Poursuivi pour des vols commis entre 2010 et 2011, Abdou Aziz Sow, un marchand ambulant âgé de 34 ans, a été arrêté après une multitude plaintes et détenu depuis le 27 janvier 2011.
Formellement identifié par ses multiples victimes qui ont toutes relevé le bonnet noir et le tee-shirt qu’il porte et l’imposant kyste sur son arcade sourcilière, Abdou Aziz Sow a été défendu par les avocats Ousseynou Faye et Ibrahima Bèye. Sow est un voleur récidiviste qui a connu 12 séjours carcéraux entre 1999 et 2009.
Dans ses réquisitoires, l’avocat général Soyibou Sy a jugé les faits relativement simples. Il a décelé quatre curiosités (déposition des victimes avant l’arrestation de l’agresseur, son accoutrement et son kyste relevés et son mode opératoire établi qui devraient, selon lui, aider à condamner l’accusé. Abdou Aziz Sow, qui est habitué de la vie carcérale ’’mérite d’y retourner pour les 10 prochaines années parce qu’il a opté d’être un agresseur’’, a soutenu M. Sy qui a relevé que l’accusé a fait de la dénégation un moyen pour se soustraire de sa responsabilité pénale.
Pour sa part, Me Ibrahima Bèye a relevé le handicap que constitue le lourd passé pénal de son client. Il a soutenu que le doute s’est installé dans le dossier d’Abdou Aziz Sow qui a assisté, avec son arrestation, à un défilé de parties civiles qui ont voulu lui porter la paternité de tous les vols de motos enregistrés durant cette année. L’autre conseil du prévenu, Ousseynou Faye, a écarté les circonstances de réunion, d’usage d’armes mentionnées dans l’ordonnance de renvoi qui attend que l’accusé prouve son innocence. Il s’est attaqué aux curiosités avancées par le représentant du parquet général. L’avocat a souligné que son client n’a commis que deux seuls vols de Jakarta.
En outre, il a plaidé pour la disqualification des faits en vol simple et demandé la condamnation de son client à la peine prévue par ce délit. La Cour d’assises, présidée par El hadji Amadou Diouf a, en sa première journée d’audience, condamné l’accusé Abdou Aziz Sow à 7 ans de prison et à payer globalement 1 million 960 mille de dommages et intérêts à ses victimes.
Dans ses réquisitoires, l’avocat général Soyibou Sy a jugé les faits relativement simples. Il a décelé quatre curiosités (déposition des victimes avant l’arrestation de l’agresseur, son accoutrement et son kyste relevés et son mode opératoire établi qui devraient, selon lui, aider à condamner l’accusé. Abdou Aziz Sow, qui est habitué de la vie carcérale ’’mérite d’y retourner pour les 10 prochaines années parce qu’il a opté d’être un agresseur’’, a soutenu M. Sy qui a relevé que l’accusé a fait de la dénégation un moyen pour se soustraire de sa responsabilité pénale.
Pour sa part, Me Ibrahima Bèye a relevé le handicap que constitue le lourd passé pénal de son client. Il a soutenu que le doute s’est installé dans le dossier d’Abdou Aziz Sow qui a assisté, avec son arrestation, à un défilé de parties civiles qui ont voulu lui porter la paternité de tous les vols de motos enregistrés durant cette année. L’autre conseil du prévenu, Ousseynou Faye, a écarté les circonstances de réunion, d’usage d’armes mentionnées dans l’ordonnance de renvoi qui attend que l’accusé prouve son innocence. Il s’est attaqué aux curiosités avancées par le représentant du parquet général. L’avocat a souligné que son client n’a commis que deux seuls vols de Jakarta.
En outre, il a plaidé pour la disqualification des faits en vol simple et demandé la condamnation de son client à la peine prévue par ce délit. La Cour d’assises, présidée par El hadji Amadou Diouf a, en sa première journée d’audience, condamné l’accusé Abdou Aziz Sow à 7 ans de prison et à payer globalement 1 million 960 mille de dommages et intérêts à ses victimes.