense “ lo may diay yav ” qu’est ce que tu veux me vendre toi. C’est bon, c’est bon “ Bana, bana ” sait que le commerce, n’est pas tout. Qui peut dire maintenant, si la libre concurrence, l’économie libérale, est compromise. Dans le libéralisme l’âme personnelle se dégrade en un gardien tout court, un chien méchant, une compréhension étroite de l’idée de bien, la richesse commune de l’humanité âme et Dieu, se détériore en un diable et démon, frontières, inapprochable vide spirituel du matérialisme.


De plus en plus perce l’ambition de rendre compte de la réalité, transparence, exprimer l’univers dans sa complexité, mais aussi de trouver l’unité, le sens. Littérature, structure mentale, un goût pour le savoir encyclopédique et rationnel, pour l’allégorie. On veut percer le sens des symboles non plus par le cœur mais par l’esprit.

Dans les mutations culturelles et leurs évolutions, il n’a jamais été question, ni aujourd’hui, ni hier, de se dévider de sa vigueur, ou validité.

“ Je suis ”.

La visite, de la vielle dame. “ On a dit que, ce n’est pas à cause de l’argent, mais Djbi, a dit que oui, c’est à cause du fric. Une lampe, Ndoumbelane, au lieu de Niokolo Koba.

De la corde au cercueil, cela va très vite, avec la lumière.

Nègre, la valeur adoptée est fausse, tout le monde le sait. Elle contrecarre, la vérité de la sentence, connue comme quoi, tous les hommes naissent libres et égaux.

L‘honneur, n’est pas héritable mais l’humiliation, les esclaves du monde, djames-nations, les damnés de la terre. Ce n’est pas écrit dans les gênes, mais plutôt dans le caractère. Nègre, c’est comme macaque, sauvage, il faut se méfier.

Les descendants des tirailleurs, n’ont pas droit aux honneurs et mérites, de leur aïeuls, anciens combattants, mais les dettes exorbitantes et étouffantes reviennent par un inexplicable miracle et pourtant expliqué, aux nouveaux nés africains. Les relations monétaires. La muse soignée du peuple de France, ne traduit vraiment pas son élévation morale. Liberté, égalité, fraternité.

Ma grande mère, la mère de Ibnou le petit frère du général Abdoulaye Soumaré, s’appelle Caroline Marie Parsine Soumaré, signare de Saint Louis. Saint Louis les clés de la ville et les clés du paradis sont les mêmes choses. Saint Louis est le premier roi de France, à pratiquer une politique monétaire “ qui inaugure l’ère de la puissance de l’argent ” et il adapte, les institutions dans un sens, qui donne une existence reélle, à la notion d’État “ amémagement de la chancellerie, création d`une commission de contrôle du trésor royal et de l’hotel du Roi, où sont distingués les fonctions d’État et les emplois domestiques. ”

Ce n’est pas juste, c’est tristes, les rafles. La question des sans papiers, le problème étant politique. Les insupportables, les situations précaires, une jeune congolaise ligotée par des policiers par, de surcroît des hommes, elle menace de les mordre devant des millions de téléspectateurs. Incroyable, et ceci dans le vingt et unième siècle.

Patte d’éléphant, notre très, très grande victoire, Djbril Diop Mambetty, pensez à l’ange. Le destin, nous on ne croit pas à la coïncidence. Senghor, l‘intelligence, les enfants, l’argent et les démunis. Cinéma mendicités par tous les bords, famines incurables, maladies bénignes, épidémies sans arrêt. La poésie vivante des millions d’affreux, les gens qui souffrent. Un jour sacré, ils ont tous eu leur rémunérations, d’avoir étés à l’heure et au lieu. Devant la camera, pris en considération, guéris et heureux.

“ Hyènes ” le film est essentiellement, tourné par des freaks. Des pauvres, des gueux, un chef-d’œuvre a vu jour.

Drahman Drame : Banga deme ba tay
Sama dund gi de ko gen.
“ depuis que tu est partis. La mort vaut mieux que ma vie d’aujourd’hui. ”
Ramatulay : Dafa fek ne aduna man may boroman.
“ C’est ainsi, le monde m’appartient. ”

Drahman Drame : Dama tabi safara.
“J’ai atterri en plein enfer. ”
Ramatulay : Man mi may safara.
“ L’enfer c’est moi même.

