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AFFAIRE DES MARCHÉS FICTIFS AU MINISTÈRE DE L’INTERIEUR : Le commissaire Ibrahima Diallo entendu par le juge

Le consul du Sénégal à Madrid, le commissaire Ibrahima Diallo, a été récemment entendu par le juge du premier cabinet, dans le cadre de l’affaire des marchés fictifs au ministère de l’Intérieur. Même s’il a été auditionné à titre de témoin, il n’en demeure pas moins que son face-à-face avec le magistrat instructeur, en tant qu’ancien Directeur du Matériel et du Budget de ce département, a relancé ce dossier, qui continue de faire des vagues.


Rédigé par leral.net le Lundi 15 Mars 2010 à 19:12 | | 1 commentaire(s)|

L’affaire des marchés fictifs à la Direction du Matériel et du Budget (Dmb) du ministère de l’Intérieur poursuit décidément le commissaire Ibrahima Diallo, nommé entre temps consul du Sénégal à Madrid. Selon des sources très sûres, ce dernier a été entendu il y a une quinzaine de jours par le juge du premier cabinet. Même si ledit commissaire a été entendu comme témoin, il n’en demeure pas moins que cette audition le replace au cœur de ce dossier. Déjà que l’ancien Directeur du Matériel et du Budget avait été entendu par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic), qui ont diligenté l’affaire, avant de rendre compte au parquet. Devant ses collègues, Ibrahima Diallo avait soutenu qu’il n’était pas l’ordonnateur des dépenses et qu’à ce titre, sa responsabilité ne pouvait pas être engagée.
Cette audition est intervenue au moment où deux des mis en cause ont bénéficié d’une liberté provisoire. Ngagne Mbaye, Directeur général du « Groupe Disso Sa », pour des raisons de santé, alors que son co-inculpé, Abdoul Karim Guèye, patron de « Sene Afrique », avait été libéré par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel, à la suite du refus du juge de lui accorder une liberté provisoire. Ils avaient été inculpés et placés sous mandat de dépôt pour faux, usage de faux, escroquerie, détournement de deniers publics et recel.

À l’origine de cette affaire, une plainte déposée par l’Agent judiciaire de l’Etat, le 3 avril 2009, devant le ministère public. Il avait mis en cause Ngagne Mbaye et sa structure, dans le marché relatif à la construction au Centre national de passeports de dix services et annexes au profit de la Direction générale de la sûreté nationale. Alors que les montants retenus avaient été dégagés, le groupe n’a rien livré. Idem pour « Sene Afrique » qui a encaissé 270.785.826 F Cfa pour la réalisation des Brigades mobiles de sûreté (Bms) de Louga, Saint-Louis et Matam et la restauration des appartements de la cité Police.

Cheikh Mbacké GUISSE

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1.Posté par lucon le 17/03/2010 21:26 | Alerter
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ETUDE CAUSTIQUE MAIS TRES PROCHE DE LA FUTURE REALITE DU SENEGAL
On ne fait plus rien au sénégal dans cette republique soit disant laique sans les HIMAMS. Il faut vite se rendre à l'évidence que tout est en place pour passer à une autre forme de gouvernement puisque au sénégal la démocratie ne fonctionnant pas le peuple n'étant pas assez mur pour comprendre la démocratie. Tous les ingrédients sont maintenant en place, la population n'étant plus éduquée suite aux grèves ilimitées des enseignants, le nationalisme est bien installé (sommes les plus beaux les plus intelligents ect...), la pauvreté créant aujourdh'ui un terrain des plus favorables, la corruption ayant atteint un niveau inégalé à ce jour, l'état pratiquement inexistant, un racisme bien développé envers tout et tout le monde; c'est le moment. Vive donc la future République Islamique du Sénégal, avec pour capitale Touba, car sans elle le Sénégal ne se développera pas car pour corriger chez les Sénégalais l’incivisme, l’indiscipline, l’arogance, la fierté spécifique, l’exploitation, la médiocrité dans la pratique de la religion qui les arrange, les pseudos marabouts exploiteurs d’enfants et de talibés, il faut absolument cette république islamique sénégalaise tant congratulée par tous les politiques se rendant régulièrement à touba pour préter alégence au dieu marabout. Le sénégalais a un handicap qui l’empêche de cultiver la perfection : Il bâcle tout, il excelle dans l’hypocrisie, l’indiscipline, c’est l’élite de la paresse ; il est ignorant de la ponctualité et de l’assiduité, borné, pas de développement personnel, il est fataliste, n’aime pas travailler, opportuniste, n’a pas d’esprit critique. La fierté et le ton arrogant et dédaigneux envers les autres faisant le reste de son comportement unique en Afrique. L’impunité et le manque d’exemple encombrent l’espace publique. Les mots ォ devoir,respect, humilité et réglementation サ sont absents du dictionnaire. La solution pour le Sénégal est la mise en place au plus vite d’une république islamique pure et dure façon Iran. Nous avons de bons politiques très religieux et pas laics du tout et de bons chefs religieux et ainsi Touba pourrait devenir rapidement la capitale du pays. Nous Sénégalais qui sommes très forts en tout et qui en fait ne réalisons rien pourrions enfin nous retrouver dans notre vraie culture arabo-musulmane importée et vénérée par la population et ainsi ne plus etre considérés comme esclaves par nos amis arabes. Vive la république islamique du Sénégal qui avec tous les croyants du pays va remettre de l’ordre dans l’état et supprimer les institutions inutiles telles la justice, l’éducation ect…La charia règlera tout !!! les dirigeants et les politiques en rèvent ils ne demandent que ça ils sont si souvent en visite à Touba alors pourquoi attendre, vive la RIS.

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