Il suffit, quand ils sont tenaillés par l'envie sexuelle, de contracter une union de deux jours, d'une semaine, de trois mois voire plus, ave
c une femme consentante. Une pratique qui s'exercer en conformité avec des préceptes islamiques mais qui heurte la morale pour le citoyen lambda habitué à d'autres types d'alliance maritale. Mais c'est ignorer, d'après l'ingénieur agronome Ibrahima Sakho, que "dans l'Islam, le mariage veut dire, originellement, "niqa", qui signifie jouir. L'acte de jouissance est un élément essentiel dans le mariage, car s'il s'avère que l'époux est impuissant, il devient caduc. Une thèse confrontée par Alioune Badiane , un professeur histoire-géographie, membre de la communauté chiite au Sénégal:" tout mariage est temporaire, car prenant fin avec le décès de l'un des partenaires ou d'un divorce. Il faut reconnaître que le but du mariage permanent est de satisfaire ses besoins sexuels, car si c'était seulement pour fonder un foyer ou d'avoir des enfants les couples qui n'ont pas d'enfants devront se séparer."
Décrié par la plus part des sénégalais qui le considère comme du libertinage sexuel, le mariage temporaire viserait simplement, d'après ses défenseurs, à préserver "l'honorabilité sexuelle de la femme" en permettant de regler certaine situations dans la légalité.
Durant le mariage à durée limitée seul Dieu est témoin. Il suffit juste que la femme dise à l'homme:" je me donne à toi en mariage temporaire pour une durée d'une heure, d'une semaine, de deux mois, de vingt ans et pour un dot de X...francs." Et si le conjoint dit: "j'accepte", le mariage est valide", fait savoir Alioune Badiane.
Autant chez les chiite que chez les sunnites on soutient mordicus que de grands marabouts ont eu à expérimenter cette union. "Braucoup de marabouts le font, mais ils ne le diront jamais." confie un célèbre islamologue, sunnite de surcroit avec le sourire ironique. "Un marabout m'a fait savoire que j'ai réveillé leur colère pour avoir rendu publique une pratique qui leur était réservée". rapporte Alioune Badiane.
c une femme consentante. Une pratique qui s'exercer en conformité avec des préceptes islamiques mais qui heurte la morale pour le citoyen lambda habitué à d'autres types d'alliance maritale. Mais c'est ignorer, d'après l'ingénieur agronome Ibrahima Sakho, que "dans l'Islam, le mariage veut dire, originellement, "niqa", qui signifie jouir. L'acte de jouissance est un élément essentiel dans le mariage, car s'il s'avère que l'époux est impuissant, il devient caduc. Une thèse confrontée par Alioune Badiane , un professeur histoire-géographie, membre de la communauté chiite au Sénégal:" tout mariage est temporaire, car prenant fin avec le décès de l'un des partenaires ou d'un divorce. Il faut reconnaître que le but du mariage permanent est de satisfaire ses besoins sexuels, car si c'était seulement pour fonder un foyer ou d'avoir des enfants les couples qui n'ont pas d'enfants devront se séparer."
Décrié par la plus part des sénégalais qui le considère comme du libertinage sexuel, le mariage temporaire viserait simplement, d'après ses défenseurs, à préserver "l'honorabilité sexuelle de la femme" en permettant de regler certaine situations dans la légalité.
Durant le mariage à durée limitée seul Dieu est témoin. Il suffit juste que la femme dise à l'homme:" je me donne à toi en mariage temporaire pour une durée d'une heure, d'une semaine, de deux mois, de vingt ans et pour un dot de X...francs." Et si le conjoint dit: "j'accepte", le mariage est valide", fait savoir Alioune Badiane.
Autant chez les chiite que chez les sunnites on soutient mordicus que de grands marabouts ont eu à expérimenter cette union. "Braucoup de marabouts le font, mais ils ne le diront jamais." confie un célèbre islamologue, sunnite de surcroit avec le sourire ironique. "Un marabout m'a fait savoire que j'ai réveillé leur colère pour avoir rendu publique une pratique qui leur était réservée". rapporte Alioune Badiane.