Je ne suis pas morte dans la géhenne, sachez que bien avant la préhistoire, depuis, j’ai plutôt apprivoisé le feu, la vie, comme elle devrait être. Voir “ Djef diel ” grande force on sème, on récolte. Travail dans l’absolu, c’est Baye Fall. “ Considérer le dévouement, pour les guides, comme une semence dont on espère récolter quelques fruits, car l’intention comme le dit le prophète vaut l’action accomplie. ” Touchés, très zélés, c’est très réussi.

Nous devons être fiers de pouvoir dire à nos enfants ce qui est présumé être un bon futur. La sauvegarde de l’environnement mode de vie et de développement serein et durable Chirac, éloignés des colonisations masqués. Saint Louis c’est présenter Laye N’diaye à ma façon, au son de Mandiu o Kanakassy. Universel mon beau père, et mon ami quel honneur d’avoir des petits fils de Bamba. Les enfants reçoivent les afros, une monnaie avec valeur juste, comme Yobente pour sen Yay, pour leur Maman Absa M’backé domi, fille de Gaindé Fatma cœur et courage de Lion ba Serin Tuba. La chance, les bases d’un fondement sur et certain, pour un travail conceptuel à venir.
Notre nouvelle adresse.

Le palais de l’Onu

À

La place Faidherbe

À Saint Louis

- Entretien d’un trésor inestimable l’amour, la paix.
- Dialogue des cœurs.
- Culture et développement.
- Education Santé.
- Infrastructure et Démocratie.

Redonner une âme au continent, à la case, aux châteaux et aux maisons. Comme une fois Jimi Hendrix moulons tous les hymnes nationales ensemble. C’est convaincant de sacrifier se que l’on possède le plus cher en une symbiose, amour. One Word, palais des Nations unies au Sénégal. Motifs, croyances, incroyances, les identités, assez d’un dialogue politique malade. Remise en question et des réponses, sont nécessaires à la souffrance.

Qui dit visualiser, pour accompagner les écritures, ne sous entend pas informer. Par quelle presse ? Pas celle là, qui encore sous estime, la signification de la liberté et de la justice.

Comment, peut-on être victime. Prévention et thérapie. “ Nit nitay garabam ”, l’homme est le remède de l’homme. Apporter visions et critiques.

Radio et éditeurs indépendants partout, des livres pour le rêve et la tolérance.

“ Manam ”, comment dire les choses, on se souvient de “ l’Afro ndeup ” exorcisme, guérir les mentalités hantées, par la diplomatie de l’art, une autre façon de dialoguer, utilisé aussi par les guérisseurs et chamans, qui peuvent sauver, des traumatismes coloniales, entre le marteau et l’enclume, soumis au capitalisme sans foi ni loi.

“ Afro ndeup ” fortifiant, accompagné de tama et sabar, ce rythme endiablé. Afro ndeup est le vrai rythme, Cassy, c’est plastique, la mythologie dynamique. Le tempérament, la sueur dans l’identité, est un caractère primordial. Il détermine, les relations interpersonnelles. Il est actif, c’est agressif, c’est la participation de l’action même pour débloquer le temps dans sa stupeur.

Pour stimuler, ou faire sauter.

C’est dense, un double, produit artistique. Mais qui est ce gars là, magique. Personnage bien nourri un bel ensemble, pantalon gris, veston, veste, en dessus l’inoubliable casque colonial jaunit, on se souvient, on est dans le temporel, prête y attention, nous flottons sans relâche dans l’air. Remarque bien, sur quoi ton attention est fixée, lorsque tu respires. Le souffle c’est l’inspiration, ce n’est pas du cirque.

Mérite d’élargir les frontières, dans le sens d’éliminer les difficultés et barrières. C’est clair le large, l’ouverture sans fardeaux, en bas les Dogmes, les hégémonies, Il faut en premier lieu s’en défaire et grandir au delà de ça. Cap une indice… pas de lignes de conduite téléguidées dans le progrès… Laïcité liberté de conscience.

Professeur, le temps c’est de l’argent, découle de l’être. Cherchez, il ne faut pas être soumis, dupé, alors le sens nous échappe.

Comme dit Mama Sam, “ on n’est consterné, nous cherchons des explications ”.

