Selon Moussa Diaw porte-parole des travailleurs, la direction a prononcé le licenciement économique sans respecter les mesures liées à la décision. Les travailleurs, dont deux sont décédés faute de moyens pour bénéficier de soins, ont élevé le ton lors d’une conférence organisée à Thiès, en présence de l’ex-député Hélène Tine, le Forum civil, le mouvement Y en a marre et Guy Marius Sagna qui a annoncé une marche nationale le 10 octobre prochain.
Pour Helene Tine, ex-députée, «la mémoire de feu Idrissa Seydi doit être honorée par ses héritiers». L’ex-députée Hélène Tine, qui accompagne le collectif depuis plusieurs mois, trouve inacceptable cette situation.
Selon elle, si les responsables de l’usine procèdent à un licenciement économique, ils doivent en assumer toutes les conséquences financières. Pour elle, le fondateur de la SIGELEC, en l’occurrence feu Idrissa Seydi, était un homme de valeur, un grand capitaine d’industrie, respecté par tous les Sénégalais.
C’est ainsi qu’elle a appelé ses héritiers à honorer sa mémoire ,en respectant les engagements avec les travailleurs qui souffrent depuis 33 longs mois. Elle a appelé l’Inspection du Travail à traiter ce dossier avec toute la diligence et l’impartialité requises, car c’est une question de droit et la saisie des biens pour payer les droits des travailleurs ne doit pas être écartée.
Mais malheureusement, se désole-t-elle, « la force publique n’est requise que quand il faut aller mettre dehors des pères de familles à Terme Sud et non quand les droits de 150 pères de familles sont piétinés ».
« L’As »
Pour Helene Tine, ex-députée, «la mémoire de feu Idrissa Seydi doit être honorée par ses héritiers». L’ex-députée Hélène Tine, qui accompagne le collectif depuis plusieurs mois, trouve inacceptable cette situation.
Selon elle, si les responsables de l’usine procèdent à un licenciement économique, ils doivent en assumer toutes les conséquences financières. Pour elle, le fondateur de la SIGELEC, en l’occurrence feu Idrissa Seydi, était un homme de valeur, un grand capitaine d’industrie, respecté par tous les Sénégalais.
C’est ainsi qu’elle a appelé ses héritiers à honorer sa mémoire ,en respectant les engagements avec les travailleurs qui souffrent depuis 33 longs mois. Elle a appelé l’Inspection du Travail à traiter ce dossier avec toute la diligence et l’impartialité requises, car c’est une question de droit et la saisie des biens pour payer les droits des travailleurs ne doit pas être écartée.
Mais malheureusement, se désole-t-elle, « la force publique n’est requise que quand il faut aller mettre dehors des pères de familles à Terme Sud et non quand les droits de 150 pères de familles sont piétinés ».
« L’As »