Des larmes, il en a versées. Des larmes, il en versera du fond de sa cellule quand ses avocats vont l’informer qu’il a été condamné à 2 ans dont 4 mois ferme, du fait qu’il a été reconnu coupable de vol commis la nuit au préjudice de son défunt employeur, l’ex-directeur général de la multinationale nigériane Dangote.
Toutefois, le chauffeur Abdel Khadre Seck peut s’estimer heureux car le maître des poursuites avait requis 6 mois ferme à son encontre... Le tribunal n’a pas manqué dans son délibéré de réserver les intérêts des trois parties civiles que sont les deux épouses du défunt et la société Dangote à qui il est demandé de produire le jugement d’hérédité pour pouvoir régler l’héritage.
Après plusieurs renvois marqués par le rejet de la demande de la liberté provisoire, l’affaire a été finalement jugée avant-hier à la demande des avocats des parties civiles qui se sont constitués en trois pôles autour des deux épouses et de la société Dangote. Le Tribunal départemental de Dakar, qui a vidé l’affaire hier, a cependant requalifié les faits en vol commis la nuit, ce qui explique la « sévère sanction de 2 ans dont 4 mois ferme », renseigne un avocat.
L’on se rappelle que ledit chauffeur a été arrêté pour le délit de vol perpétré la nuit à la suite d’une dénonciation des vigiles de la société Dangote, 24 heures après l’enterrement de son défunt patron. Le chauffeur Abdou Khadre Seck a reconnu s’être emparé d’un sac estampillé Dangote contenant la rondelette somme de 200 millions de FCfa en coupure d’euros. Il a dit n’avoir jamais eu l’intention de voler cet argent et que c’est le défunt milliardaire qui le lui avait confié. Il attendait la fin des funérailles pour le restituer en compagnie de sa famille. Il sera arrêté par le frère cadet de l’ex-directeur général de Dangote, qui l’a conduit à la Gendarmerie.
Les avocats des différentes parties au procès se sont battus devant le tribunal pour réclamer la paternité des 200 millions qui ont été rendus par le chauffeur. Ils vont s’affronter devant le tribunal civil et commercial pour voir à qui des deux épouses et de la société Dangote appartient l’argent.
En attendant, l’argent est resté entre les mains d’Aramine Mbacké, le frère de Kader Mbacké autoproclamé directeur général de Dangote.
Le Soleil
Toutefois, le chauffeur Abdel Khadre Seck peut s’estimer heureux car le maître des poursuites avait requis 6 mois ferme à son encontre... Le tribunal n’a pas manqué dans son délibéré de réserver les intérêts des trois parties civiles que sont les deux épouses du défunt et la société Dangote à qui il est demandé de produire le jugement d’hérédité pour pouvoir régler l’héritage.
Après plusieurs renvois marqués par le rejet de la demande de la liberté provisoire, l’affaire a été finalement jugée avant-hier à la demande des avocats des parties civiles qui se sont constitués en trois pôles autour des deux épouses et de la société Dangote. Le Tribunal départemental de Dakar, qui a vidé l’affaire hier, a cependant requalifié les faits en vol commis la nuit, ce qui explique la « sévère sanction de 2 ans dont 4 mois ferme », renseigne un avocat.
L’on se rappelle que ledit chauffeur a été arrêté pour le délit de vol perpétré la nuit à la suite d’une dénonciation des vigiles de la société Dangote, 24 heures après l’enterrement de son défunt patron. Le chauffeur Abdou Khadre Seck a reconnu s’être emparé d’un sac estampillé Dangote contenant la rondelette somme de 200 millions de FCfa en coupure d’euros. Il a dit n’avoir jamais eu l’intention de voler cet argent et que c’est le défunt milliardaire qui le lui avait confié. Il attendait la fin des funérailles pour le restituer en compagnie de sa famille. Il sera arrêté par le frère cadet de l’ex-directeur général de Dangote, qui l’a conduit à la Gendarmerie.
Les avocats des différentes parties au procès se sont battus devant le tribunal pour réclamer la paternité des 200 millions qui ont été rendus par le chauffeur. Ils vont s’affronter devant le tribunal civil et commercial pour voir à qui des deux épouses et de la société Dangote appartient l’argent.
En attendant, l’argent est resté entre les mains d’Aramine Mbacké, le frère de Kader Mbacké autoproclamé directeur général de Dangote.
Le Soleil