Lorsque les hommes sont arrivés, ils ont trouvé le gardien. Après avoir toqué à la porte de son domicile, le gardien surpris leur a demandé de décliner leur identité, mais narre-t-elle, ils n’ont pas accepté. Puis, ils ont menacé de défoncer la porte, s’il n’ouvrait pas. Sentant qu’ils ne rigolaient pas, le vigile prend son courage à deux mains pour leur ouvrir la porte. Il tombe sur quatre gros bras qui l’empoignent avant de lui braquer une arme sur le front. « C’est ici qu’habite Amy Mbacké Thiam ? », Harcèlent les nervis ; narre la championne d’athlétisme. Amy Mbacké Thiam de rapporter que son vigile a gardé son sang-froid, leur répondant qu’il ne savait pas où elle habite et qu’il ne la connaissait pas.
Ensuite, les 4hommes ont trainé le vigile jusque dans les cuisines. « Quand ils ont ouvert la porte ils n’ont rien vu, à la suite de cela, ils sont redescendus au rez-de-chaussée et quand ils ont rien trouvé ils l’ont jeté par terre, en lui disant qu’ils vont revenir et cette fois-ci, s’ils ne me trouvaient pas c’est lui qu’ils vont tuer », raconte en détails Amy Mbacké Thiam.
A 1heure 49, la championne Olympique décide de vider les lieux. « Je suis allée à la police de Rufisque pour faire une déposition. Après je suis partie à Sipres Cap des biches pour dormir là-bas. Hier matin (lundi), je suis allée à la gendarmerie de Sangalkam qui couvre la zone de Zac Mbao. On m’a demandé de porter plainte contre X. En faisant ma déposition, on m’a demandé si je faisais de la politique, j’ai dit oui. Puisque je suis avec Macky Sall. Je suis une militante de l’Apr. J’ai décidé d’en parler à la presse pour que les sénégalais sachent que j’ai fait l’objet de menace de mort » lance-t-elle. Sur l’identité des assaillants « mon gardien n’a pas pu les identifier. Il a seulement dit que l’un avait un accent Sérère ». « . J’ai déménagé, il y a 15 jours dans la maison que le président Wade m’a offerte, Il y a dix ans de cela. J’ai reçu les clef en ce mois de décembre »,
Ensuite, les 4hommes ont trainé le vigile jusque dans les cuisines. « Quand ils ont ouvert la porte ils n’ont rien vu, à la suite de cela, ils sont redescendus au rez-de-chaussée et quand ils ont rien trouvé ils l’ont jeté par terre, en lui disant qu’ils vont revenir et cette fois-ci, s’ils ne me trouvaient pas c’est lui qu’ils vont tuer », raconte en détails Amy Mbacké Thiam.
A 1heure 49, la championne Olympique décide de vider les lieux. « Je suis allée à la police de Rufisque pour faire une déposition. Après je suis partie à Sipres Cap des biches pour dormir là-bas. Hier matin (lundi), je suis allée à la gendarmerie de Sangalkam qui couvre la zone de Zac Mbao. On m’a demandé de porter plainte contre X. En faisant ma déposition, on m’a demandé si je faisais de la politique, j’ai dit oui. Puisque je suis avec Macky Sall. Je suis une militante de l’Apr. J’ai décidé d’en parler à la presse pour que les sénégalais sachent que j’ai fait l’objet de menace de mort » lance-t-elle. Sur l’identité des assaillants « mon gardien n’a pas pu les identifier. Il a seulement dit que l’un avait un accent Sérère ». « . J’ai déménagé, il y a 15 jours dans la maison que le président Wade m’a offerte, Il y a dix ans de cela. J’ai reçu les clef en ce mois de décembre »,