Face à la presse après sa visite, à Mbao, répondant à la question sur sa candidature à la prochaine élection présidentielle, Djibo Kâ, Secrétaire général de l’Union pour le renouveau démocratique (mouvance présidentielle) a affirmé : «Cela fait plus d’une dizaine de fois que je réponds à cette question. C’est comme si j’étais le seul homme politique de ce pays. Mon parti, l’Urd, a décidé de faire de moi le 4e Président du Sénégal. Cette décision est toujours d’actualité.» Puis d’annoncer qu’il ne répondra plus à cette question.
Par ailleurs, le ministre d’Etat, ministre de l’Environnement est revenu sur l’importance du lac de Mbao et la nécessité des travaux d’aménagement et de protection en cours pour faire de cet endroit un cadre de vie agréable offrant des possibilités économiques aux populations. D’une longueur de 7 km, avec une capacité de 60 000 m3 d’eau toute l’année, le lac qui est traversé par un pont doit être protégé par des dalles au niveau latéral pour qu’il puisse accueillir des aménagements de détente pour en faire un cadre éco-touristique. Cet ouvrage qui entre, selon le ministre, «dans le cadre des réalisations de bassins de rétention est extrêmement important sur le plan social. Ce lac draine les eaux venues de Keur Mbaye Fall, Keur Massar, etc. et les populations, avec l’appui de la municipalité doivent veiller à sa propreté». Il a annoncé qu’il demandera au directeur de la pisciculture «d’empoissonner ce lac pour qu’il soit comme avant. Il faut veiller à ce qu’il ne soit pas comme Mbeu-beuss».
De l’avis des populations, les problèmes majeurs au niveau du lac sont liés aux nouvelles constructions qui bloquent après remblais le passage de l’eau ; ce qui risque de créer des inondations, si des mesures ne sont pas prises.
Correspondant le quotidien
Par ailleurs, le ministre d’Etat, ministre de l’Environnement est revenu sur l’importance du lac de Mbao et la nécessité des travaux d’aménagement et de protection en cours pour faire de cet endroit un cadre de vie agréable offrant des possibilités économiques aux populations. D’une longueur de 7 km, avec une capacité de 60 000 m3 d’eau toute l’année, le lac qui est traversé par un pont doit être protégé par des dalles au niveau latéral pour qu’il puisse accueillir des aménagements de détente pour en faire un cadre éco-touristique. Cet ouvrage qui entre, selon le ministre, «dans le cadre des réalisations de bassins de rétention est extrêmement important sur le plan social. Ce lac draine les eaux venues de Keur Mbaye Fall, Keur Massar, etc. et les populations, avec l’appui de la municipalité doivent veiller à sa propreté». Il a annoncé qu’il demandera au directeur de la pisciculture «d’empoissonner ce lac pour qu’il soit comme avant. Il faut veiller à ce qu’il ne soit pas comme Mbeu-beuss».
De l’avis des populations, les problèmes majeurs au niveau du lac sont liés aux nouvelles constructions qui bloquent après remblais le passage de l’eau ; ce qui risque de créer des inondations, si des mesures ne sont pas prises.
Correspondant le quotidien