L'africaine Occidentale (Non, Je Ne Connais Pas L'afrique)
Chedid Mathieu

Quand je te revois, mamma Sam
je retrouve les vraies valeurs...
un si grand cœur, une si belle âme...
qui ne se soucie jamais de l'heure

quand je pense qu'elle était comme moi
issue de ce pays glacial
maintenant qu'elle vit au Kenya
c'est l'africaine occidentale

refrain:
non, je ne connais pas l'afrique (bis chœurs)
aigrie est ma couleur de peau
la vie est une machine à fric
où les afreux n'ont pas d'affros

tous ces jeunes américanisés
nikés de la tête aux pieds
génération très très marquée
Mamma Sam est consternée

A cette époque où faire l'amour
est un danger pour l'humanité
il est indécent d'afficher "Nike"
sur nos vêtements dégénérés

Refrain

Mamma Sam, cette fois, c'est décidé
m'éloigner de Paname me feras le plus grand bien
et si ça se trouve, je ne reviendrais jamais...
je serais le plus blanc-bec de tous les africains

Refrain (x2

On n’a pas besoin de fausses constructions, perceptions ou identité de soi et des autres. Amis et ennemis sur des bases de duperie et de malheur, pour être humain, heureux. Bjour, bonsoir, les mouvements migratoires, voir se rencontrer, de se définir, de se raconter, de se constituer une perception du monde, au sein duquel, on se positionne et se passionne.

L’objet “ d’art ” est la valeur scientifique. Transposition (art ) conversion, transformation.

Voyageur, la soif d’expérience. Il faut, faire du bien, voyager contre le nazisme, ceux qui ne sortent jamais de chez eux, qui n’ont jusqu’ici, pas eu la chance de pouvoir comparer, ce qui est commun aux uns et aux autres et apprécier, ce qui fait leurs différences.

La créativité, dans les changements et Continuités.

On apprend à se soigner soi même, du temps, et beaucoup de choses. Médecine pour les oubliés, pendant ce temps, les gens affreux, attendent et attendent quoi au juste, meurent et meurent, pourquoi au juste. Naguère, c’était un conseil d’éthique, d’aller à la rencontre des sévices et des maladies la vocation. Dr. N’diaye, il a fait son devoir. Les chaleurs de Linguere jusqu’à Tambacounda, se sont métamorphosées, une idylle. Le paradis est ouvert, il n’a jamais été fermé, mal compris. Richesse, une prospérité qui se comprend, se transcende et ne sert, qu’à embellir la face de la terre, guérir les malades, qu’importe leur nationalité. Le serment, on apprend de nouveaux trucs et l’auréole de la sainteté, ne tarde pas à venir.

Voila, la destinée de l’argent, de l’or et des pierres précieuses et non aiguiser l’envie et l’égoïsme.

La paix mondiale, l’amour, un dynamisme de progrès, contre toutes formes d’isolationnisme social. Je t’estime bien, est le meilleur début, pour toutes les formes d’infrastructures, voir les développements des marchés et des dialogues. Les enjeux économiques, un esprit calme, il y va du tout au tout. Comment harmoniser, la justice et le développement. Les manières de faire, d’être, de penser, d’agir.

La marche, les drapeaux, ne veulent rien dire, constate comme d’autres une mère, qui à perdu un fils, sur un quelconque champ de bataille, quelque part dans le monde. Aujourd’hui dit elle en plus, rien n’est glorieux, dans la guerre.

On peut mieux faire, travailler en commun, ensemble, être juste “ Expo Fair ”, de connivence. Voila...voila on est d’accord sur ce sujet. Les conditions élémentaires d’existence sont les mêmes, se nourrir, se vêtir ou se dévêtir selon les cas...sucré ou poivré.

Je suis mulâtre et me bute à la question - suis-je plus belle que les blondes ? ”. Séduction depuis sa tour personnelle, question d’exotisme.

Plagiat ou original.

Sans toi,
les leçons d’antan,
ne sont que des coquilles, vides.

Hyppolite.
Quel merveilleux monde, Amélie.

