L’Alliance des forces de progrès fête ses 21 d’existence aujourd’hui. Et 21 ans après Bacary Domingo Mané, journaliste-analyste politique, a fait une analyse du parcours de Niasse depuis que le parti a été créé jusqu’à nos jours sur la Rfm.
« Cette formation a connu ses années de gloire lorsque, son leader Moustapha Niasse a quitté le Parti socialiste ,on se souvient que les législatives qui ont suivi après ont permis à Niasse d’avoir un groupe parlementaire en 2000. Ce parti va accompagner Me Abdoulaye Wade et finalement, ils vont gagner ensemble », analyse le journaliste.
Donc, rappelle-t-il, « le Moustapha Niasse a été choisi comme Premier ministre mais le compagnonnage n’a pas duré. Donc, il y a eu séparation entre l’Afp et le Pds. Il a simplement revu à la baisse ses ambitions donc, en accompagnant d’autres acteurs comme Macky Sall vraiment pour gagner la Présidentielle ».
Selon lui, ce parti peut avoir un avenir si et seulement si les jeunes à l’intérieur de cette formation, décident de faire la révolution. C'est-à-dire en prenant vraiment ce parti-là, en se disant, l’héritage c’est nous.
Mais, croit-il savoir, il ne suffit pas de dire l’héritage, c’est nous, il faudrait qu'en ce moment-là, les jeunes de ce parti-là engagent vraiment des reformes profondes.
Leral.net
« Cette formation a connu ses années de gloire lorsque, son leader Moustapha Niasse a quitté le Parti socialiste ,on se souvient que les législatives qui ont suivi après ont permis à Niasse d’avoir un groupe parlementaire en 2000. Ce parti va accompagner Me Abdoulaye Wade et finalement, ils vont gagner ensemble », analyse le journaliste.
Donc, rappelle-t-il, « le Moustapha Niasse a été choisi comme Premier ministre mais le compagnonnage n’a pas duré. Donc, il y a eu séparation entre l’Afp et le Pds. Il a simplement revu à la baisse ses ambitions donc, en accompagnant d’autres acteurs comme Macky Sall vraiment pour gagner la Présidentielle ».
Selon lui, ce parti peut avoir un avenir si et seulement si les jeunes à l’intérieur de cette formation, décident de faire la révolution. C'est-à-dire en prenant vraiment ce parti-là, en se disant, l’héritage c’est nous.
Mais, croit-il savoir, il ne suffit pas de dire l’héritage, c’est nous, il faudrait qu'en ce moment-là, les jeunes de ce parti-là engagent vraiment des reformes profondes.
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