Sous contrat avec Lyon jusqu’en 2012, Jean II Makoun est vendu à la hâte à Aston Villa à l’hiver 2011 pour calmer la vindicte des supporters qui jugent son rendement insuffisant. À travers lui, c’est Claude Puel qui est visé mais qu’importe, le résultat est là et l’international camerounais quitte la Ligue 1 par la petite porte. Blessé à la cuisse dès la reprise du championnat, il ne participe qu’à sept rencontres avec les Villans avant de rendre les armes. Le 29 août 2011, il est prêté à l’Olympiakos pour un an avec option d’achat et réussit une saison pleine (30 matches, 2 buts) avec à la clé, un titre de champion de Grèce.
Revenu à son meilleur niveau, le natif de Yaoundé suscite à nouveau les convoitises et ne s’interdit rien. De retour à Birmingham, il envisage autant d’y rester que de mettre les voiles. « Je suis prêt à écouter toutes les offres ! Je pense que c’est la loi du football, la loi du milieu. Après, rester à Aston Villa ne me dérangerait pas du tout, vraiment pas du tout. C’est un club qui m’a recruté, avec qui je suis sous contrat. Mais les offres sont toujours les bienvenues, pour n’importe quel joueur. Je suis ouvert à tout. Rien n’est clos pour personne. Je suis à l’écoute. Dans le foot, tout peut aller très vite et tout est possible. Surtout à cette période, où il y a forcément beaucoup de coups de fil, de sollicitations. »
De là à envisager un retour en France malgré le souvenir douloureux de son départ en catimini ? « Un retour en France... Dans le foot, il faut surtout savoir où est-ce qu’on a besoin de vous, où est-ce qu’on a envie de vous. Et après, il faut s’imposer et gagner sa place. Il faut gagner sa place sur le terrain où qu’on soit. » Et justement, Rennes, qui se prépare de longue date à perdre Yann M’Vila, serait sur la piste du Camerounais de 29 ans, selon 20 Minutes.fr. Mais l’affaire n’est pas simple. D’abord, il y a la question du salaire et celui de Makoun est bien supérieur aux standards du club breton. Ensuite vient la volonté et l’ambitieux milieu de terrain rêve de grosses cylindrés, pas exactement le profil d’un club qui peine à s’installer durablement dans les hautes sphères du football français. Également cité du côté de Nice depuis le retour aux affaires de Claude Puel (qui l’a lancé au LOSC), Makoun a l’embarras du choix et jusqu’à la fin de l’été pour prendre une décision.
Amaury de Bonneval
Revenu à son meilleur niveau, le natif de Yaoundé suscite à nouveau les convoitises et ne s’interdit rien. De retour à Birmingham, il envisage autant d’y rester que de mettre les voiles. « Je suis prêt à écouter toutes les offres ! Je pense que c’est la loi du football, la loi du milieu. Après, rester à Aston Villa ne me dérangerait pas du tout, vraiment pas du tout. C’est un club qui m’a recruté, avec qui je suis sous contrat. Mais les offres sont toujours les bienvenues, pour n’importe quel joueur. Je suis ouvert à tout. Rien n’est clos pour personne. Je suis à l’écoute. Dans le foot, tout peut aller très vite et tout est possible. Surtout à cette période, où il y a forcément beaucoup de coups de fil, de sollicitations. »
De là à envisager un retour en France malgré le souvenir douloureux de son départ en catimini ? « Un retour en France... Dans le foot, il faut surtout savoir où est-ce qu’on a besoin de vous, où est-ce qu’on a envie de vous. Et après, il faut s’imposer et gagner sa place. Il faut gagner sa place sur le terrain où qu’on soit. » Et justement, Rennes, qui se prépare de longue date à perdre Yann M’Vila, serait sur la piste du Camerounais de 29 ans, selon 20 Minutes.fr. Mais l’affaire n’est pas simple. D’abord, il y a la question du salaire et celui de Makoun est bien supérieur aux standards du club breton. Ensuite vient la volonté et l’ambitieux milieu de terrain rêve de grosses cylindrés, pas exactement le profil d’un club qui peine à s’installer durablement dans les hautes sphères du football français. Également cité du côté de Nice depuis le retour aux affaires de Claude Puel (qui l’a lancé au LOSC), Makoun a l’embarras du choix et jusqu’à la fin de l’été pour prendre une décision.
Amaury de Bonneval