14 combats sans défaite
Avant d’effectuer ses premiers pas dans l’arène, l’enfant de Taïba Ndiaye avait déjà écumé les mbappat en remportant plusieurs drapeaux. Son nom commençait à circuler dans le milieu. Certains sont même allés jusqu’à dire qu’un jeune lutteur qui habite les Parcelles du nom de Modou Lô risque de faire mal. Ils ne se sont pas trompés puisque le Roc des Parcelles va étonner tout le monde. Il alignait les victoires comme des perles. Parmi ses prouesses, ses quatre ans sans concéder la moindre défaite ponctués surtout de 14 victoires consécutives. Un exploit qui fera tilt dans les esprits.
Vainqueur du CLAF
Autre fait d’armes de Modou Lô, sa première participation à un Claf. Coopté par le promoteur Gaston Mbengue en 2007-2008, il fera bonne figure en dominant respectivement Tapha Boy Bambara, Paul Maurice et Papa Sow. Trois victoires de suite qui lui permirent de valider son ticket pour disputer la finale contre
Boy Kaïré. Un combat qu’il négociera bien avec une victoire par KO qui restera dans les annales. Il remportera par la même occasion le trophée du CLAF, une première pour la population des Parcelles.
Porteur de la flamme des JO de 2012
Une première dans l’histoire de la lutte sénégalaise, un insigne honneur. Modou Lô est entré dans l’histoire à jamais. Être coopté par une grande société, partenaire officiel des Jeux olympiques depuis 1998, n’est pas donné à n’importe qui. Malgré son jeune âge, le Roc des Parcelles a bénéficié de cet immense honneur. Modou Lô a porté la torche olympique le dimanche 1er juillet 2012 à Coventry devant des milliers de personnes surexcitées qui ne cessaient de scander son nom. Le Roc des Parcelles a parcouru 1 km dans les rues de Coventry sous les vivats d’une foule en extase.
Ambassadeur du Comité international de la Croix Rouge
Après ses oeuvres sociales au mois de Ramadan dans les prisons de Dakar et à l’Empire des enfants, Modou Lô a été nommé ambassadeur de l’humanitaire par le Comité international de la croix rouge (CICR). La cérémonie avait eu lieu dans son fief des Parcelles Assainies, plus précisément au terrain de football de l’unité 10. La Croix-Rouge sénégalaise distinguait le leader de la génération Xaragne en faisant de lui son troisième ambassadeur de bonne volonté. Une distinction qui montre que Modou Lô n’est pas un lutteur comme les autres.
Il échoue d’un cheveu devant le titre de Roi des arènes
Lui qui a rivalisé avec plusieurs adversaires dans l’arène était à deux doigts d’un sacre historique. Opposé à Bombardier, Modou Lô a échoué de peu dans sa quête du titre de Roi des arènes. Face à la Montagne B52, il a rendu une copie plus que propre. Il est allé
même jusqu’à envoyer Serigne Dia chez le médecin pour qu’il se fasse consulter. Hélas pour lui ! Malgré son courage légendaire, il perdra le combat peutêtre le plus important dans sa jeune carrière, celui qui pouvait lui permettre de décrocher le titre de Roi des arènes.
Plus mystique que jamais
«Je ne badine jamais avec mes combats», aime à répéter le Roc des Parcelles. Pour remporter la victoire, Modou Lô est prêt à tout. Quitte à mettre en péril sa vie. Il a évité de justesse le pire lorsqu’il a débarqué en plein jour à Guinaw Rails, fief de son adversaire Eumeu Sène. Cet adversaire à qui il signifiait lors de leur face à- face qu’il lui verserait tout ce que son marabout lui dicterait de faire, quel qu’en soit le prix. Très mystique, il était prêt à tout. Boy Kaïré, son adversaire en finale du CLAF, fut ébahi lorsque Modou Lô lui tendit une bouteille pour lui faire comprendre qu’il connaît tout
de lui, y compris les plus secrètes confidences faites à deux ou trois. Rien que pour la gagne, il était prêt à se sacrifier. Il parcourait les villages les plus reculés, traversait les frontières rien que pour trouver la potion magique qui pourrait faire tomber son adversaire. Et il a raison : les bonnes performances se consolident.
