Le Sénégal a finalisé son bateau FPSO, qui traite jusqu’à 500 millions de m3 de Gaz, 2 300 000 de gaz naturel liquéfié (GNL) pour la première année et pourrait doubler en deux ans. Pour rappel, il fut conceptualisé et réalisé en Chine depuis plusieurs mois. C’est le début des exploitations du gaz pour plusieurs années.
Quelle belles perspectives… Sauf que cette pression spéculée de partout par les politiques candidatées et parfois sanctionnée par des notes, reportages et communiqués des puissances étrangères et médias comme les USA, l’UE, la RFI, la FRANCE24, et la CEDEAO française, doit nous inspirer une forte réflexion, pour comprendre le pourquoi nous devons être unis en un seul Sénégalais, en priorisant l’intérêt général.
Embrayons notre fibre souverainiste sinon d’autres se verront substitués en Sénégalo modérateurs, pour guetter et s’approprier tranquillement notre sécurité régalienne et richesse. Un Macky Sall, président sortant et non candidat, dont le bilan sur le plan des infrastructures est élogieux, ne présente plus pour certains, aucune assurance ni rassurance au lendemain des élections présidentielles.
Pourquoi attendre à la fin pour le diaboliser, après avoir profité des accords et marchés parfois gagnés au détriment du secteur privé sénégalais ? C’est parce comme le disent certains, les sondages ou intentions de vote sortent insatisfaisants pour son candidat jusque-là, Amadou Bâ, de la continuité ? Ou parce qu’il ne sera plus influent après son legs du titre de « Premier Sénégalais » qu’incarnera un autre ? Nous, qui étions présents sur la scène en 2011-2012, quand le PR Abdoulaye Wade avait reçu cette même couche de peinture.
Certes, des impairs peuvent être constatés dans tout bilan, mais priorisons la stabilité et l’union autour de nos acquis. Cette position déjà stratégique et géographique du Sénégal, pour accéder à toutes les ressources de l’Afrique de l’ouest, suscite l'appétit des étrangers et cela, pour continuer à contrôler nos hommes et nos terres. Pour eux, perdre le Sénégal, c’est voir se fermer la porte de l’Afrique, pour accéder aux ressources et à sa richesse. Cette valeur de solidarité doit être conjuguée et pratiquée par tous les protagonistes et citoyens.
Nous devons montrer notre maturité politique, même si les intentions actuelles de vote sont favorables aux appelants « Patriotes », il n’en demeure pas moins que les Occidentaux jouent leur positionnement, pour garder voire augmenter leurs gains de richesse au Sénégal, en se montrant favorables à une élection libre, inclusive et transparente. Tout cela pour un genre équidistant, par rapport aux lois et règlements en vigueur.
Un « JE » de politicien qui change de genre, en fonction des intérêts du moment. Tout est devenu favoritisme. On fait du « Ngaralé » et franchement, cela n’honore point nos politiques d’aujourd’hui. L’intégrité est une chance qui peut être innée ou que l’on devient une seule fois.
Sénégal First, Sénégal Last !
Poli-TIC/NTJ/PACT
Thiendella KEBE,
Président Co-fondateur de Poli-TIC
Quelle belles perspectives… Sauf que cette pression spéculée de partout par les politiques candidatées et parfois sanctionnée par des notes, reportages et communiqués des puissances étrangères et médias comme les USA, l’UE, la RFI, la FRANCE24, et la CEDEAO française, doit nous inspirer une forte réflexion, pour comprendre le pourquoi nous devons être unis en un seul Sénégalais, en priorisant l’intérêt général.
Embrayons notre fibre souverainiste sinon d’autres se verront substitués en Sénégalo modérateurs, pour guetter et s’approprier tranquillement notre sécurité régalienne et richesse. Un Macky Sall, président sortant et non candidat, dont le bilan sur le plan des infrastructures est élogieux, ne présente plus pour certains, aucune assurance ni rassurance au lendemain des élections présidentielles.
Pourquoi attendre à la fin pour le diaboliser, après avoir profité des accords et marchés parfois gagnés au détriment du secteur privé sénégalais ? C’est parce comme le disent certains, les sondages ou intentions de vote sortent insatisfaisants pour son candidat jusque-là, Amadou Bâ, de la continuité ? Ou parce qu’il ne sera plus influent après son legs du titre de « Premier Sénégalais » qu’incarnera un autre ? Nous, qui étions présents sur la scène en 2011-2012, quand le PR Abdoulaye Wade avait reçu cette même couche de peinture.
Certes, des impairs peuvent être constatés dans tout bilan, mais priorisons la stabilité et l’union autour de nos acquis. Cette position déjà stratégique et géographique du Sénégal, pour accéder à toutes les ressources de l’Afrique de l’ouest, suscite l'appétit des étrangers et cela, pour continuer à contrôler nos hommes et nos terres. Pour eux, perdre le Sénégal, c’est voir se fermer la porte de l’Afrique, pour accéder aux ressources et à sa richesse. Cette valeur de solidarité doit être conjuguée et pratiquée par tous les protagonistes et citoyens.
Nous devons montrer notre maturité politique, même si les intentions actuelles de vote sont favorables aux appelants « Patriotes », il n’en demeure pas moins que les Occidentaux jouent leur positionnement, pour garder voire augmenter leurs gains de richesse au Sénégal, en se montrant favorables à une élection libre, inclusive et transparente. Tout cela pour un genre équidistant, par rapport aux lois et règlements en vigueur.
Un « JE » de politicien qui change de genre, en fonction des intérêts du moment. Tout est devenu favoritisme. On fait du « Ngaralé » et franchement, cela n’honore point nos politiques d’aujourd’hui. L’intégrité est une chance qui peut être innée ou que l’on devient une seule fois.
Sénégal First, Sénégal Last !
Poli-TIC/NTJ/PACT
Thiendella KEBE,
Président Co-fondateur de Poli-TIC