Au Sénégal, traditionnellement, on cultive le riz sur de petites parcelles, où les récoltes sont faites à la main, pour un faible rendement. Mais les choses pourraient bien être sur le point de changer : aide au financement des machines et des terrains, emprunts accordés à des taux imbattables ou encore suppression de la TVA sur les ventes de riz local… Sur le papier du moins, l’état fait tout pour favoriser l’émergence de producteurs locaux de riz.
Depuis 2014, près de 60 milliards ont ainsi été versés aux riziculteurs sénégalais. Et des efforts de recherche ont été faits, pour produire des sortes de riz plus adaptées aux conditions climatiques locales. Au Centre du riz pour l’Afrique, les scientifiques ont ainsi mis au point des variétés de riz made in Sénégal, résistants et aux arômes bien particuliers. L’un d’entre eux tout particulièrement, permettrait d’atteindre un rendement de dix tonnes de riz produites par hectare.
Tous ces efforts ont porté leurs fruits. Aujourd’hui, le Sénégal produit plus de riz qu’auparavant. Mais la consommation de ce riz augmente, elle aussi. Et le pays est contraint de continuer à importer du riz d’autres pays. Pour s’imposer, les producteurs sénégalais vont donc devoir mener la vie dure à la brisure de riz asiatique, dont les Sénégalais ont fait un de leurs aliments de base.
Depuis 2014, près de 60 milliards ont ainsi été versés aux riziculteurs sénégalais. Et des efforts de recherche ont été faits, pour produire des sortes de riz plus adaptées aux conditions climatiques locales. Au Centre du riz pour l’Afrique, les scientifiques ont ainsi mis au point des variétés de riz made in Sénégal, résistants et aux arômes bien particuliers. L’un d’entre eux tout particulièrement, permettrait d’atteindre un rendement de dix tonnes de riz produites par hectare.
Tous ces efforts ont porté leurs fruits. Aujourd’hui, le Sénégal produit plus de riz qu’auparavant. Mais la consommation de ce riz augmente, elle aussi. Et le pays est contraint de continuer à importer du riz d’autres pays. Pour s’imposer, les producteurs sénégalais vont donc devoir mener la vie dure à la brisure de riz asiatique, dont les Sénégalais ont fait un de leurs aliments de base.