Avant d’effectuer ses premiers pas dans l’arène, l’enfant de Taïba Ndiaye avait déjà écumé les mbappat en remportant plusieurs drapeaux. Son nom commençait à circuler dans le milieu. Certains sont même allés jusqu’à dire qu’un jeune lutteur qui habite les Parcelles du nom de Modou Lô risque de faire mal. Ils ne se sont pas trompés puisque le Roc des Parcelles va étonner tout le monde. Il alignait les victoires comme des perles. Parmi ses prouesses, ses quatre ans sans concéder la moindre défaite ponctués surtout de 14 victoires consécutives. Un exploit qui fera tilt dans les esprits.
Vainqueur du CLAF
Autre fait d’armes de Modou Lô, sa première participation à un Claf. Coopté par le promoteur Gaston Mbengue en 2007-2008, il fera bonne figure en dominant respectivement Tapha Boy Bambara, Paul Maurice et Papa Sow. Trois victoires de suite qui lui permirent de valider son ticket pour disputer la finale contre
Boy Kaïré. Un combat qu’il négociera bien avec une victoire par KO qui restera dans les annales. Il remportera par la même occasion le trophée du CLAF, une première pour la population des Parcelles.
Porteur de la flamme des JO de 2012
Une première dans l’histoire de la lutte sénégalaise, un insigne honneur. Modou Lô est entré dans l’histoire à jamais. Être coopté par une grande société, partenaire officiel des Jeux olympiques depuis 1998, n’est pas donné à n’importe qui. Malgré son jeune âge, le Roc des Parcelles a bénéficié de cet immense honneur. Modou Lô a porté la torche olympique le dimanche 1er juillet 2012 à Coventry devant des milliers de personnes surexcitées qui ne cessaient de scander son nom. Le Roc des Parcelles a parcouru 1 km dans les rues de Coventry sous les vivats d’une foule en extase.
Ambassadeur du Comité international de la Croix Rouge
Après ses oeuvres sociales au mois de Ramadan dans les prisons de Dakar et à l’Empire des enfants, Modou Lô a été nommé ambassadeur de l’humanitaire par le Comité international de la croix rouge (CICR). La cérémonie avait eu lieu dans son fief des Parcelles Assainies, plus précisément au terrain de football de l’unité 10. La Croix-Rouge sénégalaise distinguait le leader de la génération Xaragne en faisant de lui son troisième ambassadeur de bonne volonté. Une distinction qui montre que Modou Lô n’est pas un lutteur comme les autres.
Il échoue d’un cheveu devant le titre de Roi des arènes
Lui qui a rivalisé avec plusieurs adversaires dans l’arène était à deux doigts d’un sacre historique. Opposé à Bombardier, Modou Lô a échoué de peu dans sa quête du titre de Roi des arènes. Face à la Montagne B52, il a rendu une copie plus que propre. Il est allé
même jusqu’à envoyer Serigne Dia chez le médecin pour qu’il se fasse consulter. Hélas pour lui ! Malgré son courage légendaire, il perdra le combat peutêtre le plus important dans sa jeune carrière, celui qui pouvait lui permettre de décrocher le titre de Roi des arènes.
Plus mystique que jamais
«Je ne badine jamais avec mes combats», aime à répéter le Roc des Parcelles. Pour remporter la victoire, Modou Lô est prêt à tout. Quitte à mettre en péril sa vie. Il a évité de justesse le pire lorsqu’il a débarqué en plein jour à Guinaw Rails, fief de son adversaire Eumeu Sène. Cet adversaire à qui il signifiait lors de leur face à- face qu’il lui verserait tout ce que son marabout lui dicterait de faire, quel qu’en soit le prix. Très mystique, il était prêt à tout. Boy Kaïré, son adversaire en finale du CLAF, fut ébahi lorsque Modou Lô lui tendit une bouteille pour lui faire comprendre qu’il connaît tout
de lui, y compris les plus secrètes confidences faites à deux ou trois. Rien que pour la gagne, il était prêt à se sacrifier. Il parcourait les villages les plus reculés, traversait les frontières rien que pour trouver la potion magique qui pourrait faire tomber son adversaire. Et il a raison : les bonnes performances se consolident.