Pour Financial Afrik, Youssou Ndour, « patron du groupe de presse Futur Media, leader au Sénégal en termes d’audience et leader régional ouest-africain » s’impose par le « nombre d’employés déclarés », quant à Bougane Guèye, patron de DI-Media et de la société de transfert Joni- Joni, il « incarne la nouvelle génération des patrons de presse », précise la rédaction qui évoque aussi l’inamovible Bechir Ben Yahmed du groupe Jeune Afrique, un journaliste « très influent, à la tête d’un journal politique » qui pourrait bien être perçu comme le 55e pays d’Afrique et qui serait très lu dans les palais présidentiels africains.
D’autres patrons de presse sont retenus dans cette liste. Notamment Constant Nemalé, journaliste et fondateur de la chaîne panafricaine Africa 24; Ismael sidibé, promoteur de la chaîne d’Africable, une télé fédératrice de l’information régionale et panafricaine; Khalil Hachimi Idrissi, éditorialiste et patron de Maghreb Arab Presse (Map), l’agence de presse officielle du Maroc. L’une des plus belles plumes entre Tanger et Lagouira; entre autres.
Dans la rubrique des femmes et des hommes de réseaux sont en bonne place les Sénégalais : Victor Ndiaye, fondateur du cabinet de Performances Group (Dakar et Libreville) qui vient de souffler ses 20 bougies; Aboubacar Fall, juriste maritimiste qui a participé à la mise en place de plusieurs mécanismes (BAD) de soutien juridique aux Etats africains (une expertise internationale); Mandaw kandji, PDG d’IFAGE (Sénégal), est une personnalité influente dans le secteur des assurances en zone CIMA.
La rédaction de Financial Afrik précise que des analystes et des consultants se sont « relayés sur ces colonnes tout le long de l’année pour décrypter l’actualité » amenant finalement les choix à se baser « tout d’abord sur les critères de dynamisme et non la fortune, la valeur ajoutée apportée et non la taille du projet ou de l’entreprise ».
Notre préférence va aux « inventeurs du futur », notamment cet Ethiopien de 35 ans Asmelash Zeferu, le premier de son pays à avoir construit son avion… à l’aide de YouTube, à Rachid Yazami aussi, ce «chimiste électroactif» et créateur d’une puce capable non seulement de recharger les batteries des smartphones et les véhicules électriques en dix minutes seulement, mais aussi de signaler une batterie défaillante ou sur le point de prendre feu.
Aussi au Burkinabé Moctar Dembélé et le Burundais Gérard Niyondiko, inventeurs du savon anti- moustique Fasoap (Faso soap), ont été récompensés en juillet 2015 pour leurs travaux par l’université de Berkeley en Californie lors de la Global Social Venture Competition; à Clarisse Iribagiza, une Rwandaise de 27 ans a fondé en 2010, alors qu’elle était encore étudiante, le laboratoire d’innovation HeHe Labs. Egalement co-fondatrice en 2011 du réseau de start-up rwandaises iHills, Clarisse Iribagiza gère une société qui génère 200 000 dollars de chiffre d’affaires par an et offre des programmes de formation aux élèves, pour les initier à la conception informatique dès le collège.
Il y a aussi François Sylla, ce fils d’une Polonaise et d’un Guinéen, ce polytechnicien de 33 ans né à Lomé a grandi à Conakry et étudié en France, où il a fait une découverte dans la technologie du laser- plasma. Son invention, « l’accélération du laser-plasma », convertit l’énergie laser en particules, pour l’adapter à des applications plus compactes et économiques; le Congolais Verone Mankou, inventeur du premier smartphone africain, a inauguré sa première usine à Brazzaville à la mi-2015.
Sans oublier toujours dans nos préférences, le Sud Africain Stafford Masie, nommé directeur de Google en Afrique du Sud en 2007. ce geek, métis sud-africain de 40 ans, a créé en 2010 sa société Thumbzup pour vendre son « Payment Pebble » (« galet de paiement »), via un contrat avec la banque Absa.
Voici ces hommes et femmes, entre autres, opérateurs développant des projets transfrontaliers, du public ou du privé, qui ont été « privilégiés », précise la rédaction du site spécialisé en finances africaines, indiquant : « comme ce fut le cas l’année dernière », elle a « écarté les politiciens et les acteurs de l’industrie humanitaire ».
« De même, pour un meilleur confort dans l’analyse, nous avons fait abstraction des chefs d’Etat et de gouvernement. Pour ne retenir, au ffinal, que les hommes et les femmes qui influent sur le monde économique africain par leurs idées et par leurs actions. Résultat, il s’agit d’un classement des personnalités de l’Afrique nouvelle, celle qui entreprend, exporte, emploie, innove et génère de l’ impact social. », explique Financial Afrik.com.
