Traiter les hommes de connards. Certes, on a déjà souffert à cause de ces messieurs et de leurs comportements malhonnêtes, mais ça ne veut pas dire qu’ils sont tous de sales bonhommes manipulateurs. Il est temps de se réconcilier avec la gente masculine.
Penser qu’il n’y a que des pervers sur internet. Parce que c’est faux. Parce qu’on y trouve des mecs très bien. Alors on laisse de côté cette idée reçue et on s’inscrit.
Marcher la tête baissée. L’homme de notre vie, même si on en rêve, ne se trouvera pas de suite à nos pieds. Alors en attendant, on regarde droit devant soi et on sourit.
Faire livrer ses pizzas. Aller les chercher en bas, c’est mieux. On fait la queue avec plein de gentils garçons qui attendent aussi leurs quatre fromages. Les jours de match, on double nos chances.
Téléphoner pendant ses pauses. Ce n’est pas en passant des coups de fil à la pelle avec son café et sa cigarette qu’on donne envie à nos collègues de venir nous causer. A la récré, on se montre disponible.
Dire de soi qu’on est une vieille fille. A force de se penser désespérée et d’imaginer son avenir comme le plus désastreux des avenirs amoureux, on va finir par faire apparaître trois chats dans son appartement. Alors on stoppe ses pensées négatives : peut-être qu’on fera apparaître trois hommes.
Marcher de la musique dans les oreilles. Parce que le beau garçon qui vient de passer à côté de nous cherchait son chemin. C’est dommage, notre gros casque l’a dissuadé de nous aborder.
Dépareiller ses sous-vêtements. On n’y pense pas assez, mais porter de jolis ensembles de sous-vêtements aide à se sentir sexy. Comme s’épiler, se parfumer, faire des masques et se gommer.
Fuir les mecs gentils. Ce n’est pas parce qu’un mec semble trop disponible et trop accessible que ça sent l’ennui. Au contraire, ça sent la bonne surprise et déjà le bonheur.
Comparer ses nouvelles rencontres à son ex. Jean était certes beau, grand, drôle et attentionné, mais ça ne fait pas de lui une référence. Il est temps de regarder chaque homme pour ce qu’il est.
Faire sa difficile. Il mange comme un cochon et n’a pas le permis de conduire. Et alors ? On peut aussi laisser sa chance aux hommes qui ne répondent pas à tous nos critères (souvent inutiles).
Voir le mal partout. Ce n’est pas parce que Simon me drague et me propose un premier rendez-vous qu’il se moque de moi et compte me faire souffrir. Plaire, ça peut nous arriver à nous aussi.
Trop réfléchir. Vouloir contrôler chaque rencontre multiplie le risque de se planter. On arrête de jouer, de laisser passer deux heures avant de lui répondre et de faire la fille qui s’en fout. Etre vraie, il n’y a que ça de… vrai.
Annuler des soirées. A force de refuser de sortir, on passe à côté de belles rencontres, c’est certain. Le tout, c’est de se pousser parfois à mettre le nez dehors : on sait parfaitement qu’une fois rendue sur place, on est bien.
Ecouter les copines. Si elles sont souvent de bons conseils, on apprend à trier leurs propos. Ce n’est pas parce qu’elles ne valident pas notre envie de revoir Etienne qu’on doit les écouter. Celle qu’on écoute quand on cherche l’amour et qu’on croit l’avoir trouvé, c’est nous et nous seule.
Journaldesfemmes
Penser qu’il n’y a que des pervers sur internet. Parce que c’est faux. Parce qu’on y trouve des mecs très bien. Alors on laisse de côté cette idée reçue et on s’inscrit.
Marcher la tête baissée. L’homme de notre vie, même si on en rêve, ne se trouvera pas de suite à nos pieds. Alors en attendant, on regarde droit devant soi et on sourit.
Faire livrer ses pizzas. Aller les chercher en bas, c’est mieux. On fait la queue avec plein de gentils garçons qui attendent aussi leurs quatre fromages. Les jours de match, on double nos chances.
Téléphoner pendant ses pauses. Ce n’est pas en passant des coups de fil à la pelle avec son café et sa cigarette qu’on donne envie à nos collègues de venir nous causer. A la récré, on se montre disponible.
Dire de soi qu’on est une vieille fille. A force de se penser désespérée et d’imaginer son avenir comme le plus désastreux des avenirs amoureux, on va finir par faire apparaître trois chats dans son appartement. Alors on stoppe ses pensées négatives : peut-être qu’on fera apparaître trois hommes.
Marcher de la musique dans les oreilles. Parce que le beau garçon qui vient de passer à côté de nous cherchait son chemin. C’est dommage, notre gros casque l’a dissuadé de nous aborder.
Dépareiller ses sous-vêtements. On n’y pense pas assez, mais porter de jolis ensembles de sous-vêtements aide à se sentir sexy. Comme s’épiler, se parfumer, faire des masques et se gommer.
Fuir les mecs gentils. Ce n’est pas parce qu’un mec semble trop disponible et trop accessible que ça sent l’ennui. Au contraire, ça sent la bonne surprise et déjà le bonheur.
Comparer ses nouvelles rencontres à son ex. Jean était certes beau, grand, drôle et attentionné, mais ça ne fait pas de lui une référence. Il est temps de regarder chaque homme pour ce qu’il est.
Faire sa difficile. Il mange comme un cochon et n’a pas le permis de conduire. Et alors ? On peut aussi laisser sa chance aux hommes qui ne répondent pas à tous nos critères (souvent inutiles).
Voir le mal partout. Ce n’est pas parce que Simon me drague et me propose un premier rendez-vous qu’il se moque de moi et compte me faire souffrir. Plaire, ça peut nous arriver à nous aussi.
Trop réfléchir. Vouloir contrôler chaque rencontre multiplie le risque de se planter. On arrête de jouer, de laisser passer deux heures avant de lui répondre et de faire la fille qui s’en fout. Etre vraie, il n’y a que ça de… vrai.
Annuler des soirées. A force de refuser de sortir, on passe à côté de belles rencontres, c’est certain. Le tout, c’est de se pousser parfois à mettre le nez dehors : on sait parfaitement qu’une fois rendue sur place, on est bien.
Ecouter les copines. Si elles sont souvent de bons conseils, on apprend à trier leurs propos. Ce n’est pas parce qu’elles ne valident pas notre envie de revoir Etienne qu’on doit les écouter. Celle qu’on écoute quand on cherche l’amour et qu’on croit l’avoir trouvé, c’est nous et nous seule.
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