L’occasion a été saisie pour évaluer le chemin parcouru depuis les Assises de Bamako en février 2019 et de se pencher sur la feuille de route pour les années 2021-2022 . Selon le président sortant quatre activités ont pu être exécuter grâce à l’implication de toutes instances.
L’institution du cadre de concertation permanent avec l’UEMOA est en très bonne voie, la mise ne place du comité des illustres experts est effective, il est opérationnel et son bureau a été mis en place.
La rencontre de Dakar avait pour thème ’’Impact de la télévision numérique terrestre : enjeux économiques et socioculturels’’. Un choix qui met en évidence les défis auxquels, les pays membres sont confrontés.
Selon le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), Babacar Diagne, les problèmes nés du basculement vers le numériques dans nos pays sont très complexes, c’est pourquoi les solutions attendues seront déterminantes, car nos pays ne s’y étaient pas préparés.
Cela passe par un bon état des lieux et proposer des solutions, a-t-il ajouté,
L’agenda passait par plusieurs communications dont celle d’Amadou Abdoulaye Diop, Directeur générale de la Télédiffusion du Sénégal (TDS SA), la présentation du rapport du président sortant le Malien Fodié Touré et celui du Comité des Juristes Experts en Régulation des Médias et en TIC.
Le président de la République, Macky Sall qui présidait la rencontre, a affirmé que cette plateforme offre un cadre approprié de réflexion et d’échanges, sur la meilleure façon d’accompagner et encadrer les organes de l’audiovisuel, dans un contexte de liberté démocratique et de mutations technologiques continues.
« …Je voudrais d’abord saluer nos hôtes, leur souhaiter la bienvenue et un agréable séjour parmi nous. Je me réjouis d’être avec vous ce matin pour l’ouverture des travaux de l’Assemblée générale de la Plateforme des Régulateurs de l’audiovisuel des pays membres de l’UEMOA et de la Guinée. Cette plateforme offre un cadre approprié de réflexion et d’échanges sur la meilleure façon d’accompagner et encadrer les organes de l’audiovisuel dans un contexte de liberté démocratique et de mutations technologiques continues », a-t-il d’emblée souligné.
Mais pour lui, « l’enjeu est fondamental et nous interpelle tous ; gouvernements et régulateurs, mais aussi individus, citoyens et nations. La problématique de l’audiovisuel à l’ère moderne soulève en effet bien des questions qui méritent réflexion et solutions concertées. »
Comment assurer une saine compétition dans un espace normé, avec l’explosion fulgurante des outils et procédés technologiques qui tendent justement à se soustraire à toute forme de régulation ?
Comment concilier les prérogatives de l’Etat-Nation, qui s’exercent dans ses limites territoriales, et la diffusion, souvent transfrontalière, du contenu de l’audiovisuel ?
Ces questions ne sont pas exhaustives, a-t-il dit, car s’y ajoutent, en effet, d’autres encore plus nombreuses et plus complexes découlant du phénomène des réseaux sociaux dans toutes leurs diversités.
« Je pense, entre autres, aux fake news et à toutes les formes de cybercriminalité, y compris le terrorisme qui utilisent les mêmes outils. »La conquête de la liberté est une donnée majeure de l’histoire des sociétés humaines. Au-delà des aspects légaux et réglementaires qui lui sont liés, elle est hautement philosophique et morale. Suivant le droit naturel de la raison, l’homme est né pour être libre, non pour rester dans les chaines. En même temps, il ne saurait y avoir de liberté sans responsabilité. Me vient à l’esprit ce mot de Victor Hugo : « Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité ». Ajouté le président du pays hôte
Selon Babacar Diagne, l’audiovisuel en Afrique de l’Ouest est à la croisée des chemins. C’est pourquoi, il faut une vigilance accrue par rapport aux contenus portés à l’attention du public. Il en exemple les Etats-Unis, qui après plus de 240 d’indépendance est toujours en train de consolider sa citoyenneté, sa cohésion sociale, là où nos pays n’en compte de 60 ans d’indépendance.
Cependant, il souligne aussi que d’autres défis sont à relever, avec les nouveaux acteurs qui bousculent nos télévisions… Porté à la tête de cette plateforme, il reconnait que ses responsabilités sont accrues. Témoignant sur Babacar Diagne, le président sortant lui n’a aucun doute sur ses compétences.
Pour confirmer ces propos, c’est qui a poussé le président Macky Sall qui procédait à l’ouverture de cette importante rencontre, à remercier l’ensemble des instances de régulation membres de la Plateforme ici présentes pour la confiance qu’elles font au Sénégal, en portant à la présidence de leur Organisation, Monsieur Babacar Diagne, Président du CNRA.
« Babacar est un professionnel averti de la communication et de l’audiovisuel, au Sénégal et hors de nos frontières. Il allie le savoir, le savoir-faire et le savoir être et une longue pratique du terrain et du management. Toutes ces qualités le prédisposent à porter votre plateforme à un niveau supérieur au cours de son
mandat », a-t-il témoigné.
