Pour justifier sa plainte, Me Bathily dit se fonder sur les dispositions juridiques contenues dans le pacte de la Cedeao. Lesquelles dispositions stipulent que « toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées… ». L’avocat dit aussi s’être basé sur Constitution du Sénégal qui dit : « Toute personne a droit à la liberté d’expression ; ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen de son choix… ». L’autre raison invoquée par Me Demba Ciré Bathily, c’est le non-respect, selon lui, du droit de la défense. À cet effet, rappelle l’avocat, lors du procès, la défense s’était vue refuser la communication d’une copie du procès-verbal de la police.
Une autre motivation du conseil, c’est la fermeture « de manière illégale » du journal 24 heures Chrono. Cela, malgré le caractère suspensif de la décision rendue par le tribunal suite à l’appel interjeté par la défense. Il s’agit là autant de raisons qui poussent Me Demba Ciré Bathily à saisir les juridictions de la Cedeao. Et, à l’en croire, c’est la première plainte dirigée contre l’Etat du Sénégal devant cette juridiction dont les décisions sont exécutoires dans les pays membres de la Cedeao. Et l’avocat de préciser que des pays comme la Gambie, le Mali et le Niger ont été, une fois, attraits devant cette Cour. Par ailleurs, il faut préciser Me Demba Ciré Bathily sera soutenu par la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) qui va mettre à la disposition d’El Malick ses avocats.
Si l’on en croit Sambou Biagui, rédacteur en chef de 24 heures Chrono, le président de la Raddho, Alioune Tine a confirmé la nouvelle, non sans dénoncer un « abus de pouvoir ». D’ailleurs, la Raddho a commis Me Amadou Aly Kane pour constituer un pool d’avocats avec Me Demba Ciré Bathily. Il faut ajouter que dans le cadre de la défense d’El Malick Seck, la Commission nationale pour la défense des libertés (Cndl) tient un point de presse, ce lundi à 16 heures au siège de la Raddho. Ce sera en prélude à la marche pour la défense des libertés qu’elle organise le 8 octobre prochain. Ce face-à-face avec les journalistes, précise Sambou Biagui, sera animé par Jacques Habib Sy en sa qualité de porte-parole du comité et Malick Ndiaye, le coordonnateur. Seront aussi présents à la rencontre avec la presse Alioune Tine de la Raddho, Amath Dansokho du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), représentant le « Front Siggil Sénégal ».
Une autre motivation du conseil, c’est la fermeture « de manière illégale » du journal 24 heures Chrono. Cela, malgré le caractère suspensif de la décision rendue par le tribunal suite à l’appel interjeté par la défense. Il s’agit là autant de raisons qui poussent Me Demba Ciré Bathily à saisir les juridictions de la Cedeao. Et, à l’en croire, c’est la première plainte dirigée contre l’Etat du Sénégal devant cette juridiction dont les décisions sont exécutoires dans les pays membres de la Cedeao. Et l’avocat de préciser que des pays comme la Gambie, le Mali et le Niger ont été, une fois, attraits devant cette Cour. Par ailleurs, il faut préciser Me Demba Ciré Bathily sera soutenu par la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) qui va mettre à la disposition d’El Malick ses avocats.
Si l’on en croit Sambou Biagui, rédacteur en chef de 24 heures Chrono, le président de la Raddho, Alioune Tine a confirmé la nouvelle, non sans dénoncer un « abus de pouvoir ». D’ailleurs, la Raddho a commis Me Amadou Aly Kane pour constituer un pool d’avocats avec Me Demba Ciré Bathily. Il faut ajouter que dans le cadre de la défense d’El Malick Seck, la Commission nationale pour la défense des libertés (Cndl) tient un point de presse, ce lundi à 16 heures au siège de la Raddho. Ce sera en prélude à la marche pour la défense des libertés qu’elle organise le 8 octobre prochain. Ce face-à-face avec les journalistes, précise Sambou Biagui, sera animé par Jacques Habib Sy en sa qualité de porte-parole du comité et Malick Ndiaye, le coordonnateur. Seront aussi présents à la rencontre avec la presse Alioune Tine de la Raddho, Amath Dansokho du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), représentant le « Front Siggil Sénégal ».