Ce malentendu entre le Comité de gestion de la lutte et son responsable Bira Sène au niveau de Kaolack fait suite à une pétition conçue par huit de ses membres pour dénoncer vigoureusement sa gestion.
Dans cette pétition rendue publique, ils ont dit: " Il nous a été donné de constater, nous pétitionnaires, tous membres du comité régional de gestion de la lutte de Kaolack, que depuis bien des années, le président confond ses poches et le compte du CNG."
Toujours dans cette lettre de contestation, il a été mentionné: "Nous avons noté une absence de transparence comptable et financière, un compte trafiqué, des ressources distraites, des séries de galas clandestins etc... Et en plus de cela, les droits dus au CRG lors des galas de lutte ne sont pas versés à la trésorerie", poursuivent-ils.
Quant au président du CRG de Kaolack, M. Bira Sène, il a balayé d'un revers de main toutes ces accusations: "Chaque année, on fait une réunion de bilan. Ils sont de mauvaise foi. Concernant les gains qui sont obtenus des DCE, ils sont partagés avec tous les membres de la délégation. Chacun reçoit sa part avant qu'on ne quitte le DCE…", a-t-il répondu. Affaire à suivre.
Dans cette pétition rendue publique, ils ont dit: " Il nous a été donné de constater, nous pétitionnaires, tous membres du comité régional de gestion de la lutte de Kaolack, que depuis bien des années, le président confond ses poches et le compte du CNG."
Toujours dans cette lettre de contestation, il a été mentionné: "Nous avons noté une absence de transparence comptable et financière, un compte trafiqué, des ressources distraites, des séries de galas clandestins etc... Et en plus de cela, les droits dus au CRG lors des galas de lutte ne sont pas versés à la trésorerie", poursuivent-ils.
Quant au président du CRG de Kaolack, M. Bira Sène, il a balayé d'un revers de main toutes ces accusations: "Chaque année, on fait une réunion de bilan. Ils sont de mauvaise foi. Concernant les gains qui sont obtenus des DCE, ils sont partagés avec tous les membres de la délégation. Chacun reçoit sa part avant qu'on ne quitte le DCE…", a-t-il répondu. Affaire à suivre.