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A propos des événements du 23 juin 2011 : Savoir raison et mesure garder

Rédigé par leral.net le Mardi 19 Juillet 2011 à 08:01 | | 10 commentaire(s)|

S’il ne tenait qu’à certains, le Sénégal, notre si beau et attachant pays, serait à feu et à sang. Le prétexte ? L’examen par l’Assemblée nationale du projet de loi constitutionnelle relative à l’élection simultanée d’un président et d’un vice- président de la République. Certes, le projet en question, a été finalement retiré ! Non pas à cause de la pression de l’opposition ; mais grâce à la lucidité et au sens des responsabilités du président Abdoulaye Wade. Qui, encore une fois, a écouté son peuple et fait preuve de grandeur, en évitant de tomber dans le piège tendu par les pouvoiristes invétérés de l’opposition et de la prétendue société civile. Ceux-ci, pensaient qu’avec les événements du 23 juin dernier, le grand soir auquel ils rêvaient, était enfin arrivé !


A propos des événements du 23 juin 2011 : Savoir raison et  mesure  garder

Malheureusement pour eux, les fruits de la manipulation et de la récupération politicienne n’ont duré que le temps d’une rose. Le seul regret, c’est le sacré coup qui a été porté à notre démocratie aussi enviée. A la place du droit à la marche inscrite depuis 2001 dans notre constitution, des débats idées fortement appuyés par les interminables appels au dialogue du président Wade ; l’opposition, boudeuse et encagoulée, s’est servie des jeunes innocents comme des chaires à canon pour s’illustrer par des scènes de violence. Pour preuve, une photo gênante et honteuse, a mis à nu un des leaders de l’opposition, de surcroit ancien premier ministre, armé de cailloux à la main et surpris en action dans la foule lors de ces événements.

L’aberration, c’est le discours servi au public par les détracteurs du régime. A les entendre parler après le 23 juin, on a l’impression que c’est eux qui incarnent désormais l’exercice de la souveraineté nationale et ils se substituent même au juge constitutionnel pour rendre déjà un verdict d’invalidation de la candidature du président Wade. Pis, l’opposition regroupée autour de ‘’Benno’’ exige même des conditions comme préalable à toute discussion avec le président de la République, pour que celui-ci fasse une déclaration publique de renonciation à sa candidature et qu’il ait les démissions respectives des ministres d’état Ousmane n’gom, Cheikh Tidiane Sy et Karim Wade.
Dans le même sillage, il y a aussi une pléthore de mouvements crées un peu partout par des pourfendeurs du régime et qui se prévalent du titre de défenseurs de la constitution ; il s’agit : de y’en a marre, du mouvement du 23 juin et de ‘’Touche pas à ma constitution’’. Quelle euphorie ?

Nul doute que l’ordre républicain reconnait au président de la République la prérogative de nommer sur la proposition du premier ministre les ministres du gouvernement (voir l’article 49 de la constitution). Il est le seul qui peut mettre fin à leurs missions. Paradoxalement, ce n’est pas donc réaliste pour l’opposition de subordonner son ouverture de dialogue à une exigence de démission d’un quelconque ministre. Le maintien ou le limogeage d’un ministre n’est pas de son ressort ! Elle doit faire son travail d’opposant, c'est-à-dire formuler des critiques et des propositions autour des programmes, au lieu de se focaliser sur les personnes. Les grands hommes discutent des idées et non des individus !

La même remarque est également valable pour ces mouvements crées par des activistes qui se servent du prétexte de la récurrence des modifications constitutionnelles et se réclament d’en être les défenseurs. On se demande réellement, si ces gens ont-ils lu cette constitution ? Savent-ils que l’article 103 de la constitution dispose, je cite : « l’initiative de la révision de la constitution appartient concurremment au président de la République et aux Députés ».

