« Nous avons observé un arrêt de travail ; nous demandons notre régularisation, a déclaré Ibrahima Sall. Ce syndicaliste a révélé qu’il y a des gens qui travaillent dans ladite société « depuis plus de 9 ans sans contrat ».
A cela, il faut ajouter que les journaliers restent parfois deux semaines sans être payés. Le plus blessant, poursuit Ibrahima Sall, est que les autorités de la société « menacent de nous renvoyer parce que nous avons refusé de travailler le dimanche, jour consacré férié au Sénégal pour tout le monde. Elles nous font travailler comme des animaux ».
Le Directeur de Senegindia contacté par la Rfm, a indiqué que des négociations sont en train d’être menées pour trouver des solutions.
Présente au Sénégal depuis 2008, Senegindia exploite plus de 1 500 hectares à Mbane (région de Saint-Louis ; nord-ouest), où 50 000 tonnes de pommes de terre (et 5 000 tonnes de semences) sont produites chaque année.
La rédaction de leral.net
A cela, il faut ajouter que les journaliers restent parfois deux semaines sans être payés. Le plus blessant, poursuit Ibrahima Sall, est que les autorités de la société « menacent de nous renvoyer parce que nous avons refusé de travailler le dimanche, jour consacré férié au Sénégal pour tout le monde. Elles nous font travailler comme des animaux ».
Le Directeur de Senegindia contacté par la Rfm, a indiqué que des négociations sont en train d’être menées pour trouver des solutions.
Présente au Sénégal depuis 2008, Senegindia exploite plus de 1 500 hectares à Mbane (région de Saint-Louis ; nord-ouest), où 50 000 tonnes de pommes de terre (et 5 000 tonnes de semences) sont produites chaque année.
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