Comment utiliser l’expérience chronologique du déploiement des NTIC en Europe pour être en phase avec celui du continent Africain ?
Apprendre de nos expériences et les pérenniser en adéquation avec le marché local Africain.
Je pense que nous assistons à une révolution, et pour une fois, qui pourra être prise en main par les Africains sur leur sol, même si les partenariats avec les acteurs internationaux du marché reste primordial.
En effet il n’est pas un jour sans qu’une entreprise, une initiative ou une application n’apparaisse en Afrique dans le secteur porteur des nouvelles technologies.
Résumons les domaines: Internet, réseaux sociaux, Smartphones et Tablettes, télécoms, logiciels et déploiements d’infrastructures, systèmes d’informations, digitalisation et externalisation, dématérialisation de contenus.
L’ensemble de ces activités touchent des milliers de secteurs et favorisent la croissance du continent: Projets, emplois, bâtiment, communication, l’apprentissage et la formation et surtout et enfin l’éducation.
C’est maintenant l’opportunité pour des millions de gens d’accéder à l’information, la culture et la connaissance.
Bien sur les accès sont difficiles, chers et compliqués, les infrastructures pas assez déployés, mais cela avance et vite, de nombreuses capitales ont enfin accès à la fibre et le déploiement est important.
Dans un Workshop auquel je participais trois thèmes étaient évoqués pour favoriser entrepreneuriat en Afrique: Accroître entrepreneuriat en milieu rural, comment développer l’esprit d’entreprendre auprès des jeunes et dans quelles perspectives les nouvelles technologies favorisent le développent du continent.
C’est à ce titre que j’ai pu mettre en avant un parallèle entre la demande en Europe sur un secteur porteur: Les applications mobiles (Smartphones et Tablettes) dédiés aux métiers et les demandes des entreprises. Le mot est clair dans les grands groupes éditeurs de logiciels « Nous voulons des applications offline », c’est à dire des applications qui permettent de travailler sur site (usines, commerces, industries, administrations etc…) mais ne nécessitant pas de connexion internet pour fonctionner. Il faut que la synchronisation se fasse une fois connecté au bureau de l’utilisateur.
En effet même dans un pays développé technologiquement comme la France, les problèmes de connexions sont récurrents et les entreprises ne veulent plus subir les soucis liés à l’accès Wifi, clé de connexion ou réseau plus ou moins efficace, sans parler des problèmes de sécurités liés au accès Wifi.
La demande est donc d’utiliser des terminaux non connectés qui seront mis à jour quand un accès fiable ou sécurisé sera mis à disposition, au bureau, dans une ville ou au domicile de l’utilisateur.
Je pense qu’en Afrique c’est la méthode à appliquer afin de sauter cette longue étape de test « utilisateurs » que nous avons connu.
Nous en parlions justement au Workshop d’Afrika Progress oragnisé par Céline Valensi:
Le déploiement des applications, les domaines de prédilection et les accès au réseau: Des sujets au cœur du débat.
Une très bonne question venait d’un DSI d’une grande fédération Française: « Très bien les nouvelles technologies explosent en Afrique, mais nous sommes sur le terrain et sans cesse confrontés aux complications administratives, opérationnelles, bureaucratiques et de corruption qui font que le déploiement de solution devient dépendant de nombreux organismes qui hélas ne favorisent pas toutes les initiatives ».
Là aussi le côté offline des applications me semble une solution. Par exemple dans le milieu crucial de l’éducation ou les applications de cours ne doivent pas être dépendante de l’accès Internet.
Nous voyons sans cesse dans www.afiquetechnologies.com des entreprises proposer des solutions innovantes reliées aux nouvelles technologies, dans tous les secteurs:
Agriculture avec la gestion de la météo si cruciale pour les agriculteurs et les éleveurs,
Éducation: Imaginons les manuels scolaires enfin disponible sur l’ensemble de l’Afrique grâce au digital,
Administratif: Enfin disposer de papiers administratif avec une clef USB qui contient les documents d’une famille ou parfois d’un village en milieu rural,
Paiements: Avec la possibilité de payer de petits ou grands achats grâce aux Smartphones et d’en contrôler les coûts.
Les perspectives sont vraiment aussi variées qu’impressionnantes.
Quant aux milliardaires du monde ? Ils investissent en masse… en Afrique !
