Leral-Net-Idrissa a dressé une situation pitoyable du vécu du Sénégalais car, souligne-t-il, les statistiques indiquent que 1 Sénégalais sur 2 vit en deçà du seuil normal de la pauvreté.
« Notre priorité, c’est trouvé une activité immédiate aux Sénégalais. Le profil psychologique du Sénégalais, c’est qu’il est anxieux pour son avenir, pour sa famille, sa santé, pour l’éducation de ses enfants. Mais le Sénégalais est un entrepreneur naturel, il s’est se débrouiller pour trouver une solution à sa situation. Je veux les accompagner, de réveiller le gagnant qui sommeille dans chaque Sénégalais. Aucun Sénégalais ne reste assis et se met à se lamenter sur son sort, il veut se lever, il veut être debout à la recherche de solutions à ses problèmes. L’emploi et l’accès au financement pour accompagner les projets représentent une sur priorité. Dans mon programme est prévu 50 milliards destinés à des mutuelles d’épargne régionales pour permettre aux personnes désireuses d’entreprendre d’avoir les moyens de la faire, cela soulagera la forte pression de la pauvreté qui sévit au Sénégal car 1 sénégalais sur 2 vit en deçà du seuil de la pauvreté. L’agriculture sera une méga priorité car 70% s’activent ce secteur alors que 10% du Pib en provient. 240 000 ha dans la vallée alors que 60 à 70 mille sont aménagés. Nous payons chaque année111 milliards à l’extérieur pour acheter du riz, 63 milliards pour du blé, plus honteusement encore 12 milliards pour du maïs, 300 milliards au total qui pourraient être des revenus pour les Sénégalais en produisant du riz le long de la vallée et du maïs en abondance une fois la Casamance pacifiée. Quand je parle de l’agriculture, l’élevage et la pêche sont inclus.»
« Notre priorité, c’est trouvé une activité immédiate aux Sénégalais. Le profil psychologique du Sénégalais, c’est qu’il est anxieux pour son avenir, pour sa famille, sa santé, pour l’éducation de ses enfants. Mais le Sénégalais est un entrepreneur naturel, il s’est se débrouiller pour trouver une solution à sa situation. Je veux les accompagner, de réveiller le gagnant qui sommeille dans chaque Sénégalais. Aucun Sénégalais ne reste assis et se met à se lamenter sur son sort, il veut se lever, il veut être debout à la recherche de solutions à ses problèmes. L’emploi et l’accès au financement pour accompagner les projets représentent une sur priorité. Dans mon programme est prévu 50 milliards destinés à des mutuelles d’épargne régionales pour permettre aux personnes désireuses d’entreprendre d’avoir les moyens de la faire, cela soulagera la forte pression de la pauvreté qui sévit au Sénégal car 1 sénégalais sur 2 vit en deçà du seuil de la pauvreté. L’agriculture sera une méga priorité car 70% s’activent ce secteur alors que 10% du Pib en provient. 240 000 ha dans la vallée alors que 60 à 70 mille sont aménagés. Nous payons chaque année111 milliards à l’extérieur pour acheter du riz, 63 milliards pour du blé, plus honteusement encore 12 milliards pour du maïs, 300 milliards au total qui pourraient être des revenus pour les Sénégalais en produisant du riz le long de la vallée et du maïs en abondance une fois la Casamance pacifiée. Quand je parle de l’agriculture, l’élevage et la pêche sont inclus.»