De l’avis du Ps, « il semble évident que le régime en place, rattrapé par une gestion à rebours des règles minimales de transparence, de légalité et d’efficience de la dépense publique, a perdu toute marge de manœuvre dans la résolution de la crise alimentaire ».
Les socialistes préviennent en outre que « le plus dur reste à venir », estimant que le gouvernement « jette l’éponge et abandonne les consommateurs aux lois implacables du marché » en décidant de supprimer la subvention et en excluant toute forme d’intervention de l’Etat pour réguler le marché. Ils soulignent que les prix sont passés théoriquement de 280 à 405 francs pour le kilogramme de riz parfumé et de 270 à 330 francs pour le kilogramme de riz ordinaire. A en croire Ousmane Tanor Dieng (voir photo ci-contre) et ses camarades, les prix actuellement pratiqués, « déjà hors de portée des consommateurs moyens, pourraient augmenter dans les prochains jours avec des répercussions insupportables sur la vie des populations ». Ils relèvent que « l’ampleur du drame humain risque d’être plus marquée dans le monde rural où les populations ne se sont toujours pas remises de la famine ».
Le Ps fait savoir que paradoxalement, « c’est ce contexte de mal vivre généralisé que choisit Abdoulaye Wade pour s’offrir une villégiature dorée sous la forme de vacances évaluées au bas mot à 1 milliard 500 millions francs Cfa que les finances de l’Etat, déjà mal en point, auront du mal à supporter, mais surtout qui auraient pu trouver une utilisation plus patriotique et plus prioritaire ».
Selon les socialistes, « l’énorme scandale des dépenses hors budget qui ne sont qu’une faible illustration de la délinquance financière au plus haut sommet de l’Etat, pour qui le budget n’est ni un document comptable qui prévoit et autorise, le niveau des ressources et des charges de l’État, ni le moyen d’encadrer et de contrôler, l’évolution de la conjoncture économique, mais un vulgaire chiffon ».
Les socialistes préviennent en outre que « le plus dur reste à venir », estimant que le gouvernement « jette l’éponge et abandonne les consommateurs aux lois implacables du marché » en décidant de supprimer la subvention et en excluant toute forme d’intervention de l’Etat pour réguler le marché. Ils soulignent que les prix sont passés théoriquement de 280 à 405 francs pour le kilogramme de riz parfumé et de 270 à 330 francs pour le kilogramme de riz ordinaire. A en croire Ousmane Tanor Dieng (voir photo ci-contre) et ses camarades, les prix actuellement pratiqués, « déjà hors de portée des consommateurs moyens, pourraient augmenter dans les prochains jours avec des répercussions insupportables sur la vie des populations ». Ils relèvent que « l’ampleur du drame humain risque d’être plus marquée dans le monde rural où les populations ne se sont toujours pas remises de la famine ».
Le Ps fait savoir que paradoxalement, « c’est ce contexte de mal vivre généralisé que choisit Abdoulaye Wade pour s’offrir une villégiature dorée sous la forme de vacances évaluées au bas mot à 1 milliard 500 millions francs Cfa que les finances de l’Etat, déjà mal en point, auront du mal à supporter, mais surtout qui auraient pu trouver une utilisation plus patriotique et plus prioritaire ».
Selon les socialistes, « l’énorme scandale des dépenses hors budget qui ne sont qu’une faible illustration de la délinquance financière au plus haut sommet de l’Etat, pour qui le budget n’est ni un document comptable qui prévoit et autorise, le niveau des ressources et des charges de l’État, ni le moyen d’encadrer et de contrôler, l’évolution de la conjoncture économique, mais un vulgaire chiffon ».