
Le roi du Maroc Mohamed 6
Les Marocains prennent possession d'une partie de la vallée du Fleuve, le royaume chérifien trône sur une belle réserve foncière destinée à un projet rizicole qui s'étend de Dodel à Dara Halaybé jusqu'à Démette. Les 8500 hectares ont été cédés par la commune de Diodel tandis que les 1500 hectares sont situés dans le périmètre communal de Démette.
De sources très bien renseignées, l'AS a appris que cette vaste superficie de terre a été presque gracieusement acquise par le groupe ADDOHA qui, en contrepartie, n'a décaissé que 2 milliards de francs, pour l'acquisition de ce site qui accueillera son projet rizicole.
Le souci découle du fait que l'entreprise est novice dans le domaine agricole, car ayant bâti sa réputation dans le domaine de l'immobilier, d'où l'inquiétude légitime d'interlocuteurs du journal, qui jugent énorme la surface mise à sa disposition. "Il aurait été plus sage de démarrer par quelque chose de moins grand", souffle ainsi un élu local. Les Marocains ont obtenu un bail de 40 ans, lequel bail a été signé sous réserve d'un protocole d'accord d'un an qui stipule que s'ils ne respectent pas le protocole, le contrat est résilié.
Compte tenu de l'ensemble de ces facteurs particulièrement avantageux pour les promoteurs du royaume chérifien, une vague de contestations commence petit à petit à s'élever dans la zone pour dénoncer un gigantesque bradage foncier. Le montant dérisoire de la contrepartie financière combiné à l'énorme superficie du site et à la longue durée du bail, a mis en rogne certains autochtones. Le seul petit lot de consolation pour les populations, est constitué des 2000 hectares que les Marocains ont promis d'aménager et de mettre à leur disposition.
source: l'AS
De sources très bien renseignées, l'AS a appris que cette vaste superficie de terre a été presque gracieusement acquise par le groupe ADDOHA qui, en contrepartie, n'a décaissé que 2 milliards de francs, pour l'acquisition de ce site qui accueillera son projet rizicole.
Le souci découle du fait que l'entreprise est novice dans le domaine agricole, car ayant bâti sa réputation dans le domaine de l'immobilier, d'où l'inquiétude légitime d'interlocuteurs du journal, qui jugent énorme la surface mise à sa disposition. "Il aurait été plus sage de démarrer par quelque chose de moins grand", souffle ainsi un élu local. Les Marocains ont obtenu un bail de 40 ans, lequel bail a été signé sous réserve d'un protocole d'accord d'un an qui stipule que s'ils ne respectent pas le protocole, le contrat est résilié.
Compte tenu de l'ensemble de ces facteurs particulièrement avantageux pour les promoteurs du royaume chérifien, une vague de contestations commence petit à petit à s'élever dans la zone pour dénoncer un gigantesque bradage foncier. Le montant dérisoire de la contrepartie financière combiné à l'énorme superficie du site et à la longue durée du bail, a mis en rogne certains autochtones. Le seul petit lot de consolation pour les populations, est constitué des 2000 hectares que les Marocains ont promis d'aménager et de mettre à leur disposition.
source: l'AS