Dans une sortie de ses sorties le ministre conseiller Amath Dansokho a accusé le parti libéral d’avoir planqué dans des banques étrangères plus de 2200 milliards. Une accusation qui provoque l’ire des cadres libéraux qui, dans un communiqué, démontent le ministre qui agirait, selon eux, avec la complicité du pouvoir actuel.
La FNCL d’ajouter que Amath Dansokho s’est livré « encore une fois à ses exercices favoris : le mensonge excessif et la démesure en tout » et que son poste n’était prédestiné que pour faire de lui « un flibustier à chaque fois que le régime titube ». Face à ces accusations qu’ils estiment graves, les cadres libéraux de s’offusquer que Amath Dansokho « outrepasse toutes les limites même celles accordées aux aliénés ». En conséquence, pour l’honneur du Sénégal et pour la manifestation de la vérité, la FNCL de défier Amath Dansokho de décliner publiquement les identités des mis en cause. Et aussi ont demandé au ministre de la Justice et au Procureur de la République d’ouvrir une procédure pour entendre Amath Dansokho qui apportera les preuves de ses allégations et éventuellement aider à la manifestation de la vérité. Ils ont aussi demandé à la France, « paradis fiscal » de ces fonds volés, d’apporter la confirmation ou l’infirmation de telles accusations sur un Etat réputé de justice et de démocratie.
Mamadou DIOUF
REWMI QUOTIDIEN
La FNCL d’ajouter que Amath Dansokho s’est livré « encore une fois à ses exercices favoris : le mensonge excessif et la démesure en tout » et que son poste n’était prédestiné que pour faire de lui « un flibustier à chaque fois que le régime titube ». Face à ces accusations qu’ils estiment graves, les cadres libéraux de s’offusquer que Amath Dansokho « outrepasse toutes les limites même celles accordées aux aliénés ». En conséquence, pour l’honneur du Sénégal et pour la manifestation de la vérité, la FNCL de défier Amath Dansokho de décliner publiquement les identités des mis en cause. Et aussi ont demandé au ministre de la Justice et au Procureur de la République d’ouvrir une procédure pour entendre Amath Dansokho qui apportera les preuves de ses allégations et éventuellement aider à la manifestation de la vérité. Ils ont aussi demandé à la France, « paradis fiscal » de ces fonds volés, d’apporter la confirmation ou l’infirmation de telles accusations sur un Etat réputé de justice et de démocratie.
Mamadou DIOUF
REWMI QUOTIDIEN