"La deuxième phase du Programme national des bourses familiales va enrôler 50.000 nouveaux ménages, ce qui portera le nombre de bénéficiaires à 100.000 ménages", a indiqué Mansour Faye.
S’exprimant lors du démarrage d'une formation des agents du programme, il a précisé que les nouvelles bourses iront à des "personnes âgées, pauvres" et n’ayant pas d’enfant. Seront également bénéficiaires les familles pauvres et ayant en charge des enfants dont l’âge varie entre zéro et six ans.
Les bourses octroyées au titre de la première phase du programme, en 2013, sont allées à des familles ayant des enfants âgés de six à 12 ans, a rappelé M. Faye.
Selon lui, les bourses, qui seront octroyées à partir de juin prochain, seront de 25.000 francs CFA par trimestre et par famille, comme lors de la première phase donc. "Ce montant pourra évoluer dans le long terme. Il ne changera pas pour le moment."
"La particularité de cette deuxième phase, c’est la prise en charge des ménages n’étant pas dans l’extrême pauvreté", a souligné le délégué général.
Trente-six agents sont formés par la Délégation générale à la protection sociale, pour cette deuxième phase. Ils se chargeront, à leur tour, de former les enquêteurs appelés à désigner les bénéficiaires.
"L’enquête se fera dans les langues nationales, même si le questionnaire est conçu en français", a souligné Mansour Faye, précisant que la formation des enquêteurs démarre le 26 mars.
APS
S’exprimant lors du démarrage d'une formation des agents du programme, il a précisé que les nouvelles bourses iront à des "personnes âgées, pauvres" et n’ayant pas d’enfant. Seront également bénéficiaires les familles pauvres et ayant en charge des enfants dont l’âge varie entre zéro et six ans.
Les bourses octroyées au titre de la première phase du programme, en 2013, sont allées à des familles ayant des enfants âgés de six à 12 ans, a rappelé M. Faye.
Selon lui, les bourses, qui seront octroyées à partir de juin prochain, seront de 25.000 francs CFA par trimestre et par famille, comme lors de la première phase donc. "Ce montant pourra évoluer dans le long terme. Il ne changera pas pour le moment."
"La particularité de cette deuxième phase, c’est la prise en charge des ménages n’étant pas dans l’extrême pauvreté", a souligné le délégué général.
Trente-six agents sont formés par la Délégation générale à la protection sociale, pour cette deuxième phase. Ils se chargeront, à leur tour, de former les enquêteurs appelés à désigner les bénéficiaires.
"L’enquête se fera dans les langues nationales, même si le questionnaire est conçu en français", a souligné Mansour Faye, précisant que la formation des enquêteurs démarre le 26 mars.
APS