Le métissage, est une responsabilité il faut le gérer. Devenir des origines biologiques, origines mentales, changements des structures génétiques etc. Conscient, il n’y pas à avoir peur, il n’y a pas de danger. Bien au contraire, on a entendu le Bob Marley du peintre “ Emancipate yourself for mental slavery ”. “

La belle histoire de l’humanité, n’est pas falsifiable par les mensonges ethnographiques, les pharaons d’Egypte et les nubiens nègres d’Afrique, les reines noires de Meroé, merde... des lions ou bien des lionnes ? ô Point d’interrogation. Pourquoi comparer, pourquoi respirer toujours du nez, quand on voit quelque chose. Laisser les gens, vivrent ensemble.

Les barrières, les murs, les frontières, les visas d'entrées, des démocrates collaborent avec des dictateurs au delà des frontières et appellent cela, des politiques de non ingérence. Allez, pour la libre circulation des capitaux et des marchandises et non des gens. Pourquoi, vouloir sous estimer le rôle du soleil, dans les topos énergétiques futures. Considère ses rayons comme des mains qui offrent la vie. Anch Key Hospitalité gaieté joyeux. Le cauchemar, ce qui se passe, montre des gens victimes des sols aurifères et des boues diamantineux sur lesquelles ils habitent. La raquette, achat à bas prix des ressources naturelles des uns, leur gaspillage et exploitation, pour le luxe des autres, tout cour, la cause de la pauvreté et le malheur, les lois du marché nègre.

Les chiens, les attaques c’est fréquent encore et empire plus tu vas vers l’est pour les noirs, les blancs. “ Il n’a pas oublié, comme la bête en voulait à ses couilles ”. Obama se dit ô Dieu, ce que c’est honteux, ce qui se passe dans ma famille, c’est sans dignité entre nous. Félicitations, monsieur Wade. Je vais mettre un peu d’ordre, Change, “ sopi len ”. Et si on vous dit, vous êtes juifs, vous êtes allemands vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, siii on peut. Et si on vous dit, vous êtes noirs, vous êtes blancs, vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, oui, oui, on peut. Et si on vous dit. vous êtes musulman, vous êtes chrétien, vous ne pouvez pas vivre ensemble. Alors répondez, bien sur on peut très bien. Bravo, vous comprenez une mondialisation très bien réussie, changer nos mentalités, nos organisations le plus pacifiquement que possible, sans prétention, sans vanité, ni arrogance.

Allez voir Barack, le titre, Baraka, “ Barké. ”. La bonté.

Il faut être raisonnable, la sagesse est nécessaire pour la paix.

L’identité semble plus que tout, être un fantôme. L’esprit, est le créateur de l’identité, source aussi bien des sujets, que des objets. Ce que l’on sait au juste, de l’esprit, est sa subjectivité.
“ Je suis ” “ Être ”. L’égoïsme, n’étant pas n’est pas exclu, il est important alors, de savoir, quel genre d’intérêts, sont poursuivis, dans la création des identités. C’est l’art.

Internet... Bantu est le nom commun, collectif porté par un peu plus de 400 ethnies du sud et du centre de l’Afrique hop... hop. Aujourd’hui “ 2007 ” ils existent plus de 200Million de Bantus. Dans le langage des sud-africains blancs, ( où est ce que je suis blanche moi ? Cap ). Bantu est souvent utilisé, pour nommer tous les africains de peaux noires . “ Isshee.. ! Sede Yallah. Confiance en soi-même, ou conviction profonde. Bantu est la culture, ce n’est pas du folklore, pour touristes. Le tourisme est en sens unique, surveillé et limité ce n’est pas le symbole approprie, pour promouvoir l’entente entre les peuples voir, comment sortir de la crise sociopolitiques.


Bantula c’est comme Bantu. L’union c’est l’unité, la réécriture de soi, la reconquête du pouvoir de s’auto-identifier.

Des Bantus, comme les séréres, valafs diolas et autres, se nomment dans l’union. Bantula, est leur habitat, Bantula est la demeure des Bantus. Un Passeport Bantula, ainsi, voila, enfin, on amène une réponse à nos dispositions identitaires, et nous sommes aptes à mettre en valeur nos produits, aussi bien pour nous, que pour les autres. Construire la civilisation, démilitariser les comportements, c’est mieux que faire la guerre, mieux que la barbarie.

