L’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, son Excellence James P. Zumwalt, a présidé ce mercredi 2 septembre 2015, en présence des autorités administratives et locales et des acteurs du secteur semencier de la région de Kaolack, la cérémonie officielle d’inauguration du nouveau Centre de Traitement des Semences (CTS) de Kaolack.
Le bassin arachidier est la plaque tournante des cultures céréalières, notamment du mil, du maïs et du sorgho d’où la nécessite d’avoir un centre de traitement qui est un d’investissement stratégique dans la politique d’autosuffisance du Sénégal.
Dans son discours, l’Ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal M. Zumwalt a rappelé que « la qualité des semences est l’épine dorsale de la productivité agricole ».
Le Centre de traitement, déjà fonctionnel, est spécialisé dans le traitement et le conditionnement des semences céréalières notamment pour couvrir les besoins en semences certifiées des régions de Kaolack, Fatick et Kaffrine. Le CTS a une capacité de traitement de 3.000 tonnes de semences de maïs, mil et sorgho par an et pour la campagne en cours il a déjà traité près de 2.500 tonnes de semences céréalières certifiées.
Pour concrétiser ce projet, l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) a facilité la mise en place d’un système de partenariat à coûts partagés avec l’entreprise KASEC (Kaolack Semences et Céréales) détenue par deux opérateurs privés de Kaolack, en l’occurrence El hadji Ibrahima Niass et Aladji Tambédou.
L’apport de l’USAID, en termes de subvention à l’Etat du Sénégal, a porté sur l’acquisition d’une unité polyvalente de traitement et de conditionnement des semences d’une capacité de 1,5 tonne par heure et d’un groupe électrogène de 66 KVA. Les deux opérateurs ont pris en charge la construction des bâtiments et le fond de roulement.
Cet investissement s’inscrit dans la dynamique de croissance inclusive du Programme de Relance et d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS) et du projet des corridors céréaliers du Plan Sénégal Emergent (PSE) qui vont booster la production céréalière et les revenus des agriculteurs.
M. Zumwalt a rappelé que conformément à son objectif de réduire la pauvreté et la malnutrition, l’Initiative alimentaire pour l’avenir (Feed the Future), met l’accent sur les petits agriculteurs à travers l’USAID.
Avec la mise en place des CTS de Kaolack et de Kolda et la réhabilitation de celle de Richard Toll, le Sénégal dispose de nouvelles infrastructures pour redynamiser le secteur semencier et soutenir le système de certification notamment pour les céréales. Les trois unités ont été équipées par l’USAID tout comme les trois laboratoires semenciers qui les accompagnent et deux stations de recherche à Fanaye et Nioro pour un coût global de près d’un (1) milliard de FCFA. Ces activités ont été mises en œuvre par le Project Croissance Economique (USAID/PCE) qui a évolué pour devenir Feed the Future Sénégal Naatal Mbay depuis mai 2015.
Ces investissements qui viennent en appui au grand projet de reconstitution du capital semencier du Sénégal vont désormais permettre aux exploitants agricoles d’avoir accès à des semences certifiées, obtenir de meilleurs rendements, dépasser le seuil de subsistance et saisir les opportunités commerciales qu’offrent les chaines de valeurs céréalières.
Le bassin arachidier est la plaque tournante des cultures céréalières, notamment du mil, du maïs et du sorgho d’où la nécessite d’avoir un centre de traitement qui est un d’investissement stratégique dans la politique d’autosuffisance du Sénégal.
Dans son discours, l’Ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal M. Zumwalt a rappelé que « la qualité des semences est l’épine dorsale de la productivité agricole ».
Le Centre de traitement, déjà fonctionnel, est spécialisé dans le traitement et le conditionnement des semences céréalières notamment pour couvrir les besoins en semences certifiées des régions de Kaolack, Fatick et Kaffrine. Le CTS a une capacité de traitement de 3.000 tonnes de semences de maïs, mil et sorgho par an et pour la campagne en cours il a déjà traité près de 2.500 tonnes de semences céréalières certifiées.
Pour concrétiser ce projet, l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) a facilité la mise en place d’un système de partenariat à coûts partagés avec l’entreprise KASEC (Kaolack Semences et Céréales) détenue par deux opérateurs privés de Kaolack, en l’occurrence El hadji Ibrahima Niass et Aladji Tambédou.
L’apport de l’USAID, en termes de subvention à l’Etat du Sénégal, a porté sur l’acquisition d’une unité polyvalente de traitement et de conditionnement des semences d’une capacité de 1,5 tonne par heure et d’un groupe électrogène de 66 KVA. Les deux opérateurs ont pris en charge la construction des bâtiments et le fond de roulement.
Cet investissement s’inscrit dans la dynamique de croissance inclusive du Programme de Relance et d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS) et du projet des corridors céréaliers du Plan Sénégal Emergent (PSE) qui vont booster la production céréalière et les revenus des agriculteurs.
M. Zumwalt a rappelé que conformément à son objectif de réduire la pauvreté et la malnutrition, l’Initiative alimentaire pour l’avenir (Feed the Future), met l’accent sur les petits agriculteurs à travers l’USAID.
Avec la mise en place des CTS de Kaolack et de Kolda et la réhabilitation de celle de Richard Toll, le Sénégal dispose de nouvelles infrastructures pour redynamiser le secteur semencier et soutenir le système de certification notamment pour les céréales. Les trois unités ont été équipées par l’USAID tout comme les trois laboratoires semenciers qui les accompagnent et deux stations de recherche à Fanaye et Nioro pour un coût global de près d’un (1) milliard de FCFA. Ces activités ont été mises en œuvre par le Project Croissance Economique (USAID/PCE) qui a évolué pour devenir Feed the Future Sénégal Naatal Mbay depuis mai 2015.
Ces investissements qui viennent en appui au grand projet de reconstitution du capital semencier du Sénégal vont désormais permettre aux exploitants agricoles d’avoir accès à des semences certifiées, obtenir de meilleurs rendements, dépasser le seuil de subsistance et saisir les opportunités commerciales qu’offrent les chaines de valeurs céréalières.