Monsieur le Président,
L’honneur m’échoit de vous adresser ces mots aux fins d’attirer votre attention sur un certain nombre de faits qui risque de briser l’espoir du peuple sénégalais dont vous êtes porteur d’espoir depuis le 25 mars 2012.
Lorsque le ciel eut décide de votre accession à la magistrature suprême, le peuple se plaisait de pouvoir vivre enfin l’ère de la rupture générationnelle dans la gestion de la chose publique. Votre plebicisme en premier tour en disait déjà beaucoup sur le choix des sénégalais d’en finir avec la classe politique des années 60 et les partis qui les soutenaient. C’est d’ailleurs par la crainte d’un éventuel suicide politique à l image de Djibo KA en mars 2000 que tous les partis se sont ranges derrière votre illustre personne. Donc c’est le peuple qui vous a élu et non celle de la classe politique vomis dès le premier tour.
Mais Monsieur le Président, même si votre désir de soulager le mal des sénégalais ne fait l’objet d’aucun doute, chaque acte que votre gouvernement pose semble aller en contre courant des attentes de la population et de la volonté populaire. Votre parti regorge de jeunes cadres suffisamment préparés pour tenir de haute responsabilité au service de la nation. Mais vous semblez porter votre choix sur cette génération déjà en retraite depuis plusieurs années.
La compétence de choix réside sans le décalage entre les choix de ces décideurs politique et les aspirations d’un peuple soif de changement et de politiques adaptées aux réalités du moment.
Monsieur le Président, la pauvreté et le chômage ne cessent d’étendre leur tentacule sur les sénégalais qui à travers votre personne rêvaient des lendemains meilleurs. Et au lieu d’attirer votre attention sur cette situation qui ne fait que réduire votre cote de popularité l’on vous tympanise sur des idées d’alliance qui ne répondent en rien à la demande sociale. Nul ne saurait comprendre le choix de maintenir des retraités dans des postes de responsabilités alors que les diplômés des écoles de formation et autre universités sénégalais ne cesse d’élargir les rangs des chômeurs. Nul ne saurait comprendre la volonté de relancer l’économie sans pour autant épauler les jeunes entrepreneurs et des PME.
Excellence Monsieur le Président, nous sommes a quelque mois des élections locales et vous n’êtes pas sans savoir que votre parti vit des moment de crise jamais égalées dans son histoire.
Et enfin j’attire votre attention sur le fait qu’en matière d’emploi et de promotion des jeunes, vous n’avez pas le droit de faire moins que votre prédécesseur.
Que la paix et la bénédiction d’ALLAH soient sur vous. Que le tout Puissant repende sa grâce sur le Sénégal et les pays voisins. Bonne et heureuse année 2014.
Monsieur Tabaski FALL
Administrateur de Société
Responsable APR Thilmakha
L’honneur m’échoit de vous adresser ces mots aux fins d’attirer votre attention sur un certain nombre de faits qui risque de briser l’espoir du peuple sénégalais dont vous êtes porteur d’espoir depuis le 25 mars 2012.
Lorsque le ciel eut décide de votre accession à la magistrature suprême, le peuple se plaisait de pouvoir vivre enfin l’ère de la rupture générationnelle dans la gestion de la chose publique. Votre plebicisme en premier tour en disait déjà beaucoup sur le choix des sénégalais d’en finir avec la classe politique des années 60 et les partis qui les soutenaient. C’est d’ailleurs par la crainte d’un éventuel suicide politique à l image de Djibo KA en mars 2000 que tous les partis se sont ranges derrière votre illustre personne. Donc c’est le peuple qui vous a élu et non celle de la classe politique vomis dès le premier tour.
Mais Monsieur le Président, même si votre désir de soulager le mal des sénégalais ne fait l’objet d’aucun doute, chaque acte que votre gouvernement pose semble aller en contre courant des attentes de la population et de la volonté populaire. Votre parti regorge de jeunes cadres suffisamment préparés pour tenir de haute responsabilité au service de la nation. Mais vous semblez porter votre choix sur cette génération déjà en retraite depuis plusieurs années.
La compétence de choix réside sans le décalage entre les choix de ces décideurs politique et les aspirations d’un peuple soif de changement et de politiques adaptées aux réalités du moment.
Monsieur le Président, la pauvreté et le chômage ne cessent d’étendre leur tentacule sur les sénégalais qui à travers votre personne rêvaient des lendemains meilleurs. Et au lieu d’attirer votre attention sur cette situation qui ne fait que réduire votre cote de popularité l’on vous tympanise sur des idées d’alliance qui ne répondent en rien à la demande sociale. Nul ne saurait comprendre le choix de maintenir des retraités dans des postes de responsabilités alors que les diplômés des écoles de formation et autre universités sénégalais ne cesse d’élargir les rangs des chômeurs. Nul ne saurait comprendre la volonté de relancer l’économie sans pour autant épauler les jeunes entrepreneurs et des PME.
Excellence Monsieur le Président, nous sommes a quelque mois des élections locales et vous n’êtes pas sans savoir que votre parti vit des moment de crise jamais égalées dans son histoire.
Et enfin j’attire votre attention sur le fait qu’en matière d’emploi et de promotion des jeunes, vous n’avez pas le droit de faire moins que votre prédécesseur.
Que la paix et la bénédiction d’ALLAH soient sur vous. Que le tout Puissant repende sa grâce sur le Sénégal et les pays voisins. Bonne et heureuse année 2014.
Monsieur Tabaski FALL
Administrateur de Société
Responsable APR Thilmakha