‘’L’adoption de ce projet de loi fait suite à la promesse du Chef de l’Etat de satisfaire une vieille doléance des personnels de la police municipal qui, depuis des années, demandent leur admission dans la police nationale afin de bénéficier des mêmes statuts et traitements’’, explique le communiqué du Conseil des ministres transmis vendredi à l’APS.
Ces policiers avaient été radiés en 1987, pour avoir observé un mouvement de grève. Ils avaient été réintégrés en 1993 dans le corps des fonctionnaires municipaux pour constituer la police municipale.
‘’Pendant les trois premières années (1993-1996), leur traitement salarial a été assuré par l’Etat qui versait une subvention aux municipalités où servaient les agents concernés’’, indique la même source.
‘’En 1996, poursuit le communiqué, les municipalités se sont substituées à l’Etat pour le paiement de leurs policiers. Cependant, elles ont très vite subi des tensions de trésorerie, obligeant ainsi l’Etat à reprendre ses subventions. C’est par ce biais que les policiers municipaux sont payés jusqu’à ce jour’’.
Le texte mentionne que l’admission des personnels de la police municipale dans la police nationale ‘’permettra, d’une part, de renforcer les effectifs de la police nationale et, d’autre part, de régler la disparité dans le traitement de fonctionnaires régis par des textes différents et exerçant les mêmes missions’’.
‘’L’incidence financière d’un tel procédé portera sur le reclassement de 270 agents de la police municipale dans les nouveaux corps de la police nationale et le réajustement de leur indemnité représentative de logement’’, fait valoir le communiqué.
Ces policiers avaient été radiés en 1987, pour avoir observé un mouvement de grève. Ils avaient été réintégrés en 1993 dans le corps des fonctionnaires municipaux pour constituer la police municipale.
‘’Pendant les trois premières années (1993-1996), leur traitement salarial a été assuré par l’Etat qui versait une subvention aux municipalités où servaient les agents concernés’’, indique la même source.
‘’En 1996, poursuit le communiqué, les municipalités se sont substituées à l’Etat pour le paiement de leurs policiers. Cependant, elles ont très vite subi des tensions de trésorerie, obligeant ainsi l’Etat à reprendre ses subventions. C’est par ce biais que les policiers municipaux sont payés jusqu’à ce jour’’.
Le texte mentionne que l’admission des personnels de la police municipale dans la police nationale ‘’permettra, d’une part, de renforcer les effectifs de la police nationale et, d’autre part, de régler la disparité dans le traitement de fonctionnaires régis par des textes différents et exerçant les mêmes missions’’.
‘’L’incidence financière d’un tel procédé portera sur le reclassement de 270 agents de la police municipale dans les nouveaux corps de la police nationale et le réajustement de leur indemnité représentative de logement’’, fait valoir le communiqué.