Comme nous à iGFM, Financial Afrik estime qu’il est grand temps que le calendrier économique prenne le dessus sur celui politique dont la grande constante reste la présence continue au pouvoir souvent à la défaveur des acteurs économiques et populations qui paient au prix fort, en plus des insuffisances notées, voire une incapacité notoire à diriger et à prévoir l’avenir, l’enrichissement inacceptable et impunément de certains hommes et femmes politiques sur le dos des contribuables.
Charles FAYE GFM
D’autres patrons de presse sont retenus dans cette liste. Notamment Constant Nemalé, journaliste et fondateur de la chaîne panafricaine Africa 24; Ismael sidibé, promoteur de la chaîne d’Africable, une télé fédératrice de l’information régionale et panafricaine; Khalil Hachimi Idrissi, éditorialiste et patron de Maghreb Arab Presse (Map), l’agence de presse officielle du Maroc. L’une des plus belles plumes entre Tanger et Lagouira; entre autres.
Dans la rubrique des femmes et des hommes de réseaux sont en bonne place les Sénégalais : Victor Ndiaye, fondateur du cabinet de Performances Group (Dakar et Libreville) qui vient de souffler ses 20 bougies; Aboubacar Fall, juriste maritimiste qui a participé à la mise en place de plusieurs mécanismes (BAD) de soutien juridique aux Etats africains (une expertise internationale); Mandaw kandji, PDG d’IFAGE (Sénégal), est une personnalité influente dans le secteur des assurances en zone CIMA.
La rédaction de Financial Afrik précise que des analystes et des consultants se sont « relayés sur ces colonnes tout le long de l’année pour décrypter l’actualité » amenant finalement les choix à se baser « tout d’abord sur les critères de dynamisme et non la fortune, la valeur ajoutée apportée et non la taille du projet ou de l’entreprise ».
Notre préférence va aux « inventeurs du futur », notamment cet Ethiopien de 35 ans Asmelash Zeferu, le premier de son pays à avoir construit son avion… à l’aide de YouTube, à Rachid Yazami aussi, ce «chimiste électroactif» et créateur d’une puce capable non seulement de recharger les batteries des smartphones et les véhicules électriques en dix minutes seulement, mais aussi de signaler une batterie défaillante ou sur le point de prendre feu.
Aussi au Burkinabé Moctar Dembélé et le Burundais Gérard Niyondiko, inventeurs du savon anti- moustique Fasoap (Faso soap), ont été récompensés en juillet 2015 pour leurs travaux par l’université de Berkeley en Californie lors de la Global Social Venture Competition; à Clarisse Iribagiza, une Rwandaise de 27 ans a fondé en 2010, alors qu’elle était encore étudiante, le laboratoire d’innovation HeHe Labs. Egalement co-fondatrice en 2011 du réseau de start-up rwandaises iHills, Clarisse Iribagiza gère une société qui génère 200 000 dollars de chiffre d’affaires par an et offre des programmes de formation aux élèves, pour les initier à la conception informatique dès le collège.
Il y a aussi François Sylla, ce fils d’une Polonaise et d’un Guinéen, ce polytechnicien de 33 ans né à Lomé a grandi à Conakry et étudié en France, où il a fait une découverte dans la technologie du laser- plasma. Son invention, « l’accélération du laser-plasma », convertit l’énergie laser en particules, pour l’adapter à des applications plus compactes et économiques; le Congolais Verone Mankou, inventeur du premier smartphone africain, a inauguré sa première usine à Brazzaville à la mi-2015.
Sans oublier toujours dans nos préférences, le Sud Africain Stafford Masie, nommé directeur de Google en Afrique du Sud en 2007. ce geek, métis sud-africain de 40 ans, a créé en 2010 sa société Thumbzup pour vendre son « Payment Pebble » (« galet de paiement »), via un contrat avec la banque Absa.
Voici ces hommes et femmes, entre autres, opérateurs développant des projets transfrontaliers, du public ou du privé, qui ont été « privilégiés », précise la rédaction du site spécialisé en finances africaines, indiquant : « comme ce fut le cas l’année dernière », elle a « écarté les politiciens et les acteurs de l’industrie humanitaire ».
« De même, pour un meilleur confort dans l’analyse, nous avons fait abstraction des chefs d’Etat et de gouvernement. Pour ne retenir, au ffinal, que les hommes et les femmes qui influent sur le monde économique africain par leurs idées et par leurs actions. Résultat, il s’agit d’un classement des personnalités de l’Afrique nouvelle, celle qui entreprend, exporte, emploie, innove et génère de l’ impact social. », explique Financial Afrik.com.
Comme nous à iGFM, Financial Afrik estime qu’il est grand temps que le calendrier économique prenne le dessus sur celui politique dont la grande constante reste la présence continue au pouvoir souvent à la défaveur des acteurs économiques et populations qui paient au prix fort, en plus des insuffisances notées, voire une incapacité notoire à diriger et à prévoir l’avenir, l’enrichissement inacceptable et impunément de certains hommes et femmes politiques sur le dos des contribuables.
Charles FAYE GFM