Le secrétaire général de la Francophonie a rappelé à travers son message que ces 40 ans ont permis de donner corps et substance aux ambitions et aux promesses éclairées de ceux qui ont signé le 20 mars 1970, la Convention de Niamey.
«Quarante ans durant lesquels nous avons repoussé les frontières de notre espace, élargi notre horizon, gagnant toujours plus de peuples et de nations à notre cause, jusqu’à exprimer la diversité constitutive et créative du monde», a-t-il poursuivi.
«Nous avons toutes les raisons, quarante ans après, de célébrer avec fierté et allégresse la Francophonie d’aujourd’hui. Mais nous avons, également, le devoir d’être aussi inspirés, ambitieux et exigeants qu’au premier jour afin de préparer la Francophonie de demain, celle-là même dont doivent s’emparer, dès maintenant, les jeunes générations avec notre concours volontariste».
Un cachet particulier sera donné aux Francophones du monde entier d’exprimer leur solidarité avec le peuple haïtien. Il s’agit alors de faire de cette journée du 20 mars, dit Diouf, une grande fête de la mémoire et de l’espoir.
«Quarante ans durant lesquels nous avons repoussé les frontières de notre espace, élargi notre horizon, gagnant toujours plus de peuples et de nations à notre cause, jusqu’à exprimer la diversité constitutive et créative du monde», a-t-il poursuivi.
«Nous avons toutes les raisons, quarante ans après, de célébrer avec fierté et allégresse la Francophonie d’aujourd’hui. Mais nous avons, également, le devoir d’être aussi inspirés, ambitieux et exigeants qu’au premier jour afin de préparer la Francophonie de demain, celle-là même dont doivent s’emparer, dès maintenant, les jeunes générations avec notre concours volontariste».
Un cachet particulier sera donné aux Francophones du monde entier d’exprimer leur solidarité avec le peuple haïtien. Il s’agit alors de faire de cette journée du 20 mars, dit Diouf, une grande fête de la mémoire et de l’espoir.