Peut-être, s’ils connaissaient tout, n’arrêteraient-ils pas leurs incantations, surtout avec des prises de positions qui frisent l’ignorance et le ridicule ! Seules les lois divines sont immuables !
Même, les pays, cités comme des modèles de grande démocratie, ont tous connu dans leur évolution des modifications de leurs constitutions. Ainsi, les Etats-Unis sont actuellement à leurs 27éme amendements et la France connait sa 18éme modification.

IL s’y ajoute d’autres glissements qui sont entrain d’être constatés avec l’utilisation et l’appropriation des notions comme : ’’c’est le peuple qui a parlé’’ ou ‘’c’est le peuple qui a réagi’’. Qui est le peuple ? Est-ce que ce sont ces pourfendeurs de la République ? Et, les honnêtes citoyens qui ne se reconnaissent pas dans ce conglomérat de frustrés, d’aigris et de maîtres chanteurs, ne font-ils pas partie de ce peuple ?

Il faudrait qu’on soit sérieux, afin d’éviter de verser dans l’amalgame, l’ostracisme et l’exclusion. L’exemple de la côte d’ivoire reste vivace dans les esprits. Le débat sur la notion d’ivoirité a mis le feu aux poudres dans ce pays et tout a commencé par des mots de trop et des discriminations !

Personne n’a le droit de jouer avec les fondements de la République. Alors que tout le monde sait que la notion « peuple » est mythique ; Et, par essence, c’est l’expression fédératrice de la nation. Le peuple est le seul détenteur de la souveraineté nationale qu’il délègue à ses représentants attitrés, c'est-à-dire les députés. Cette prérogative attribuée à ces députés, relève des dispositions de l’article 3 de la constitution qui interdissent formellement à tout individu de s’arroger l’exercice de cette souveraineté nationale.

Le respect des lois de notre pays et des institutions de la République, s’impose comme un devoir impératif à tout citoyen. La politique ne doit pas être une échappatoire, encore moins une parade, pour que les acteurs ou certaines autres personnes, puissent s’en servir comme un moyen de victimisation et de violation des lois en vigueur. Combien de fois a-t-on vu l’opposition braver des interdictions ? Même, il est maintenant devenu une mode pour certaines entreprises, la seule manière d’exempter du payement de leurs impôts ou de leurs pénalités, c’est d’accuser le pouvoir et de se victimiser en évoquant la thèse de complot politique ! Les exemples illustratifs sont ceux des fondateurs et chefs de file des mouvements citoyens ‘’Fekk ma ci bolé’’ et ‘’Yemalé ’’.

On gagnerait donc à tempérer les ardeurs, en sachant raison et mesure garder. Car, personne n’a le droit pour des intérêts personnels de saper la cohésion nationale. Notre pays ne saurait s’identifier au slogan ‘’dégage’’ emprunté à la Tunisie, encore moins au mouvement du 20 février au Maroc. Les cultures et les histoires ne sont pas les mêmes, et que, ces pays ont vécu pendant longtemps des privations de toutes sortes, au moment où le droit de vote est une réalité sénégalaise depuis 1880 et les libertés constitutionalisées.

ALIOUNE SOUARE
DEPUTE A L’ASSEMBLEE NATIONALE



1.Posté par SENEGALAIS le 19/07/2011 08:54 | Alerter
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BRAVO MONSIEUR SOUARE. JE N'AI RIEN A AJOUTER A TES PROPOS.

2.Posté par essamaye le 19/07/2011 10:24 | Alerter
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S'il était à l'écoute du peuple ,ces événements douloureux n'allaient pas avoir lieu

3.Posté par siga diouf le 19/07/2011 10:38 | Alerter
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Des hommes lucides il en existe dans ce pays. Une bonne leçon de citoyenneté à ces pyromanes qui ne pensent qu'à embraser le pays, le mettre à feu et à sang. Nous sommes dans une démocratie réglons nos problèmes par le dialogue, le débat d'idées. Respectons les lois républicaines et faisons confiance en la justice et nous aurons un pays stable et émergeant.

