Le quotidien Liberian Dailey Observer, mardi dernier, a accusé les Etats-Unis d’avoir délibérément manipulé chimiquement le virus Ebola et du Sida dans des laboratoires de recherche sur le bioterrorisme.
Le journal va même plus loin en disant que les Africains ont été intentionnellement infectés pendant des campagnes de vaccination. C’est lors de ces programmes que le virus de l’Ebola a été transmis aux africains.
Selon le journal, le gouvernement américain son le Département de la Défense et des universités de recherche américaines se sont associés pour tester des armes biologiques sur les peuples africains.
L’article est signé par le Dr. Cyril E. Broderick, qui a été un professeur de phytopathologie à l’Université du Collège de l’agriculture du Liberia et il a également donné des cours d’agriculture à l’Université du Delaware aux USA.
Cet article du Dr Cyril E. Broderick a été tiré à plus de 30 000 exemplaires. La distribution du Daily Observer se fait principalement dans la capitale libérienne de Monrovia et le présent article, en première page, est critiqué parce qu’il développe une méfiance concernant les programmes de vaccination dans l’Afrique de l’Ouest.
Le Dr. Broderick indexe plusieurs organisations qui participent à la mise en place de points d’essai sur les maladies émergentes, en particulier sur le virus Ebola et les vaccinations.
Parmi elles, l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’Armée américaine (USARIID) à Fort Detrick dans le Maryland, l’Université Tulane, y compris une subvention de 7 millions de dollars pour l’Institut nationale de la santé, le CDC, Médecins sans frontières, Tekmira, une société pharmaceutique canadienne et GlaxoSmithKline du Royaume-Uni.
Broderick a dit que les dirigeants africains ont besoin de protéger leurs citoyens pour ne pas qu’ils deviennent des cobayes. Il a continué en disant:
Il est très inquiétant que le gouvernement américain ait exploité une fièvre hémorragique virale dans un laboratoire de recherche sur le bioterrorisme au Sierra Leone. Y en a t-il d’autres?
Le journal va même plus loin en disant que les Africains ont été intentionnellement infectés pendant des campagnes de vaccination. C’est lors de ces programmes que le virus de l’Ebola a été transmis aux africains.
Selon le journal, le gouvernement américain son le Département de la Défense et des universités de recherche américaines se sont associés pour tester des armes biologiques sur les peuples africains.
L’article est signé par le Dr. Cyril E. Broderick, qui a été un professeur de phytopathologie à l’Université du Collège de l’agriculture du Liberia et il a également donné des cours d’agriculture à l’Université du Delaware aux USA.
Cet article du Dr Cyril E. Broderick a été tiré à plus de 30 000 exemplaires. La distribution du Daily Observer se fait principalement dans la capitale libérienne de Monrovia et le présent article, en première page, est critiqué parce qu’il développe une méfiance concernant les programmes de vaccination dans l’Afrique de l’Ouest.
Le Dr. Broderick indexe plusieurs organisations qui participent à la mise en place de points d’essai sur les maladies émergentes, en particulier sur le virus Ebola et les vaccinations.
Parmi elles, l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’Armée américaine (USARIID) à Fort Detrick dans le Maryland, l’Université Tulane, y compris une subvention de 7 millions de dollars pour l’Institut nationale de la santé, le CDC, Médecins sans frontières, Tekmira, une société pharmaceutique canadienne et GlaxoSmithKline du Royaume-Uni.
Broderick a dit que les dirigeants africains ont besoin de protéger leurs citoyens pour ne pas qu’ils deviennent des cobayes. Il a continué en disant:
Il est très inquiétant que le gouvernement américain ait exploité une fièvre hémorragique virale dans un laboratoire de recherche sur le bioterrorisme au Sierra Leone. Y en a t-il d’autres?