La femme du ministre Aliou Sow a eu un grave accident sur la route de Kaolack. A l’origine de l’accident, une collision entre son véhicule et un autre de transport en commun, à quelques kilomètres de Gandiaye. Le choc a été si violent que le chauffeur du véhicule de transport en commun est décédé sur le coup. Quant à la femme d’Aliou Sow, elle semble avoir les jambes brisées et le coup tordu. D’ailleurs, elle a été admise aux urgences à l’hôpital régional de Kaolack pour subir les premiers soins avant d’être transférée à Dakar pour des soins intensifs. Alerté, son époux Aliou Sow a vite rallié Kaolack. En attendant son arrivée, son épouse avait déjà reçu la visite de plusieurs autorités de Kaolack dont le gouverneur, le préfet et le directeur général de l’hôpital régional. De plus, des docteurs et une vingtaine de sapeurs pompiers avaient été réquisitionnés pour être à son chevet. Madame Sow était accompagnée de son chauffeur, de sa sœur et de sa secrétaire. A bord de l’autre véhicule, se trouvaient des passagers parmi lesquels ont dénombre aussi des blessés graves. Faisant preuve d’humanisme, le ministre Aliou Sow a pris en charge tous les frais médicaux des victimes.
La route de Kaolack est réputée très dangereuse à cause de l’allure avec laquelle les véhicules y roulent. Techniquement, l’argument que l’on donne pour justifier les accidents est que les automobilistes trouvent la route dégagée, ce qui les pousse à abuser de la vitesse. Mais mystiquement, il y a une légende qui raconte que la route est hantée par de mauvais esprits qui, exigeant des d’offrandes, causent ces accidents.
Pape Matar Ndiaye : leral.net
La route de Kaolack est réputée très dangereuse à cause de l’allure avec laquelle les véhicules y roulent. Techniquement, l’argument que l’on donne pour justifier les accidents est que les automobilistes trouvent la route dégagée, ce qui les pousse à abuser de la vitesse. Mais mystiquement, il y a une légende qui raconte que la route est hantée par de mauvais esprits qui, exigeant des d’offrandes, causent ces accidents.
Pape Matar Ndiaye : leral.net