Abdoulaye Mbaye Pekh roule pour Karim Wade. Dans l’interview qu’il a accordé à Weekend magazine, Abdoulaye Mbaye Pekh n’y est pas allé par quatre chemins pour déclarer qu’il fait partie de ceux qui font tout pour que Karim Wade devienne le prochain président de la République. Abdoulaye Mbaye Pekh se justifie : « Je ne peux pas aimer le père et détester le fils. Eyadéma n’est pas meilleur que Wade, or lui s’est fait succéder par son fils ».
Et d’enchaîner : « Mieux, je fais partie de ceux qui font tout pour qu’il (Karim Wade) le devienne. Je ne cesse de parler et d’œuvrer dans ce sens ». N’allez surtout pas lui dire que le pays n’appartient pas aux Wade. Car, sa perception est : « Si votre père avait une maison, vous le succéderiez ». Comme si le Sénégal est une maison qui appartient à Me Abdoulaye Wade.
Dites lui également que Karim Wade ne parle pas Wolof. Là, il vous répondra : « Il faut dire qu’il ne l’a pas encore parlé. Mais pas qu’il ne le peut pas ». A la question de savoir, quelle langue, il utilise pour discuter avec Karim Wade, il soutient : « Je ne sais pas. Je ne vais pas vous révéler ce dont je m’entretiens avec Karim. Et, je prie aussi pour lui. Je lui souhaite longue vie, parce que c’est ce qu’il y a de mieux. Je vais vous raconter une anecdote : quand les ancêtres du petit serpent se sont réunis pour lui souhaiter d’arriver un jour à mordre, le petit serpent s’est alors mis à pleurer et leur a dit, qu’il préférait mieux avoir une longue vie. (Il saura forcément mordre ». Cent commentaires pour cette comparaison !
Malgré son soutien au président Wade, il avoue cependant que lors de sa brouille avec Aminata Tall, il a suivi cette dernière. Mais, c’est pour aussitôt préciser : « Non, je ne l’ai (Wade) pas laissé tomber. Aminata est mon parent, quand elle a mal, je dois être avec elle, je l’accompagne alors. Mais, ce que je vais entreprendre pour que la situation soit rétablie, il n’y a que moi qui le sais. Je l’ai accompagnée partout où elle allait. Et, je faisais aussi mon rôle de griot. Leur compagnonnage est dans mon intérêt, alors je fais tout pour qu’il soit rétabli. Je ne peux lâcher aucun d’eux alors je les réconcilie ». Il ne veut pas dire dans les médias, les démarches entreprises par lui pour réconcilier les deux.
Sur la brouille entre Macky Sall et le président Wade, là aussi, il déclare que son rôle est de les réconcilier. « Macky est le fils de Wade, qui est on père, alors je dois les rassembler. Même s’ils se disputent, il ne faut pas prendre position parce qu’ils ne pas nous avertir quand ils vont se retrouver. Ce que j’ai à dire, c’est que Macky doit se réconcilier avec son père. Mais, je suis avec Wade ».
Source: Nettali
Et d’enchaîner : « Mieux, je fais partie de ceux qui font tout pour qu’il (Karim Wade) le devienne. Je ne cesse de parler et d’œuvrer dans ce sens ». N’allez surtout pas lui dire que le pays n’appartient pas aux Wade. Car, sa perception est : « Si votre père avait une maison, vous le succéderiez ». Comme si le Sénégal est une maison qui appartient à Me Abdoulaye Wade.
Dites lui également que Karim Wade ne parle pas Wolof. Là, il vous répondra : « Il faut dire qu’il ne l’a pas encore parlé. Mais pas qu’il ne le peut pas ». A la question de savoir, quelle langue, il utilise pour discuter avec Karim Wade, il soutient : « Je ne sais pas. Je ne vais pas vous révéler ce dont je m’entretiens avec Karim. Et, je prie aussi pour lui. Je lui souhaite longue vie, parce que c’est ce qu’il y a de mieux. Je vais vous raconter une anecdote : quand les ancêtres du petit serpent se sont réunis pour lui souhaiter d’arriver un jour à mordre, le petit serpent s’est alors mis à pleurer et leur a dit, qu’il préférait mieux avoir une longue vie. (Il saura forcément mordre ». Cent commentaires pour cette comparaison !
Malgré son soutien au président Wade, il avoue cependant que lors de sa brouille avec Aminata Tall, il a suivi cette dernière. Mais, c’est pour aussitôt préciser : « Non, je ne l’ai (Wade) pas laissé tomber. Aminata est mon parent, quand elle a mal, je dois être avec elle, je l’accompagne alors. Mais, ce que je vais entreprendre pour que la situation soit rétablie, il n’y a que moi qui le sais. Je l’ai accompagnée partout où elle allait. Et, je faisais aussi mon rôle de griot. Leur compagnonnage est dans mon intérêt, alors je fais tout pour qu’il soit rétabli. Je ne peux lâcher aucun d’eux alors je les réconcilie ». Il ne veut pas dire dans les médias, les démarches entreprises par lui pour réconcilier les deux.
Sur la brouille entre Macky Sall et le président Wade, là aussi, il déclare que son rôle est de les réconcilier. « Macky est le fils de Wade, qui est on père, alors je dois les rassembler. Même s’ils se disputent, il ne faut pas prendre position parce qu’ils ne pas nous avertir quand ils vont se retrouver. Ce que j’ai à dire, c’est que Macky doit se réconcilier avec son père. Mais, je suis avec Wade ».
Source: Nettali