Après un peu plus de deux mois passés en prison, le policier Mamadou Mané, l’octogénaire Carlito Brito et le jeune Aly Debouc ont recouvré la liberté. Poursuivis pour viol et pédophilie sur deux sœurs jumelles âgées de 10 ans, ils ont été tous les trois relaxés au bénéfice du doute. Ils ont ainsi échappé à une peine d’emprisonnement ferme comprise entre cinq et 10 ans.
En effet, lors du procès qui s’est tenu le 6 octobre dernier, le substitut du Procureur Cheikh Dieng avait requis une peine de cinq (5) ans ferme contre Aly Debouc pour pédophilie. Quant à Carlito Brito et Mamadou Mané, 10 ans ferme avaient été requis contre eux pour pédophilie et viol. Leurs avocats avaient sollicité la relaxe pure et simple en soulevant un problème d’imputabilité des faits.
Les faits ont éclaté en juin dernier lorsque la tante des jumelles A. et A Diallo a saisi d’une plainte la police de Grand-Yoff. Elle se plaignait du viol dont ses nièces étaient victimes.
Entendues sur procès verbal, les jumelles ont cité parmi leurs bourreaux le jeune Aly Debouc, le policier Mamadou Mané et le vieux Carlito Brito âgé de 86 ans. Avec des détails précis, elles ont indiqué le degré d’implication de chacun des prévenus.
Et c’est ainsi qu’elles ont fait savoir que Debouc leur proposait des fellations moyennant 200 francs. Idem pour Brito qui leur proposait aussi des rapports sexuels tout comme le policier.
A la barre, les prévenus ont unanimement nié les faits, même s’ils ont reconnu qu’ils connaissaient les jumelles. Le sieur Mané s’est dit surpris par cette accusation d’autant plus qu’il nourrissait une certaine pitié envers les jumelles dont la mère est une mendiante ayant des problèmes psychiques.
Le vieux Brito pour sa part, a laissé entendre qu’il est victime d’impuissance depuis 35 ans.
Il faut rappeler que les deux jumelles avaient fait défaut lors du procès. Leurs avocats également avaient choisi de boycotter le procès.
En effet, lors du procès qui s’est tenu le 6 octobre dernier, le substitut du Procureur Cheikh Dieng avait requis une peine de cinq (5) ans ferme contre Aly Debouc pour pédophilie. Quant à Carlito Brito et Mamadou Mané, 10 ans ferme avaient été requis contre eux pour pédophilie et viol. Leurs avocats avaient sollicité la relaxe pure et simple en soulevant un problème d’imputabilité des faits.
Les faits ont éclaté en juin dernier lorsque la tante des jumelles A. et A Diallo a saisi d’une plainte la police de Grand-Yoff. Elle se plaignait du viol dont ses nièces étaient victimes.
Entendues sur procès verbal, les jumelles ont cité parmi leurs bourreaux le jeune Aly Debouc, le policier Mamadou Mané et le vieux Carlito Brito âgé de 86 ans. Avec des détails précis, elles ont indiqué le degré d’implication de chacun des prévenus.
Et c’est ainsi qu’elles ont fait savoir que Debouc leur proposait des fellations moyennant 200 francs. Idem pour Brito qui leur proposait aussi des rapports sexuels tout comme le policier.
A la barre, les prévenus ont unanimement nié les faits, même s’ils ont reconnu qu’ils connaissaient les jumelles. Le sieur Mané s’est dit surpris par cette accusation d’autant plus qu’il nourrissait une certaine pitié envers les jumelles dont la mère est une mendiante ayant des problèmes psychiques.
Le vieux Brito pour sa part, a laissé entendre qu’il est victime d’impuissance depuis 35 ans.
Il faut rappeler que les deux jumelles avaient fait défaut lors du procès. Leurs avocats également avaient choisi de boycotter le procès.
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