Pour avoir une idée du niveau de délitement de la santé de nos structures, il ne nécessite pas d’avaler des centaines de kilomètres. Il suffit juste de rester à Dakar, pour en avoir le cœur net.
La preuve, dans certains hôpitaux de niveaux trois nichés dans la capitale sénégalaise, l’on assiste à une violation flagrante des normes édictées par les textes qui régissent notre système de santé. L’hôpital Le Dantec, qui accueille, au moins plus de 50 mille patients par an, est un mythe pour les Sénégalais, au vu de ce qui s’y passe.
La raison ? Selon les informations de SourceA, sur les 1100 agents en service dans cet hôpital, seuls 300 ont une qualification. En plus clair, les huit cent travailleurs, qui s’y prennent pour des blouses blanches, ne le sont que de nom. Dans la mesure où ils ne sont sortis d’aucune Ecole de formation dûment reconnue par l’Etat. Et, tenez-vous bien : c’est la même situation, qui se présente dans la quasi-totalité des structure de santé concernées par cette enquête.
En effet, qu’il s’agisse de l’hôpital General de Gran- Yoff, de Youssou Mbargane de Rufisque, de Roi Baudouin, de Talibou Dabo de Pikine, de l’Hôpital Fann, et de bien d’autres structures éparpillés à l’intérieur du pays, les agents non-diplômés fleurissent à-tout-va. A l’image des hôpitaux Amadou Sakhir Ndieguène de Thiès, El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack…, le ratio du personnel ne correspond pas à ce que ces hôpitaux devraient compter comme agents qualifiés, si l’on en croit les informateurs de votre journal. Sur ce, l’enquête a également révélé que le nombre d’agents varie d’un hôpital à un autre.
La preuve, dans certains hôpitaux de niveaux trois nichés dans la capitale sénégalaise, l’on assiste à une violation flagrante des normes édictées par les textes qui régissent notre système de santé. L’hôpital Le Dantec, qui accueille, au moins plus de 50 mille patients par an, est un mythe pour les Sénégalais, au vu de ce qui s’y passe.
La raison ? Selon les informations de SourceA, sur les 1100 agents en service dans cet hôpital, seuls 300 ont une qualification. En plus clair, les huit cent travailleurs, qui s’y prennent pour des blouses blanches, ne le sont que de nom. Dans la mesure où ils ne sont sortis d’aucune Ecole de formation dûment reconnue par l’Etat. Et, tenez-vous bien : c’est la même situation, qui se présente dans la quasi-totalité des structure de santé concernées par cette enquête.
En effet, qu’il s’agisse de l’hôpital General de Gran- Yoff, de Youssou Mbargane de Rufisque, de Roi Baudouin, de Talibou Dabo de Pikine, de l’Hôpital Fann, et de bien d’autres structures éparpillés à l’intérieur du pays, les agents non-diplômés fleurissent à-tout-va. A l’image des hôpitaux Amadou Sakhir Ndieguène de Thiès, El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack…, le ratio du personnel ne correspond pas à ce que ces hôpitaux devraient compter comme agents qualifiés, si l’on en croit les informateurs de votre journal. Sur ce, l’enquête a également révélé que le nombre d’agents varie d’un hôpital à un autre.