4.Posté par NGagne le 19/07/2011 11:35 | Alerter
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Il faut essayer de s'élever au niveau de cette génération sacrifiée qui s'est signalée le 23 Juin.
Il faut ouvrir les yeux et faire fi de nos intérêts égoistes et de notre confort petit bourgois et prendre en compte le Sénégalais Lambda qui souffre,qui subit ,ne faisant pas partie du clan,il faut penser au citoyen qui a été exproprié à Bambilor au profit d'autres citoyens qui n'ont que le mérite de faire partie du systéme ,il faut penser aux travailleurs de l'ex Icotaf qui sont obligés d'arriver à des extrêmes pour rentrer dans leur dû.Ou sont les lois républicaines ,ou est la justice ,qui ose leur donner une leçon de citoyenneté.

5.Posté par le solitaire le 19/07/2011 12:24 | Alerter
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La République aux pieds du PDS.
En 2000, des leaders qui semblaient être dignes de confiance, ont cristallisé toutes les forces vives de notre pays autour d’un homme et de son système ; maître Abdoulaye Wade et son régime libéral.
En 2001, Maître Abdoulaye Wade a pensé qu’il n’avait pas assez de pouvoir pour mener à bien sa tâche. Il propose alors de modifier la constitution avec la bénédiction de « ses amis ».
A partir de 2002, le Maître devenu tout puissant, commence à mettre hors jeu tous ces leaders qui l’ont aidé à accéder au pouvoir.
Moustapha Niasse, dehors, Dansokho, dehors, Bathily, dehors, le drapeau national, en berne, l’hymne national remplacé par son hymne de la jeunesse, obligatoire dans toutes les écoles publiques
Dans le même temps, il intègre ses calots bleus dans l’armée, la police, la gendarmerie, la douane, la magistrature et au parlement. Il remplit le commandement de militants du PDS et corrompt totalement une administration des plus performantes de l’Afrique, désormais occupée par une armée de militants du PDS
Il ouvre les portes et les postes de l’état à des transhumants sans foi ni loi, qui trouvent à ses côtés, un moyen lucratif de se soustraire aux poursuites judiciaires.
Il transforme le territoire national en un immense domaine privé bleu où seul son clan achète et vend des terres, s’enrichit dans des transactions immobilières qui frisent le blanchiment.
Des agriculteurs rapaces et boulimiques descendent sur les terres des paysans en razzias destructrices.
Sabodola est frappé d’une extraterritorialité pour les sénégalais : à l’insu des sénégalais, notre or ne transite plus par notre pays : Sabodola et directement l’Europe ou l’Australie.
Les bourses d’étude à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, les évacuations médicales, les postes de sinécure dans les ambassades et organisations internationales deviennent l’apanage de la nouvelle classe dirigeante, naguère constituée de gorgolous adeptes de Ndiaga Ndiaye
Les belles villas poussent comme des champignons et c’est par grappes qu’elles appartiennent au même individu qui presque toujours, est un proche du clan Wade.
Ceux qui avaient combattu Wade, sont aujourd’hui bien au chaud dorlotés sur le dos des contribuables : Djibo, Iba der et Ousmane Ngom, entre autres, nous chicotaient copieusement avant l’alternance et aujourd’hui, en nous tirant la langue derrière Wade. Ils nous bastonnent toujours aussi copieusement.
Hamann ou Fantomas est devenu fréquentable et même adorablement la Constante.
La république, notre république s’est à la longue mise au service du PDS, de son chef et de ses enfants : tout pour eux, rien pour nous.
Entre la république dirigée par Maître Abdoulaye Wade et le Pds également dirigé par le même Maître Abdoulaye Wade, sont venus s’agglutiner, sur le canapé du salon de Dansokho, ses anciens amis réunis autour et dans un Benno à tête chercheuse multiple. Ce sont ces anciens amis, associés à de nouveaux, tout fraichement éjectés de la sphère libérale qui suivent le groupe « y en a marre » pour récupérer la journée du 23 juin.
Le 23 juin a-t-il été un mouvement populaire spontané ou une action politique murement élaborée ?
Si le 23 juin est le résultat d’un mécontentement populaire assimilable à une révolte populaire ; il reste le fruit d’un refus du peuple face à des classes dirigeantes incapables de comprendre ses aspirations. 40 ans de régime socialiste, 10 ans de régime libéral et 50 ans de présence de la société civile en son sein n’ont pas amené le peuple sénégalais à apercevoir le bout du tunnel. Quand il se lève pour se désigner à lui-même son espace d’action, des voix s’élèvent pour lui dire qu’elles savent mieux que lui, ce qu’il veut..
Il sait maintenant avec certitude qu’il ne doit plus se fier aux promesses de son président, car celles-ci n’engagent que ceux qui y croient.
IL sait ensuite que la parole donnée n’a plus aucune valeur et que tout le monde peut se dédire à volonté.
Il sait qu’il n’a aucun mot à dire dans le calendrier électoral. Alors comment peut- il croire qu’en moins de huit mois, le nouveau découpage administratif est capable de fournir de nouvelles cartes d’électeurs aux administrés des nouvelles collectivités ?
Les 6 nègres de service pour des propositions d’un dialogue national et l’offre d’un gouvernement d’union national sont les derniers soubresauts d’un régime en perdition.
Mais le Sénégal n’a-t-il que des « has been » pour prendre la relève ou est ce que les forces vives peuvent explorer ailleurs que dans nos poubelles pour nous proposer de nouveaux leaders propres et intègres qui n’ont pas été associés à une gestion calamiteuse des deniers publics.

