L’année blanche que tout le monde redoute actuellement au Sénégal, du fait des grèves interminables, si elle devient une réalité, ce serait une bagatelle de 250 milliards FCFA qui serait perdue, selon Cheikh Mbow, coordonnateur de la Coalition en synergie pour l’éducation (Cosydep).
Cheikh Mbow intervenait dans un débat sur les ondes de la radio Futur Médias (RFM) lundi sur la crise dans l’éducation. Mais il n’a pas donné des arguments pour soutenir cette déclaration. Il invite les enseignants à un sursaut patriotique et à une suspension de leur mot d’ordre de grève pour 2 ou 3 mois, ne serait-ce que pour permettre aux nouvelles autorités de s’installer et s’imprégner des dossiers. Optimiste, Mbow croit que si les nouvelles autorités ont fait des promesses, c’est pour les tenir. Il leur faut juste du temps.
Mais pour sa part, son contradicteur syndicaliste n’a aucunement l’intention de faire quelque concession que ce soit pour le nouveau régime en place. Il avertit que si lesdites autorités sont dans une posture consistant à dire qu’elles trouvé une crise dont elles ne sont pas responsable en ne s’y penchant pas sérieusement une erreur.
Ce serait «une posture dangereuse».Tout compte fait, pour cet enseignant, il n’est pas question que l’Etat demande aux syndicalistes de suspendre leur mot d’ordre de grève sans contrepartie sérieuse..
Frédéric ATAYODI
Cheikh Mbow intervenait dans un débat sur les ondes de la radio Futur Médias (RFM) lundi sur la crise dans l’éducation. Mais il n’a pas donné des arguments pour soutenir cette déclaration. Il invite les enseignants à un sursaut patriotique et à une suspension de leur mot d’ordre de grève pour 2 ou 3 mois, ne serait-ce que pour permettre aux nouvelles autorités de s’installer et s’imprégner des dossiers. Optimiste, Mbow croit que si les nouvelles autorités ont fait des promesses, c’est pour les tenir. Il leur faut juste du temps.
Mais pour sa part, son contradicteur syndicaliste n’a aucunement l’intention de faire quelque concession que ce soit pour le nouveau régime en place. Il avertit que si lesdites autorités sont dans une posture consistant à dire qu’elles trouvé une crise dont elles ne sont pas responsable en ne s’y penchant pas sérieusement une erreur.
Ce serait «une posture dangereuse».Tout compte fait, pour cet enseignant, il n’est pas question que l’Etat demande aux syndicalistes de suspendre leur mot d’ordre de grève sans contrepartie sérieuse..
Frédéric ATAYODI