Sinon doit-on payer toutes les bêtises de ses proches lorsqu’on exerce des responsabilités publiques. Sachant que dans la vie des adultes chacun est responsable de ses actes face à son seigneur comme face à la société. Barack Obama ne disait-il pas qu’il ne pouvait être tenu responsable des propos de son pasteur qui professait des injures envers l’Amérique ou du comportement de sa grand-mère à la limite raciste face aux noirs qu’elle croisait dans la rue.
Pendant ce temps, ABC prend de la hauteur face à l’épreuve. Mais au même moment des sbires écervelés, dans sa propre famille politique, se mettent à jeter leur venin sur lui. Comme si tout ceci était une stratégie orchestré et mené par une officine.
Alors que faut – il en penser en tant qu’observateur?
Simplement que c’est mal connaître l’homme. ABC est un homme d’état, un homme libre conscient des valeurs qui fondent son engagement politique. Il incarne le courage en politique, à lui seul il pourrait symboliser la lame de fond de la rupture tant attendue de nos compatriotes.
Bienveillant et courtois, républicain convaincu. Intellectuellement rigoureux, il n’est pas du genre à transiger sur les principes.
Social libéral, il a en partage une même communauté de pensée et une même philosophie politique que le Président de la République.
Pour ceux qui le côtoient ou qui le connaissent bien, ils savent que son soutien à Macky Sall est encore d’une solidité sans faille. Il se dit même que sa détermination à l’aider à réussir le mandat que le peuple lui a confié lui est chevillée au corps, en dépit de sa mise à l’écart.
Alioune Badara Cissé est un homme politique à l’inverse du politicien. Pour lui la politique est une science des exigences, en cela la loyauté et la fidélité doivent être des valeurs inébranlables.
ABC est doté d’un vrai leadership, il est porteur de vraies solutions politiques complémentaires à celles mise en œuvre par le gouvernement, face aux problèmes qui assaillent notre pays. Il a une vision particulière sur les questions économiques et principalement sur le financement interne de l’économie. Il a conscience qu’une bonne politique macroéconomique additionnée à l’aide au développement avec toutes les vertus ne suffisent pas à développer un pays, d’où la nécessité de faire preuve d’imagination, de volonté, de méthode et d’efficacité.
Justement, l’idéologie du libéralisme social est d’abord basée sur la recherche de l’efficacité économique avant la redistribution. Alors la priorité des priorités de notre pays doit être la mobilisation de toutes les ressources internes possibles pour financer l’économie pour parvenir à créer de la valeur sociale, de l’emploi, tout en veillant à rendre nos entreprises modernes et compétitives.
Cet argumentaire relié à une formation adaptée faciliterait notamment la création de milliers d’emplois.
Et pour cause ! L’emploi n’est- il pas la première préoccupation des sénégalais ?
Le chef de l’état doit mesurer le gâchis de devoir laisser ABC sur la touche. Les sénégalais ne comprennent pas à l’image d’une équipe de foot que l’entraîneur ne fasse pas jouer le meilleur joueur de son équipe souhaitant le laisser sur le banc. Sachant lui-même toutes les qualités de celui qu’on aurait pu surnommer son alter ego. Leur compagnonnage a quand même été un franc succès depuis le PDS jusqu’ici.
Le Président de la République doit définitivement demander aux snipers qui rôdent autour de sa personne d’arrêter les hostilités envers son vieil ami, sinon comme le dit l’adage « qui ne dit rien consent ».
Cheikhou Baldé
cherbalde@gmail.com
Pendant ce temps, ABC prend de la hauteur face à l’épreuve. Mais au même moment des sbires écervelés, dans sa propre famille politique, se mettent à jeter leur venin sur lui. Comme si tout ceci était une stratégie orchestré et mené par une officine.
Alors que faut – il en penser en tant qu’observateur?
Simplement que c’est mal connaître l’homme. ABC est un homme d’état, un homme libre conscient des valeurs qui fondent son engagement politique. Il incarne le courage en politique, à lui seul il pourrait symboliser la lame de fond de la rupture tant attendue de nos compatriotes.
Bienveillant et courtois, républicain convaincu. Intellectuellement rigoureux, il n’est pas du genre à transiger sur les principes.
Social libéral, il a en partage une même communauté de pensée et une même philosophie politique que le Président de la République.
Pour ceux qui le côtoient ou qui le connaissent bien, ils savent que son soutien à Macky Sall est encore d’une solidité sans faille. Il se dit même que sa détermination à l’aider à réussir le mandat que le peuple lui a confié lui est chevillée au corps, en dépit de sa mise à l’écart.
Alioune Badara Cissé est un homme politique à l’inverse du politicien. Pour lui la politique est une science des exigences, en cela la loyauté et la fidélité doivent être des valeurs inébranlables.
ABC est doté d’un vrai leadership, il est porteur de vraies solutions politiques complémentaires à celles mise en œuvre par le gouvernement, face aux problèmes qui assaillent notre pays. Il a une vision particulière sur les questions économiques et principalement sur le financement interne de l’économie. Il a conscience qu’une bonne politique macroéconomique additionnée à l’aide au développement avec toutes les vertus ne suffisent pas à développer un pays, d’où la nécessité de faire preuve d’imagination, de volonté, de méthode et d’efficacité.
Justement, l’idéologie du libéralisme social est d’abord basée sur la recherche de l’efficacité économique avant la redistribution. Alors la priorité des priorités de notre pays doit être la mobilisation de toutes les ressources internes possibles pour financer l’économie pour parvenir à créer de la valeur sociale, de l’emploi, tout en veillant à rendre nos entreprises modernes et compétitives.
Cet argumentaire relié à une formation adaptée faciliterait notamment la création de milliers d’emplois.
Et pour cause ! L’emploi n’est- il pas la première préoccupation des sénégalais ?
Le chef de l’état doit mesurer le gâchis de devoir laisser ABC sur la touche. Les sénégalais ne comprennent pas à l’image d’une équipe de foot que l’entraîneur ne fasse pas jouer le meilleur joueur de son équipe souhaitant le laisser sur le banc. Sachant lui-même toutes les qualités de celui qu’on aurait pu surnommer son alter ego. Leur compagnonnage a quand même été un franc succès depuis le PDS jusqu’ici.
Le Président de la République doit définitivement demander aux snipers qui rôdent autour de sa personne d’arrêter les hostilités envers son vieil ami, sinon comme le dit l’adage « qui ne dit rien consent ».
Cheikhou Baldé
cherbalde@gmail.com