Une surprise générale qui a suscité la grogne chez les autres membres simples qui lui taxent de faire un « intense lobbying »pour en devenir le coordonnateur, rognant sur les prérogatives du président du conseil des infrastructures. De son côté, Momar Ndao conteste « je n’ai pas fait du lobbying, j’étais le seul qui maitrisait les dossiers », sur les colonnes du journal « L’observateur ». Le président de l’ASCOSEN de poursuivre « c’était une manière pour le président de me récompenser des multiples tâches que j’abattais et j’étais le seul sur le plan technique à pouvoir le faire ».
Mamadou Sakhir Ndiaye pressafrik
Mamadou Sakhir Ndiaye pressafrik