6.Posté par Abdoulrarmaan le 19/07/2011 15:36 | Alerter
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Monsieur le député,

Le seul fait de siéger à l'assemblée nationale, une institution corrompue qui, à elle seule allait entériner un projet de loi aussi bidon que celui qui voulait le faire voter par des valets et thuriféraires au service du premier despote du Sénégal, ce fait donc enlève toute CRÉDIBILITÉ à vos paroles. Quand, acculé au pied du mur et voulant rendre le dernier soupir, vous demandez, cher M. le député, au peuple sénégalais meurtri et exsangue de "raison et mesure garder", c'est alors le mépris que vous ressentez pour vos compatriotes qui se sont RÉVOLTÉS, cette morgue ou irrévérence qui vous aveugle au point de n'appréhender le message limpide qui a été livré à celui que vous et vos camardes appelez la seule constance dans votre parti-ÉTAT! Votre indélicatesse, vous la poussez jusqu'à insinuer que son altesse le roi wade n'a pas abdiqué et que, nous n'avons vécu le pire que (je vous cite) "grâce à la lucidité et au sens de responsabilités" (fin de citation) de celui qui a été et est un désastre pour le peuple sénégalais.

Le gong de l'avertissement a déjà sonné et cette vaillante foule noble ne fera pas marche arrière devant les menaces, intimidations de celui en qui vous et les autres membres de votre parti êtes assujettis. Un mort ne peut être ressuscité et cela s'applique aussi au PDS et à sa constante, alors que vous M. le député alioune souaré, qui représentez les variables au sein de ce parti n'avez aucune valeur, aucune éthique ni morale voire dignité.

Quand vous lirez la réponse de M. Thioub Ibrahima au prince karim wade, vous comprendrez alors pourquoi Me wade et ses courtisans du PDS, ses flagorneurs sont sur la ligne droite de leur fin, qui est ABSOLUMENT INÉVITABLE par la SEULE GRÂCE D'ALLAAH! Ensuite, il s'agira de rendre compte au peuple dont les biens ont été volés, détournés et partagés sans pareil depuis l'avènement de l'indépendance.

ALLEZ MESSIEURS LES JUGES DE LA HAUTE COUR DE JUSTICE, C'EST AU TOUR M. aliioune souaré DE PASSER AUX AVEUX ...