On peut s’en rendre compte, la panique, au feu, au feu, la case de Birama brûle. Cela se voit, avec “ afrique ” c’était un malentendu “ Até niakal ” la faillite totale, on ne sait pas quoi faire au juste, mais une fois Bantula... hop là, la solution es là. Oui, oui, là tête va aussitôt beaucoup mieux, aérer c’est important, et cela passe pour tout le monde

La fin du drame, le début d’un beau conte et d’une belle poésie “ universel ” et qui le respire le premier, ira au paradis. ” Ici, la dignité… pureté. Chaque être humain, est un individu, il a sa dignité, le droit à une vie saine. Ils n’acceptent pas les violences, ils n’acceptent pas les brutalités, les répressions.

Lay : C’est si beau, quand on a une vision de Bantula.
Cap : Et surtout, si elle se comprend elle même.

Voir, El’hadj Sarr, est heureux. “ Yan gi dis na, vaye atan nan ko ”. La charge est lourde,
mais on peut la porter. Il faut voir Schritti, consommer après des millénaires. Interprétation, exégèse Cap. Cheick Anta et Senghor, l’un procède par l’énergie, l’autre dans le temps, toujours selon elle, Cap. Ce qui est bon dans les projets, c’est leur étoffe interactive. Ils communiquent, dans la mémoire du temps. Imagination, Impulse et Vision. Le concret.

Confiance, sentiment de sa propre valeur, la situation est clarifiée et le problème est élucidé. Exécuter les idées, ce n’est pas exagérer. Il n’y a à cela, pas de raison d’être belliqueux. Nous voulons, l’avoir à nouveau, notre bâtiment “ Tour du monde ”. Pour célébrer... j’ai nommé, M’baye Diop, Djbril Diop Mambetty, Ibou Diouf, Modou Niang, Kébé, Seydou Barry, j’en viens à Joe Ouakam, Xulu, Muntaga, Babacar, la piste “ des blindés ” est longue. Rien que d’illustres, représentants de la dignité, de l’être humain, ce droit inaliénable.

Saluez une mémoire, inoubliable.

L’air frais que l’on respire, l’eau salée, l’océan Atlantique, à la plage veuillez ramener vos déchets.

Travaux de recherche, pour le royaume de l’enfance. Etudes et documentation. Conservation, pour les rapports futurs. Un véritable ministère. Environnement et culture, peuvent si bien allez de pair, ivre de paix, amoureux.

Nul n’a besoin, de la dignité des autres, la vertu est partout. “ Alle man, nous sommes les noirs, nous sommes les rouges et les jaunes, des gens dignes parce qu’ils s’aiment les uns et les autres, parce qu’ils sont unis. Ici, nous sommes. Identité, exprime encore une fois, égalité parfaite, ou entente complète, s’agissant de personnes ou de choses. ”

Vous voyez Gudrun Ciss, la mère de Malaika, elle est si remplie d’amour, qu’elle se pose la question, comment quittez un jour de si grands hospitaliers. Bamako. Au contraire, une perspective inverse. Bantus ne veut pas dire une ethnie quelconque, sinon tous unifiés.

“ Nieep ben lan ”. Amour collectif.

Ankh key, Bravo Thot pour le climat. La teranga, hospitalité, pardonner, partager, j’ouvre grand mon cœur et attend... L’affirmation d’une modernité, ne pose pas un problème, la science est universelle. Elle est si vaste, l’univers. L’ensemble, où tout est lié à tout, indissociable, tous unis. Rien ne manque, vous êtes tous les bienvenus.

être

Dans un futur où il fait bon vivre, car les prières s’exaucent. Le présent est calme et le passé, se repose... vraiment.

C’est comme un peu l’initiation, le Bois sacré. Bantu, veut simplement dire, les hommes, les femmes comprises, unies. C’est aussi une prévention contre le chauvinisme politique et un remède contres les discriminations sociales. Sémantique, la signification, le sens des mots, il faut en avoir. Ainsi on a, pour parler Cheick Anta Diop “ ba ” les “ ntu ” hommes et femmes - Mensch, comme Nit en valaf ou Nke en Bambara. On n’a pas besoin d’autrui, pour nous dire qui nous sommes.

Bantu = Benit= Un “ vieux valaf ”

L’union, est la femme ou l’homme aboutit dans les autres, un bien aimé. Un Réalisateur les deux à la fois, soi même et l’autre, un dirigeant, un conscient, un éclairé “ illuminé, inspiré ” demandez Cheick Anta Diop “ Internet ” ou bien écoutez Samba Diarra “ Nous sommes des mallettes de paroles, si tu nous ouvres, nous nous transformons dans la langue du seigneur ”

Ce qui est destiné a la recherche, est scientifique. Il ne peut pas y avoir, d’animosité ou de concurrence.