Thierry Barbaut
Apprendre de nos expériences et les pérenniser en adéquation avec le marché local Africain.
Je pense que nous assistons à une révolution, et pour une fois, qui pourra être prise en main par les Africains sur leur sol, même si les partenariats avec les acteurs internationaux du marché reste primordial.
En effet il n’est pas un jour sans qu’une entreprise, une initiative ou une application n’apparaisse en Afrique dans le secteur porteur des nouvelles technologies.
Résumons les domaines: Internet, réseaux sociaux, Smartphones et Tablettes, télécoms, logiciels et déploiements d’infrastructures, systèmes d’informations, digitalisation et externalisation, dématérialisation de contenus.
L’ensemble de ces activités touchent des milliers de secteurs et favorisent la croissance du continent: Projets, emplois, bâtiment, communication, l’apprentissage et la formation et surtout et enfin l’éducation.
C’est maintenant l’opportunité pour des millions de gens d’accéder à l’information, la culture et la connaissance.
Bien sur les accès sont difficiles, chers et compliqués, les infrastructures pas assez déployés, mais cela avance et vite, de nombreuses capitales ont enfin accès à la fibre et le déploiement est important.
Dans un Workshop auquel je participais trois thèmes étaient évoqués pour favoriser entrepreneuriat en Afrique: Accroître entrepreneuriat en milieu rural, comment développer l’esprit d’entreprendre auprès des jeunes et dans quelles perspectives les nouvelles technologies favorisent le développent du continent.
C’est à ce titre que j’ai pu mettre en avant un parallèle entre la demande en Europe sur un secteur porteur: Les applications mobiles (Smartphones et Tablettes) dédiés aux métiers et les demandes des entreprises. Le mot est clair dans les grands groupes éditeurs de logiciels « Nous voulons des applications offline », c’est à dire des applications qui permettent de travailler sur site (usines, commerces, industries, administrations etc…) mais ne nécessitant pas de connexion internet pour fonctionner. Il faut que la synchronisation se fasse une fois connecté au bureau de l’utilisateur.
En effet même dans un pays développé technologiquement comme la France, les problèmes de connexions sont récurrents et les entreprises ne veulent plus subir les soucis liés à l’accès Wifi, clé de connexion ou réseau plus ou moins efficace, sans parler des problèmes de sécurités liés au accès Wifi.
La demande est donc d’utiliser des terminaux non connectés qui seront mis à jour quand un accès fiable ou sécurisé sera mis à disposition, au bureau, dans une ville ou au domicile de l’utilisateur.
Je pense qu’en Afrique c’est la méthode à appliquer afin de sauter cette longue étape de test « utilisateurs » que nous avons connu.
Nous en parlions justement au Workshop d’Afrika Progress oragnisé par Céline Valensi:
Le déploiement des applications, les domaines de prédilection et les accès au réseau: Des sujets au cœur du débat.
Une très bonne question venait d’un DSI d’une grande fédération Française: « Très bien les nouvelles technologies explosent en Afrique, mais nous sommes sur le terrain et sans cesse confrontés aux complications administratives, opérationnelles, bureaucratiques et de corruption qui font que le déploiement de solution devient dépendant de nombreux organismes qui hélas ne favorisent pas toutes les initiatives ».
Là aussi le côté offline des applications me semble une solution. Par exemple dans le milieu crucial de l’éducation ou les applications de cours ne doivent pas être dépendante de l’accès Internet.
Nous voyons sans cesse dans www.afiquetechnologies.com des entreprises proposer des solutions innovantes reliées aux nouvelles technologies, dans tous les secteurs:
Agriculture avec la gestion de la météo si cruciale pour les agriculteurs et les éleveurs,
Éducation: Imaginons les manuels scolaires enfin disponible sur l’ensemble de l’Afrique grâce au digital,
Administratif: Enfin disposer de papiers administratif avec une clef USB qui contient les documents d’une famille ou parfois d’un village en milieu rural,
Paiements: Avec la possibilité de payer de petits ou grands achats grâce aux Smartphones et d’en contrôler les coûts.
Les perspectives sont vraiment aussi variées qu’impressionnantes.
Quant aux milliardaires du monde ? Ils investissent en masse… en Afrique !
Thierry Barbaut