Voilà un marié, la cinquantaine, père de trois enfants, pris en flagrant délit d’adultère, qui, au lieu de s’amender et de raser les murs, s’affiche quotidiennement, à longueur de colonnes, dans les potins de la presse, et tente de montrer une image de sainteté.
Sachant que sa forfaiture est étalée sur la place publique, avec ses conséquences politiques et sociales dont la destruction totale de l’image qu’il a voulu se construire, cherche à emporter dans sa descente aux enfers l’honorable citoyen et ministre d’Etat, Oumar Sarr et une partie de son état-major politique. Cette attitude illustre toute la haine et la jalousie qu’il a toujours manifestées à l’endroit des identités remarquables de Dagana. En réalité, le fondement d’une telle attitude trouve son explication dans l’égoïsme exacerbé de Diombass.
De quoi s’agit t-il ?
Voilà un homme qui, aveuglé par ses prétentions politiques, déroule, pour tromper l’opinion publique nationale, une stratégie communicationnelle consistant à faire croire que le département de Dagana, cité comme exemple du point de vue de ses performances électorales, est un espace politique que se disputent deux acteurs majeurs Oumar Sarr et Diombass Diaw.
En réalité, Diombass Diaw, qui partage le même quartier que Oumar Sarr, n’a aucune représentativité ni dans son quartier ni dans la commune encore moins dans le département.
Pour l’Histoire, la ville de Dagana, conduite par l’actuel ministre d’Etat, ministre de l’Habitat, de la Construction et de l’Hydraulique, est l’une des premières et rares mairies bleues du Sénégal depuis 1996.
Cette performance électorale, qui a pris forme dans la commune, s’est élargie dans tout le département de Dagana où le PDS enregistre depuis cette date ses résultats les meilleurs. Si le département de Dagana a été aussi électoralement performant, c’est parce que Oumar Sarr a su rallier autour du PDS tous les acteurs politiques majeurs de toutes les collectivités locales. En effet, par un travail inlassable sur le terrain, marqué par des actions d’appuis sociaux et de promotion économique en faveur des populations locales, le ministre d’Etat est devenu le leader incontesté du PDS dans le tout département de Dagana. En témoignent les scores électoraux du département de Dagana qui ont toujours été parmi les meilleurs du PDS depuis 1996.
Au demeurant, Diombass Diaw n’est soutenu dans sa stratégie de manipulation de l’opinion par aucune identité politique remarquable du Département de Dagana. C’est pourquoi il est absurde de parler de chantage politique à propos d’une personne qui n’a aucun poids politique.
L’agitation politique adoptée comme moyen de communication, a consisté essentiellement à associer de manière opportuniste son image à des événements sportifs, populaires par nature, promus par d’autres acteurs qui sont des soutiens inconditionnels de Oumar Sarr. En fait, le moyen de prédilection choisi pour la mise en œuvre de sa stratégie est l’intoxication politique portée par une communication au niveau national grâce à une certaine presse acquise à sa cause.
Dans le fond, Diombas Diaw est un imposteur politique convaincu de sa non représentativité, qui a adopté l’agitation comme moyen d’expression politique et de négociation d’avantages personnels. Il en en été ainsi en 2004 puis en 2007. En effet, n’ayant pas non plus les moyens de son ambition politique, il cherche à exister dans l’espace médiatique, ou plutôt dans un tabloïd de la place dirigé par son beau frère qui veut lui construire une nouvelle virginité.
D’ailleurs, à propos de ce journal, dès qu’il s’agit de traiter du scandale sexuel de Diombass, son Directeur de publication perd bizarrement l’esprit et la lettre du professionnalisme journalistique tant il y a déséquilibre et partialité dans la présentation des acteurs et déformation des faits. Depuis plusieurs mois, l’opinion est consternée par l’acharnement de la direction de cet organe de presse à ternir l’image de Oumar Sarr et à présenter Diombass Diaw sous ses plus beaux atours.