Abdoulrahmaan




7.Posté par Abdoulrarmaan le 19/07/2011 15:37 | Alerter
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Monsieur le député,

Le seul fait de siéger à l'assemblée nationale, une institution corrompue qui, à elle seule allait entériner un projet de loi aussi bidon que celui qui voulait le faire voter par des valets et thuriféraires au service du premier despote du Sénégal, ce fait donc enlève toute CRÉDIBILITÉ à vos paroles. Quand, acculé au pied du mur et voulant rendre le dernier soupir, vous demandez, cher M. le député, au peuple sénégalais meurtri et exsangue de "raison et mesure garder", c'est alors le mépris que vous ressentez pour vos compatriotes qui se sont RÉVOLTÉS, cette morgue ou irrévérence qui vous aveugle au point de n'appréhender le message limpide qui a été livré à celui que vous et vos camardes appelez la seule constance dans votre parti-ÉTAT! Votre indélicatesse, vous la poussez jusqu'à insinuer que son altesse le roi wade n'a pas abdiqué et que, nous n'avons vécu le pire que (je vous cite) "grâce à la lucidité et au sens de responsabilités" (fin de citation) de celui qui a été et est un désastre pour le peuple sénégalais.

Le gong de l'avertissement a déjà sonné et cette vaillante foule noble ne fera pas marche arrière devant les menaces, intimidations de celui en qui vous et les autres membres de votre parti êtes assujettis. Un mort ne peut être ressuscité et cela s'applique aussi au PDS et à sa constante, alors que vous M. le député alioune souaré, qui représentez les variables au sein de ce parti n'avez aucune valeur, aucune éthique ni morale voire dignité.

Quand vous lirez la réponse de M. Thioub Ibrahima au prince karim wade, vous comprendrez alors pourquoi Me wade et ses courtisans du PDS, ses flagorneurs sont sur la ligne droite de leur fin, qui est ABSOLUMENT INÉVITABLE par la SEULE GRÂCE D'ALLAAH! Ensuite, il s'agira de rendre compte au peuple dont les biens ont été volés, détournés et partagés sans pareil depuis l'avènement de l'indépendance.

ALLEZ MESSIEURS LES JUGES DE LA HAUTE COUR DE JUSTICE, C'EST AU TOUR M. aliioune souaré DE PASSER AUX AVEUX ...

Abdoulrahmaan

8.Posté par modou le 19/07/2011 16:34 | Alerter
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Avez-vous remarqué les nouveaux intervenants dans les forums? Ce sont des mercenaires certainement payés selon la longueur de leur contribution. Ils disent presque tous les mêmes inerties : ne brulez pas le pays, laissons le conseil constitutionnel lire le droit etc Aujourdhui celui qui vous paye est le seul à vouloir bruler le pays, il pousse des senegalais à s'opposer à des senegalais, il récompense la violence et vous pour quelques sous vous vous prostituer : Siga diouf et senegalais

9.Posté par SERIGNE GUEYE le 20/07/2011 20:14 | Alerter
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TOUTES MES FELICITATIONS POUR TA LUCIDITE ET LA CLARTE D ESPRIT
DU COURAGE

10.Posté par Cisse Mbaye le 21/07/2011 09:16 | Alerter
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Bonjour,
Très content de votre réaction et de la cohérence des idées que vous avez développé dans le commentaire. Le Sénégal nous appartient et devons tout faire pour qu'il prospère et cela passe obligatoirement par le sens de la responsabilité de nos dirigeants qui doivent parfois éviter d'être dos au mur pour prendre des décisions ou solutions. C'est une manière pour moi de donner de la force à ces pourfendeurs comme vous le dites, qui demain pourraient se réveiller pour s'opposer à des propositions ou décisions qui sont même utiles à la nation. Ce travail incombe à vous élus, qui êtes de tout le temps avec le peuple et qui êtes sensés de lire au plus profond de ce dernier, c'est bon parfois de jauger pour avoir un aperçu de ce que demain sera...
De toute façon moi je suis avec vous, j'ai bien dis vous...

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