C’est la Cour des comptes qui est tombé sur le scandale et a établi formellement que le Pad avait ouvert un compte transitoire « 471155 Décaissement Oci à récupérer » à travers duquel sont passés les fonds détournés. Mais selon Libération, le plus choquant est sans doute qu’une convention établie par le Pad et l’Anoci dégageait celle-ci de tout remboursement des montants encaissés.
PAR JULES KANE
Senego.com
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