In fine, Diombass a voulu détruire aux yeux de l’opinion l’image des libéraux du département de Dagana illustrée par ses performances électorales, certes imputables à l’ensemble des acteurs politiques et des populations, mais surtout au leadership de Oumar Sarr, Secrétaire Général de la Fédération Départementale. Pour se faire, l’auteur d’adultère, filmé et livré nu comme un vers à l’opinion nationale et internationale, par sa « prostituée » qui a voulu, en réalité, régler avec lui un contentieux social. En effet, Diombass, de par son immoralité, a fait échouer le projet de mariage de cette même dame avec son ami d’enfance. L’intensité libidinale du sieur Diombass envers cette dame avait atteint une échelle si élevée que son intelligence s’est inversée, facilitant ainsi la réalisation de son œuvre.
Pour ramener les choses à leurs justes proportions, il convient désormais, ne serait-ce que pour informer juste et vrai, de requalifier l’affaire Diombass. Il s’agit comme nous l’avons souligné plus haut d’un film pornographique dont l’acteur a montré à l’opinion sa véritable personnalité d’aliéné sexuel, victime de son obsession refoulée depuis fort longtemps pour la dame Khady Mbaye. Cette dernière a affirmé dans l’édition n°127 de l’hebdo Week End du 24 juillet 2010 : « La première fois que j’ai rencontré Diombass, c’est mon petit ami avec qui je sortais, qui me l’avais présenté. Il m’a dit qu’il était son ami d’enfance (…). Je suis allé dans les toilettes pour femme, Diombass m’y a trouvé et a ouvert sa braquette et a sorti de sa poche beaucoup d’argent en me le proposant contre une pipe. Je l’ai insulté. »
Cette mésaventure dont l’auteur est un habitué des faits (cf. édition n° 127 du journal Week End du 24 au 30 juillet : « Il a demandé au propriétaire de Shéhérazade de lui donner sa chambre habituelle »), est un scandale purement sexuel que Diombass cherche à verser dans sa stratégie d’imposteur évoquée ci-dessus.
De mal en pis, les déclarations de la dame Khady Mbaye dans le même journal (« Diombass m’a dit que son marabout lui recommande une jeune fille vierge qui a entre 15 et 17 ans pour que son gris gris marche. Il m’a demandé de lui chercher cela et a assuré qu’il était prêt à casquer ») sont une preuve éclatante que cet homme-là est aussi un pédophile.
En un mot comme en mille, Diombass s’est tiré une balle dans les pieds. Alea jacta est.
Fait à Dakar, le 31/7/2010
La Coordination des cadres libéraux de Dagana
Sachant que sa forfaiture est étalée sur la place publique, avec ses conséquences politiques et sociales dont la destruction totale de l’image qu’il a voulu se construire, cherche à emporter dans sa descente aux enfers l’honorable citoyen et ministre d’Etat, Oumar Sarr et une partie de son état-major politique. Cette attitude illustre toute la haine et la jalousie qu’il a toujours manifestées à l’endroit des identités remarquables de Dagana. En réalité, le fondement d’une telle attitude trouve son explication dans l’égoïsme exacerbé de Diombass.
De quoi s’agit t-il ?
Voilà un homme qui, aveuglé par ses prétentions politiques, déroule, pour tromper l’opinion publique nationale, une stratégie communicationnelle consistant à faire croire que le département de Dagana, cité comme exemple du point de vue de ses performances électorales, est un espace politique que se disputent deux acteurs majeurs Oumar Sarr et Diombass Diaw.
En réalité, Diombass Diaw, qui partage le même quartier que Oumar Sarr, n’a aucune représentativité ni dans son quartier ni dans la commune encore moins dans le département.
Pour l’Histoire, la ville de Dagana, conduite par l’actuel ministre d’Etat, ministre de l’Habitat, de la Construction et de l’Hydraulique, est l’une des premières et rares mairies bleues du Sénégal depuis 1996.
Cette performance électorale, qui a pris forme dans la commune, s’est élargie dans tout le département de Dagana où le PDS enregistre depuis cette date ses résultats les meilleurs. Si le département de Dagana a été aussi électoralement performant, c’est parce que Oumar Sarr a su rallier autour du PDS tous les acteurs politiques majeurs de toutes les collectivités locales. En effet, par un travail inlassable sur le terrain, marqué par des actions d’appuis sociaux et de promotion économique en faveur des populations locales, le ministre d’Etat est devenu le leader incontesté du PDS dans le tout département de Dagana. En témoignent les scores électoraux du département de Dagana qui ont toujours été parmi les meilleurs du PDS depuis 1996.