Les moyens, les forts, les biens forts et les moins forts, encore par ces utiles outils, on prend notre temps, puis on élabore les sujets, qui nous préoccupent. Irritable ? Non sans stress !
Exprimer le changement, le formuler, l’organiser. Et même des fois, le promouvoir, aller l’encourager, comme une fois l’ANC. Art contre Apartheid.

Oui..!

Les années de combat contre le racisme la xénophobie et autres, n’étaient pas destinées à la création d’un état indépendant sud-africain. Les Illusions, sont les états indépendants africains séparés. Au contraire comme le nom le dit : ( ANC ) African National Congress, le but du combat était de trouver une solution aux problèmes en général du continent.

Vive Bantula, vive l’union des Bantu.

La lutte continue

Cap et Lay.

Congre de réunification, où division eut lieu. Berlin.

Il ne fait pas bon vivre, au dépend des générations futures. Et lorsque les adultes, auront bien rempli leurs fonctions, les enfants peuvent se réjouir, d’un présent vierge, et bénéficient de forces nouvelles pour maîtriser leur propre destin.

Mérite.

Allée Djbril Diop Mambetty, à rêver.

Cassy : Beaucoup sont partis.
Lay : Où sont-ils partis.
Cassy : Ils sont morts.
Lay : Ils se réincarnent, dans les enfants.
Cassy : C’est exactement cela.

La défaite, la poussière, peuf, peuf, léger, c’est mobile ça. Rien que du sabotage en commun, le manque de confiance réciproque, qui est à surmonter. Vous savez, CFA et Afrique, les intérêts dépendent du jusqu’au-boutisme, “ du ba sa yah ba ”, le jusqu’à l’os, de la détermination politique, mais pour l’instant, le dialogue est au point mort.

Ethnologie Rouch, le rêve est plus puisant que la mort, penser juste et réaliser le contraire, la vérité n’est pas à discréditer, par l’ésotérisme. C’est accepté, intégration des Griaules dans le Yassiguina. Ainsi nous retrouvons dans le Manga, le Bars ah, ou Jenseits, à l’au-delà une grande diversité. Il faut bien, expliquer les grandes fatigues, des cérémonies de deuil. C’est fini, Yassi geen. La révélation, Bantula et vivent les afros, coupures franches et net.

Un jour le terme Afrique est mort, alors enterrons le en Dogon, avec cérémonie dans les falaises. Bandiagarra Inchaalla.

Tu peux diviser, comme tu peux unir. Les esprits subtils, il fallait passer par l’abstraction, pour visualiser l’invisible ”. C’est difficile, de comprendre l’inconnu et l´étrange.

A “ diang ”, le savoir. Dix sur dix.

Champion, je suis invincible, je suis imbattable, souvent le cri de victoire, des enfants dans le jeu.

Ce qui naît à besoin d’orientation, la jeunesse n’a pas d’argent. Dans quel esprit éduquer les enfants, plutôt dans l’amitié. Cosmos, voir avec la lumière. La clarté, est une cargaison de temps, entre dormir et se réveiller elle était, la lumière et elle ne connaît pas, de Pauvreté, alors en finir avec les dettes contraignantes, Bantula un continent non endetté, notre droit à un épanouissement libre, un présent propre, laver propre des incapacités des adultes, de régler leurs différents politiques, entre eux, des murs partout, et même dans les têtes.

Et pour le futur.

Ethique... le flou, qui a besoin de transparence et que l’on nomme obscurantisme est, qui est sujet et maître, et qui est objet ou subordonné. En vérité il n’y a ni sujet ni objet. Ni maître ni esclave. Ecoutez pareils, il y a identité, égalité.


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Dès lors le Nègre n´éxiste plus, dès lors capable de ressaisir la continuité de son passé historique, de tirer de celui-ci le bénéfice moral nécessaire pour reconquérir sa place dans le monde moderne, sans verser dans le nazisme à rebours, le racisme tout cour.

Le Tournant, c´est la bonne démarche à suivre prochainement avec BANTULA « Liberté, égalité, fraternité. »

Zobelart@web.de

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