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"2012 c'est fini, on pense déjà à 2019", déclare Wade qui crache le feu sur le régime parlementaire

Abdoulaye Wade ne parle plus de 2012. Pour lui, c’est déjà gagné, c’est dans sa poche. Il fixe le cap pour 2019. C’est ce qu’on peut retenir en filigrane du speech du secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) lors de la cérémonie d’ouverture de la Conférence nationale de l’Union des Jeunesses Travaillistes Libérales (UJTL) qui a porté Bara Gaye à la tête de la structure des jeunes libéraux.


Rédigé par leral.net le Dimanche 19 Juin 2011 à 23:24 | | 2 commentaire(s)|

"2012 c'est fini, on pense déjà à 2019", déclare Wade qui crache le feu sur le régime parlementaire
«2012 c’est bien, c’est terminé. Parlons maintenant de 2019», a déclaré hier, samedi 18 juin 2011, le président de la République Me Abdoulaye Wade. Venu présider la 6ème conférence nationale de l’Union des jeunesses travaillistes libérales qui s’est tenue à l’hôtel des Almadies, le chef de l’Etat soutenu qu’il a déjà remporté l’élection présidentielle de 2012 et que maintenant il pense à 2019. «Quand je déclaré que le PDS va garder le pouvoir pendant 50 ans ce n’était pas un hasard », a-t-il déclaré devant un parterre de militants de l’UJTL venus des quatre coins du pays pour la circonstance.

Dans la même veine le secrétaire général du PDS a appelé l’opposition à revoir sa culture démocratique quand elle propose un régime parlementaire au Sénégal. Selon lui, «un régime parlementaire est une source d’instabilité». Pour se justifier, il déclare qu’«un régime parlementaire est un régime dans lequel l’Assemblée nationale donne le pouvoir et peut le renverser à n’importe quel moment». A en croire Me Wade, «c’est enfantin. C’est l’irresponsabilité et l’instabilité». Il souligne que «Le général Degaule a balayé le régime parlementaire en France parce que c’était une pagaille». Le leader des libéraux sénégalais a estimé que «ce système ne peut fonctionner qu’en Angleterre et au Canada où il n’y a pas de gouvernement depuis huit mois». «Nous sommes un petit pays en construction et on ne peut pas se permettre de rester huit mois sans gouvernement», soutient-il.

Par ailleurs, abordant le développement du pays, Me Wade a déclaré que le Sénégal a été déclassé. A l’en croire, Notre pays n’est plus un pays pauvre. Il est passé d’un pays non pas émergent mais un pays intermédiaire. Selon lui, «quiconque déclare que le Sénégal est un pays pauvre se ridiculise».

Ibrahima Lissa FAYE pressafrik.com

( Les News )


1.Posté par deme le 20/06/2011 00:19 | Alerter
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Le sabaar des américains dans le congrès de l UJTL

Le langage artistique que nous allons verser,nous permet de dire que le rythme de tam-tam est une œuvre d art qui a poussé à maitre Abdoulaye Wade de déclencher une sensibilité éthique à l endroit de ses hôtes sénateurs américains.
Es ce que ces derniers accepteront de danser à notre rythme de sabaar?
Viendront ils également à l aide social des banlieusards?
Apparemment le bavardage du Président a provoqué une émotion dans la danse et veut servir des satisfaction.Cependant,sous le rafale des échos de répercussion des sons,les jeunes libéraux frustrés du département de Kanel ont échappé belle à la danse des démissionnaires.Toute leur mécontentement était,de leur avoir envoyer, lors des renouvellent des instances de l UJTL, un superviseur et des commissaires irresponsables.En effet, sous la sourde oreille du conseil de discipline du parti SOPI,,ces jeunes là ont fustigé jusqu'à la dernière énergie,les irrégularités constatées,le parti pris et la manque de transparence.
Le superviseur a négligemment expulsé certains jeunes qui était militant depuis 1988 et qui figurait précédemment dans le comité de liaison fédéral ( CLF).
A l en croire ce sont des jeunes qui n ont pas atteint à la limite d âge.Ils sont aujourd'hui victime d une omission volontaire complotée par certains responsables politique qui veulent à tout azimuts, les empêché de participer au congrès de l UJTL, qui était une affaire de jeunes.Es ce que c est normale de leur part?
Pour ne pas dire que nous en avons marre, en tant que frustrés, nous avons décidé tout bonnement d entrer à la danse.Nous allons ainsi emprunter à notre secrétaire général nationale,son élan de meilleur danseur qui traduit esthétiquement le concept de la démocratie à travers le sabaar sénégalais.
Selon son Excellence "on danse quand on veut,où l on veut et comme on veut car il n y a pas de billet à payer pour danser."Cela était aussi l avis de Moussa Sané, militant à Djanamalary qui nous interpelle à esquisser quelques pas de danse qui concordent à un rythme libéral.
En définitive, nous sommes tombés sous le charme d Abou Touré,un philosophe qui était également commissaire dans notre département qui nous conseille de danser moins librement car l objet véritable de la démocratie est une bonne police de mieux gouverner.

2.Posté par ndeye fatou gueye le 20/06/2011 00:34 | Alerter
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