En plus de sa contribution financière au projet, la BAD est également Arrangeur Mandaté pour la tranche de financement conventionnel et a contribué à mobiliser 140 millions d’euros de dette additionnelle. La Banque Islamique de Développement joue un rôle similaire en tant qu’Arrangeur Mandaté pour la tranche de financement islamique. Les deux Arrangeurs Mandatés ont travaillé de concert à l’amélioration de la structure du Projet. Ce partenariat a débouché sur un certain nombre de mesures qui ont accru la robustesse du Projet. Il devrait en résulter une mobilisation de plus de 220 million d’euros de prêts additionnels.
Le nouvel aéroport sera conforme aux dispositions réglementaires du transport aérien international, aussi bien en termes de sécurité que de qualité des infrastructures, et offrira un nouvel espace aux activités industrielles liées à l’aéroport, telles que la maintenance aéronautique. Le nouvel aéroport aura une capacité annuelle de 3 millions de passagers et de 80 000 mouvements d’avions, ce qui permettra d’alléger la congestion aérienne et routière à l’aéroport de Dakar. Par conséquent, le projet sera une solution à long terme pour la gestion du trafic aérien et routier à Dakar, et soutiendra la stratégie du gouvernement sénégalais visant à décongestionner la péninsule sur laquelle est située Dakar et à promouvoir le développement des régions voisines grâce à ce nouvel aéroport à la pointe de la technologie, moderne et sécurisé.
Le projet favorisera également le recrutement et l’amélioration des compétences et des capacités locales dans les communautés environnantes grâce au transfert du savoir-faire des experts en gestion d’aéroports internationaux au cours de la phase de la construction et de l’exploitation. Ainsi le nouvel aéroport génèrera des opportunités directes et indirectes d’emploi. Au cours de la phase d’exploitation, l’AIBD recrutera environ 427 employés à plein temps dont 197 femmes. En plus de l’emploi direct à l’aéroport, le projet nécessitera d’autres services tels que de l’ingénierie, de la maintenance légère, des services et technologies d’information, de la restauration et du nettoyage, qui contribueront à l’économie locale.
Parmi les avantages socioéconomiques supplémentaires figurent l’augmentation de la génération de revenus et des sources de revenus, la transformation économique de la zone du projet et l’amélioration corollaire des moyens d’existence des foyers, l’émergence de petites et moyennes entreprises, ainsi que l’attraction croissante de sociétés/investisseurs nationaux et régionaux et une augmentation du potentiel touristique du Sénégal. La BAD a également été un partenaire constant de l’Agence de Promotion des Investissements et Grands Travaux concernant la définition des activités environnementales et sociales. Le Plan de Gestion Environnemental et Social, et plus particulièrement le Plan de Relocalisation des Populations, ont été développés conjointement et satisfont les politiques et meilleures pratiques de la BAD, ainsi que les standards sénégalais.
Le projet est en ligne avec la mission de la BAD en ce qui concerne l’appui au développement d’infrastructures modernes en Afrique, ainsi qu’avec les priorités et la stratégie du gouvernement du sénégal. En outre, il favorise le commerce, la croissance économique et l’intégration régionale. Le projet est viable au plan économique et financier, et sain au plan environnemental.
Le projet est également cohérent avec la stratégie de la BAD pour les opérations du secteur privé car il promeut la participation d’investisseurs privés dans le financement d’un projet d’infrastructure dans un pays à faibles revenus. Ce projet sera le deuxième projet en partenariat public-privé (PPP) au Sénégal financé par la BAD après le projet de l’autoroute à péage Dakar-Diamniado durant le deuxième trimestre de 2010. Plus récemment, la BAD a approuvé des prêts privilégiés au Sénégal, dont deux centrales d’énergie, et l’agrandissement du port autonome.
Enfin le projet coïncide avec l’objectif du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) qui encourage les opérations du secteur privé en matière de financement des infrastructures. Le soutien de la BAD au projet du nouvel aéroport et aux autres projets PPP permettra principalement d’alléger la pression exercée sur les ressources financières publiques et de garantir que les projets soient gérés conformément aux hautes normes de performance.
SOURCE
African Development Bank (AfDB)
Le nouvel aéroport sera conforme aux dispositions réglementaires du transport aérien international, aussi bien en termes de sécurité que de qualité des infrastructures, et offrira un nouvel espace aux activités industrielles liées à l’aéroport, telles que la maintenance aéronautique. Le nouvel aéroport aura une capacité annuelle de 3 millions de passagers et de 80 000 mouvements d’avions, ce qui permettra d’alléger la congestion aérienne et routière à l’aéroport de Dakar. Par conséquent, le projet sera une solution à long terme pour la gestion du trafic aérien et routier à Dakar, et soutiendra la stratégie du gouvernement sénégalais visant à décongestionner la péninsule sur laquelle est située Dakar et à promouvoir le développement des régions voisines grâce à ce nouvel aéroport à la pointe de la technologie, moderne et sécurisé.
Le projet favorisera également le recrutement et l’amélioration des compétences et des capacités locales dans les communautés environnantes grâce au transfert du savoir-faire des experts en gestion d’aéroports internationaux au cours de la phase de la construction et de l’exploitation. Ainsi le nouvel aéroport génèrera des opportunités directes et indirectes d’emploi. Au cours de la phase d’exploitation, l’AIBD recrutera environ 427 employés à plein temps dont 197 femmes. En plus de l’emploi direct à l’aéroport, le projet nécessitera d’autres services tels que de l’ingénierie, de la maintenance légère, des services et technologies d’information, de la restauration et du nettoyage, qui contribueront à l’économie locale.
Parmi les avantages socioéconomiques supplémentaires figurent l’augmentation de la génération de revenus et des sources de revenus, la transformation économique de la zone du projet et l’amélioration corollaire des moyens d’existence des foyers, l’émergence de petites et moyennes entreprises, ainsi que l’attraction croissante de sociétés/investisseurs nationaux et régionaux et une augmentation du potentiel touristique du Sénégal. La BAD a également été un partenaire constant de l’Agence de Promotion des Investissements et Grands Travaux concernant la définition des activités environnementales et sociales. Le Plan de Gestion Environnemental et Social, et plus particulièrement le Plan de Relocalisation des Populations, ont été développés conjointement et satisfont les politiques et meilleures pratiques de la BAD, ainsi que les standards sénégalais.
Le projet est en ligne avec la mission de la BAD en ce qui concerne l’appui au développement d’infrastructures modernes en Afrique, ainsi qu’avec les priorités et la stratégie du gouvernement du sénégal. En outre, il favorise le commerce, la croissance économique et l’intégration régionale. Le projet est viable au plan économique et financier, et sain au plan environnemental.
Le projet est également cohérent avec la stratégie de la BAD pour les opérations du secteur privé car il promeut la participation d’investisseurs privés dans le financement d’un projet d’infrastructure dans un pays à faibles revenus. Ce projet sera le deuxième projet en partenariat public-privé (PPP) au Sénégal financé par la BAD après le projet de l’autoroute à péage Dakar-Diamniado durant le deuxième trimestre de 2010. Plus récemment, la BAD a approuvé des prêts privilégiés au Sénégal, dont deux centrales d’énergie, et l’agrandissement du port autonome.
Enfin le projet coïncide avec l’objectif du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) qui encourage les opérations du secteur privé en matière de financement des infrastructures. Le soutien de la BAD au projet du nouvel aéroport et aux autres projets PPP permettra principalement d’alléger la pression exercée sur les ressources financières publiques et de garantir que les projets soient gérés conformément aux hautes normes de performance.
SOURCE
African Development Bank (AfDB)