Au demeurant, Diombass Diaw n’est soutenu dans sa stratégie de manipulation de l’opinion par aucune identité politique remarquable du Département de Dagana. C’est pourquoi il est absurde de parler de chantage politique à propos d’une personne qui n’a aucun poids politique.
L’agitation politique adoptée comme moyen de communication, a consisté essentiellement à associer de manière opportuniste son image à des événements sportifs, populaires par nature, promus par d’autres acteurs qui sont des soutiens inconditionnels de Oumar Sarr. En fait, le moyen de prédilection choisi pour la mise en œuvre de sa stratégie est l’intoxication politique portée par une communication au niveau national grâce à une certaine presse acquise à sa cause.
Dans le fond, Diombas Diaw est un imposteur politique convaincu de sa non représentativité, qui a adopté l’agitation comme moyen d’expression politique et de négociation d’avantages personnels. Il en en été ainsi en 2004 puis en 2007. En effet, n’ayant pas non plus les moyens de son ambition politique, il cherche à exister dans l’espace médiatique, ou plutôt dans un tabloïd de la place dirigé par son beau frère qui veut lui construire une nouvelle virginité.
D’ailleurs, à propos de ce journal, dès qu’il s’agit de traiter du scandale sexuel de Diombass, son Directeur de publication perd bizarrement l’esprit et la lettre du professionnalisme journalistique tant il y a déséquilibre et partialité dans la présentation des acteurs et déformation des faits. Depuis plusieurs mois, l’opinion est consternée par l’acharnement de la direction de cet organe de presse à ternir l’image de Oumar Sarr et à présenter Diombass Diaw sous ses plus beaux atours.
In fine, Diombass a voulu détruire aux yeux de l’opinion l’image des libéraux du département de Dagana illustrée par ses performances électorales, certes imputables à l’ensemble des acteurs politiques et des populations, mais surtout au leadership de Oumar Sarr, Secrétaire Général de la Fédération Départementale. Pour se faire, l’auteur d’adultère, filmé et livré nu comme un vers à l’opinion nationale et internationale, par sa « prostituée » qui a voulu, en réalité, régler avec lui un contentieux social. En effet, Diombass, de par son immoralité, a fait échouer le projet de mariage de cette même dame avec son ami d’enfance. L’intensité libidinale du sieur Diombass envers cette dame avait atteint une échelle si élevée que son intelligence s’est inversée, facilitant ainsi la réalisation de son œuvre.
Pour ramener les choses à leurs justes proportions, il convient désormais, ne serait-ce que pour informer juste et vrai, de requalifier l’affaire Diombass. Il s’agit comme nous l’avons souligné plus haut d’un film pornographique dont l’acteur a montré à l’opinion sa véritable personnalité d’aliéné sexuel, victime de son obsession refoulée depuis fort longtemps pour la dame Khady Mbaye. Cette dernière a affirmé dans l’édition n°127 de l’hebdo Week End du 24 juillet 2010 : « La première fois que j’ai rencontré Diombass, c’est mon petit ami avec qui je sortais, qui me l’avais présenté. Il m’a dit qu’il était son ami d’enfance (…). Je suis allé dans les toilettes pour femme, Diombass m’y a trouvé et a ouvert sa braquette et a sorti de sa poche beaucoup d’argent en me le proposant contre une pipe. Je l’ai insulté. »
Cette mésaventure dont l’auteur est un habitué des faits (cf. édition n° 127 du journal Week End du 24 au 30 juillet : « Il a demandé au propriétaire de Shéhérazade de lui donner sa chambre habituelle »), est un scandale purement sexuel que Diombass cherche à verser dans sa stratégie d’imposteur évoquée ci-dessus.
De mal en pis, les déclarations de la dame Khady Mbaye dans le même journal (« Diombass m’a dit que son marabout lui recommande une jeune fille vierge qui a entre 15 et 17 ans pour que son gris gris marche. Il m’a demandé de lui chercher cela et a assuré qu’il était prêt à casquer ») sont une preuve éclatante que cet homme-là est aussi un pédophile.
En un mot comme en mille, Diombass s’est tiré une balle dans les pieds. Alea jacta est.
Fait à Dakar, le 31/7/2010
La Coordination des cadres libéraux de Dagana