L’institution du cadre de concertation permanent avec l’UEMOA est en très bonne voie, la mise ne place du comité des illustres experts est effective, il est opérationnel et son bureau a été mis en place.
La rencontre de Dakar avait pour thème ’’Impact de la télévision numérique terrestre : enjeux économiques et socioculturels’’. Un choix qui met en évidence les défis auxquels, les pays membres sont confrontés.
Selon le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), Babacar Diagne, les problèmes nés du basculement vers le numériques dans nos pays sont très complexes, c’est pourquoi les solutions attendues seront déterminantes, car nos pays ne s’y étaient pas préparés.
Cela passe par un bon état des lieux et proposer des solutions, a-t-il ajouté,
L’agenda passait par plusieurs communications dont celle d’Amadou Abdoulaye Diop, Directeur générale de la Télédiffusion du Sénégal (TDS SA), la présentation du rapport du président sortant le Malien Fodié Touré et celui du Comité des Juristes Experts en Régulation des Médias et en TIC.
Le président de la République, Macky Sall qui présidait la rencontre, a affirmé que cette plateforme offre un cadre approprié de réflexion et d’échanges, sur la meilleure façon d’accompagner et encadrer les organes de l’audiovisuel, dans un contexte de liberté démocratique et de mutations technologiques continues.
« …Je voudrais d’abord saluer nos hôtes, leur souhaiter la bienvenue et un agréable séjour parmi nous. Je me réjouis d’être avec vous ce matin pour l’ouverture des travaux de l’Assemblée générale de la Plateforme des Régulateurs de l’audiovisuel des pays membres de l’UEMOA et de la Guinée. Cette plateforme offre un cadre approprié de réflexion et d’échanges sur la meilleure façon d’accompagner et encadrer les organes de l’audiovisuel dans un contexte de liberté démocratique et de mutations technologiques continues », a-t-il d’emblée souligné.
Mais pour lui, « l’enjeu est fondamental et nous interpelle tous ; gouvernements et régulateurs, mais aussi individus, citoyens et nations. La problématique de l’audiovisuel à l’ère moderne soulève en effet bien des questions qui méritent réflexion et solutions concertées. »
Comment assurer une saine compétition dans un espace normé, avec l’explosion fulgurante des outils et procédés technologiques qui tendent justement à se soustraire à toute forme de régulation ?
Comment concilier les prérogatives de l’Etat-Nation, qui s’exercent dans ses limites territoriales, et la diffusion, souvent transfrontalière, du contenu de l’audiovisuel ?
Ces questions ne sont pas exhaustives, a-t-il dit, car s’y ajoutent, en effet, d’autres encore plus nombreuses et plus complexes découlant du phénomène des réseaux sociaux dans toutes leurs diversités.
« Je pense, entre autres, aux fake news et à toutes les formes de cybercriminalité, y compris le terrorisme qui utilisent les mêmes outils. »La conquête de la liberté est une donnée majeure de l’histoire des sociétés humaines. Au-delà des aspects légaux et réglementaires qui lui sont liés, elle est hautement philosophique et morale. Suivant le droit naturel de la raison, l’homme est né pour être libre, non pour rester dans les chaines. En même temps, il ne saurait y avoir de liberté sans responsabilité. Me vient à l’esprit ce mot de Victor Hugo : « Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité ». Ajouté le président du pays hôte
Selon Babacar Diagne, l’audiovisuel en Afrique de l’Ouest est à la croisée des chemins. C’est pourquoi, il faut une vigilance accrue par rapport aux contenus portés à l’attention du public. Il en exemple les Etats-Unis, qui après plus de 240 d’indépendance est toujours en train de consolider sa citoyenneté, sa cohésion sociale, là où nos pays n’en compte de 60 ans d’indépendance.
Cependant, il souligne aussi que d’autres défis sont à relever, avec les nouveaux acteurs qui bousculent nos télévisions… Porté à la tête de cette plateforme, il reconnait que ses responsabilités sont accrues. Témoignant sur Babacar Diagne, le président sortant lui n’a aucun doute sur ses compétences.
Pour confirmer ces propos, c’est qui a poussé le président Macky Sall qui procédait à l’ouverture de cette importante rencontre, à remercier l’ensemble des instances de régulation membres de la Plateforme ici présentes pour la confiance qu’elles font au Sénégal, en portant à la présidence de leur Organisation, Monsieur Babacar Diagne, Président du CNRA.
« Babacar est un professionnel averti de la communication et de l’audiovisuel, au Sénégal et hors de nos frontières. Il allie le savoir, le savoir-faire et le savoir être et une longue pratique du terrain et du management. Toutes ces qualités le prédisposent à porter votre plateforme à un niveau supérieur au cours de son
mandat », a-t-il témoigné.